69 research outputs found

    The Shift from Local to Global Visual Processing in 6-Year-Old Children Is Associated with Grey Matter Loss

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    International audienceBackground: A real-world visual scene consists of local elements (e.g. trees) that are arranged coherently into a global configuration (e.g. a forest). Children show psychological evolution from a preference for local visual information to an adult-like preference for global visual information, with the transition in visual preference occurring around 6 years of age. The brain regions involved in this shift in visual preference have not been described. Methods and Results: We used voxel-based morphometry (VBM) to study children during this developmental window to investigate changes in gray matter that underlie the shift from a bias for local to global visual information. Six-year-old children were assigned to groups according to their judgment on a global/local task. The first group included children who still presented with local visual processing biases, and the second group included children who showed global visual processing biases. VBM results indicated that compared to children with local visual processing biases, children with global visual processing biases had a loss of gray matter in the right occipital and parietal visuospatial areas. Conclusions: These anatomical findings are in agreement with previous findings in children with neurodevelopmental disorders and represent the first structural identification of brain regions that allow healthy children to develop a global perception of the visual world

    Approche interactionniste du développement langagier des enfants de 2 à 8 ans

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    Lanoë Céline. Approche interactionniste du développement langagier des enfants de 2 à 8 ans. In: Bulletin de psychologie, tome 54 n°451, 2001. Psychopathologie, corps, cultures. pp. 91-94

    DĂ©couvrir son cerveau pour mieux apprendre

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    Les sciences cognitives au service des apprentissages scolaires : Quels bénéfices sur la réussite scolaire des collégiens ?

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    International audienceINTRODUCTIONDes vulnérabilités sociales et territoriales exposent un grand nombre d’enfants à un risque d’échec ou de difficultés scolaires, notamment au sein de la région Normandie (Boudesseul et al., 2016). La Loi de refondation de l’école et de la réforme du Collège s’inscrivent dans ce contexte afin d’assurer la réussite du plus grand nombre. Dans ce cadre, le nouveau socle commun de connaissances, de compétences et de culture définit les compétences qu'un élève de cycle 3 doit progressivement maîtriser pendant la scolarité obligatoire. Il comporte cinq domaines de formation dont le domaine 2 « Méthodes et outils pour apprendre », enjeu majeur de la réforme du Collège, qui « a pour objectif de permettre à tous les élèves d'apprendre à apprendre, seuls ou collectivement » (Décret du 31.03.15). Cet objectif s’atteint au travers des différents enseignements obligatoires mais aussi de l’Accompagnement Personnalisé (AP) pour lequel « on cherchera notamment à faire acquérir plus explicitement les méthodes nécessaires aux apprentissages ». À ce jour, il n’existe pourtant pas d’outils ou de supports auxquels les enseignants pourraient se référer afin de répondre à ces objectifs. Néanmoins, les données scientifiques les plus récentes dans le champ des sciences cognitives nous renseignent sur les processus fondamentaux aux apprentissages scolaires réussis. Elles peuvent participer à moduler les stratégies éducatives et permettre de redessiner les programmes pédagogiques afin d’optimiser les acquisitions pour la réussite de tous les élèves (Howard-Jones et al., 2016). L’une des propositions est d’inclure des enseignements basés sur le fonctionnement cérébral dans les programmes scolaires (Dommett, Devonshire, Sewter, & Greenfield, 2013). Plusieurs études ont montré les bénéfices de ce type de programmes sur les théories de l’intelligence ou les performances scolaires des élèves. Toutefois, ces programmes sont de courtes durées et il n’en existe pas, à notre connaissance, proposés sur du plus long terme. Notre étude a donc pour objectif d’évaluer les bénéfices d’un enseignement axé sur les sciences cognitives en AP, étendu sur les années de 6ème et 5ème. L’idée sous-jacente est qu’une meilleure compréhension de son fonctionnement cognitif et neurocognitif en contexte d’apprentissage scolaire peut permettre à tous les élèves d’utiliser au mieux leurs potentialités.METHODECe projet est à l’initiative du Collège Georges Desdevises du Dézert de Lessay (50) qui s’est tourné vers une équipe de recherche du Laboratoire de Psychologie Caen Normandie afin d’optimiser les séances d’AP dispensées dans son établissement. L’ensemble du personnel enseignant a été formé aux sciences cognitives, et a souhaité dédier une proportion conséquente des AP à ce champ. C’est ainsi que le projet « Psychologie et sciences cognitives au service des apprentissages » est né. L’ensemble des élèves de 6ème (N=70) a bénéficié de ce programme dans le cadre de l’AP, durant l’année scolaire 2017/2018, à raison d’une séance hebdomadaire de 45 minutes. Il traite du cerveau, de la plasticité cérébrale, de l’attention, de la mémoire, des fonctions exécutives, ou encore de l’hygiène de vie. Le programme pédagogique concernant l’AP est construit par les enseignants eux-mêmes, puis validé par l’équipe de recherche. Afin d’évaluer les bénéfices de ce programme, il s’agit de suivre un groupe expérimental d’élèves de 6ème (N=50), qui bénéficiera en 6ème et en 5ème du programme axé sur les sciences cognitives comparé à un groupe contrôle (N=50), apparié en âge, en sexe et niveau socio-culturel. Tous les élèves seront évalués, sous couverts de l’accord parental, avant l’enseignement, puis en fin d’année de 6ème, de 5ème et en fin de 4ème. Les bénéfices seront évalués, à l’aide d’outils standardisés, sur les conceptions de l’intelligence des élèves, leurs capacités mnésiques et d’apprentissage, leurs capacités métacognitives, leur estime de soi, ainsi que leurs performances scolaires dans le domaine des mathématiques et de la compréhension de l’écrit.RESULTATSIl est attendu que le programme ait un effet sur les conceptions de l’intelligence des élèves, leurs capacités mnésiques et métacognitives, leur estime de soi et leurs performances scolaires. Les résultats sont en cours de traitement.CONCLUSIONLe programme pédagogique présenté semble être un des leviers possibles pour favoriser la réussite de tous les élèves. Ce projet a pour particularités majeures de promouvoir et d’être le fruit d’une collaboration entre les membres d’une équipe pédagogique et des enseignants-chercheurs universitaires. Il promeut également une démarche rigoureuse et scientifique d’évaluation des pratiques éducatives afin de déterminer dans quelles mesures elles peuvent impacter la réussite scolaire des collégiens

