Effects of prior storage conditions on the infectivity of Heterorhabditis sp. (Nematoda : Heterorhabditidae)

Lorsque des dauer juvéniles (DJs) d'#Heterorhabditis (groupe NWE) sont conservés dans l'eau du robinet à 9, 20 ou 25°C, leur pouvoir infestant augmente progressivement. Le pouvoir infestant, mesuré à 9 et 20°C, est la proportion de nématodes pénétrant #Galleria mellonella dans du sable. Le pouvoir infestant à froid (la capacité à infester des insectes à 9°C) est particulièrement dépendant des conditions de conservation et augmente 120 fois à partir de la date de récupération des DJs. A des températures de conservation plus élevées (20 ou 25°C), le pouvoir infestant atteint un maximum après 2 à 3 semaines. Quand les DJs sont conservés à 9°C, l'infestivité maximale apparaît plus tard. Pendant la conservation à 9°C, on observe une variation de l'infestivité avec les conditions expérimentales et l'âge des DJs au moment où ils sont placés à 9°C. Les résultats expérimentaux sont compatibles avec l'intrication de deux phénomènes liés à la conservation : une augmentation progressive du pouvoir infestant qui apparaît dans une gamme de températures de conservation, et une réduction temporaire d'activité induite par le froid qui masque ou retarde l'apparition de l'augmentation du pouvoir infestant pour les DJs conservés au froid pendant quelques semaines. (Résumé d'auteur

Characterisation of the entomopathogenic nematode Heterorhabditis (Nematoda : Heterorhabditidae) from Ireland and Britain by molecular and cross-breeding techniques, and the occurrence of the genus in these islands

Des examens de sol ont été effectués en Irlande et en Grande-Bretagne pour rechercher les nématodes du genre #Heterorhabditis. Des échantillons des sols prélevés sur des sites sablonneux furent pourvus de larves de #Galleria mellonella comme appâts. Des #Heterorhabditis furent collectés sur 18 sites sur 169 en Irlande, 2 sur 51 dans le nord de l'Ecosse et 9 sur 20 dans le sud du Pays de Galle. Tous les sites positifs sont situés sur le littoral ; aucun #Heterorhabditis n'a été détecté dans les échantillons prélevés dans 40 sites situés à l'intérieur des terres. La totalité des 76 isolats recueillis au cours de ces analyses ont été identifiés comme appartenant au groupe irlandais d'#Heterorhabditis, à l'aide de méthodes de concentration isoélectrique, de restriction de l'ADN et d'hybridation. Aucun #Heterohabditis appartenant au groupe de l'Europe du nord-ouest n'a été recueilli. Cependant, un isolat recueilli par d'autres chercheurs et provenant du sud de l'Angleterre a été identifié comme appartenant à ce groupe. Les membres du groupe irlandais ne se croisent généralement pas avec les membres du groupe de l'Europe du nord-ouest, bien que des juvéniles infestants fertiles aient été produits dans un nombre limité (3/15) de croisements entre ces groupes. (Résumé d'auteur

SARS Surveillance during Emergency Public Health Response, United States, March–July 2003

In response to the emergence of severe acute respiratory syndrome (SARS), the United States established national surveillance using a sensitive case definition incorporating clinical, epidemiologic, and laboratory criteria. Of 1,460 unexplained respiratory illnesses reported by state and local health departments to the Centers for Disease Control and Prevention from March 17 to July 30, 2003, a total of 398 (27%) met clinical and epidemiologic SARS case criteria. Of these, 72 (18%) were probable cases with radiographic evidence of pneumonia. Eight (2%) were laboratory-confirmed SARS-coronavirus (SARS-CoV) infections, 206 (52%) were SARS-CoV negative, and 184 (46%) had undetermined SARS-CoV status because of missing convalescent-phase serum specimens. Thirty-one percent (124/398) of case-patients were hospitalized; none died. Travel was the most common epidemiologic link (329/398, 83%), and mainland China was the affected area most commonly visited. One case of possible household transmission was reported, and no laboratory-confirmed infections occurred among healthcare workers. Successes and limitations of this emergency surveillance can guide preparations for future outbreaks of SARS or respiratory diseases of unknown etiology

National identity predicts public health support during a global pandemic

Changing collective behaviour and supporting non-pharmaceutical interventions is an important component in mitigating virus transmission during a pandemic. In a large international collaboration (Study 1, N = 49,968 across 67 countries), we investigated self-reported factors associated with public health behaviours (e.g., spatial distancing and stricter hygiene) and endorsed public policy interventions (e.g., closing bars and restaurants) during the early stage of the COVID-19 pandemic (April-May 2020). Respondents who reported identifying more strongly with their nation consistently reported greater engagement in public health behaviours and support for public health policies. Results were similar for representative and non-representative national samples. Study 2 (N = 42 countries) conceptually replicated the central finding using aggregate indices of national identity (obtained using the World Values Survey) and a measure of actual behaviour change during the pandemic (obtained from Google mobility reports). Higher levels of national identification prior to the pandemic predicted lower mobility during the early stage of the pandemic (r = −0.40). We discuss the potential implications of links between national identity, leadership, and public health for managing COVID-19 and future pandemics.publishedVersio