    Cogni'Scol : les sciences cognitives au service de la réussite scolaire des collégiens. Symposium « Les sciences cognitives pour lutter contre les vulnérabilités et prévenir l’échec scolaire ».

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    International audienceDes vulnérabilités sociales et territoriales exposent un grand nombre d’enfants à un risque dedifficultés scolaires, particulièrement au sein de la région Normandie. L’une des propositionsest de d’inclure un enseignement basé sur le fonctionnement neurocognitif dans les programmes scolaires. Nous faisons l’hypothèse qu’une meilleure compréhension de ce fonctionnement en contexte d’apprentissage scolaire peut permettre de lutter contre les vulnérabilités et prévenir l’échec scolaire. Notre étude évalue les bénéfices d’un programme pédagogique axé sur les sciences cognitives, élaboré en partenariat avec une équipe pédagogique, sur la réussite scolaire des collégiens. Il traite du cerveau, de la plasticité cérébrale, de l’attention, de la mémoire, ou encore de l’hygiène de vie. Une cohorte de collégiens entrée en 6ième (m=11;4ans ; sd=3 mois ; N=52) suit une séance de 45 minutes par semaine pendant deux ans. Afind’évaluer ses bénéfices, cette cohorte est comparée à une cohorte contrôle (m=11;3 ans; sd=6mois ; N=48) qui bénéficie une séance de 45 minutes par semaine axée sur la méthodologie dutravail scolaire. Tous les élèves ont à ce jour été évalués, sous couverts de l’accord parental,avant et après une année d’intervention. Ils seront prochainement évalués après deux annéesd’intervention puis en fin de 4ème afin de mesurer d’éventuels effets différés. Sont mesuréesles capacités attentionnelles, mnésiques, et de raisonnement, les compétences métacognitives,le sentiment d’auto efficacité, et les performances scolaires en compréhension de l’écrit et enmathématiques. Suite à la première année d’intervention, nous observons que les capacitésattentionnelles et en mathématiques se sont améliorées chez les seuls élèves de la cohorteexpérimentale. Il semble que ces élèves se soient appropriés les connaissances enseignées etles aient mises à profit dans une partie de leurs apprentissages. Le programme pédagogiqueprésenté pourrait constituer un des leviers possibles pour favoriser la réussite des collégienstout en promouvant une démarche rigoureuse d’évaluation des pratiques éducatives. Le projet Cogni'Scol est réalisé en partenariat avec la DSDEN de la Manche, la CARDIE de Caen, soutenu financièrement par la Région Normandie et la Fondation de France
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