67 research outputs found

    Household Exposure to Pesticides and Risk of Childhood Hematopoietic Malignancies: The ESCALE Study (SFCE)

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    International audienceOBJECTIVES: We investigated the role of household exposure to pesticides in the etiology of childhood hematopoietic malignancies. METHODS: The national registry-based case-control study ESCALE (Etude sur les cancers de l'enfant) was carried out in France over the period 2003-2004. Population controls were frequency matched with the cases on age and sex. Maternal household use of pesticides during pregnancy and paternal use during pregnancy or childhood were reported by the mothers in a structured telephone questionnaire. Insecticides (used at home, on pets, or for garden crops), herbicides, and fungicides were distinguished. We estimated odds ratios (ORs) using unconditional regression models closely adjusting for age, sex, degree of urbanization, and type of housing (flat or house). RESULTS: We included a total of 764 cases of acute leukemia (AL), 130 of Hodgkin lymphoma (HL), 166 of non-Hodgkin lymphoma (NHL), and 1,681 controls. Insecticide use during pregnancy was significantly associated with childhood AL [OR = 2.1; 95% confidence interval (CI), 1.7-2.5], both lymphoblastic and myeloblastic, NHL (OR = 1.8; 95% CI, 1.3-2.6), mainly for Burkitt lymphoma (OR = 2.7; 95% CI, 1.6-4.5), and mixed-cell HL (OR = 4.1; 95% CI, 1.4-11.8), but not nodular sclerosis HL (OR = 1.1; 95% CI, 0.6-1.9). Paternal household use of pesticides was also related to AL (OR = 1.5; 95% CI, 1.2-1.8) and NHL (OR = 1.7; 95% CI, 1.2-2.6); but for AL the relationships did not remain after adjustment for maternal pesticide use during pregnancy. CONCLUSION: The study findings strengthen the hypothesis that domestic use of pesticides may play a role in the etiology of childhood hematopoietic malignancies. The consistency of the findings with those of previous studies on AL raises the question of the advisability of preventing pesticide use by pregnant women

    LEUCEMIE AIGUE MAGACARYOCYTAIRE (A PROPOS DE SEPT CAS)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Indications thérapeutiques des aplasies medullaires non constitutionnelles de l'enfant (expérience Lilloise de 1991 à 2001)

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    Le syndrome d'hypéréosinophilie idiopathique chez l'enfant

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    COMPARAISON DE LA PROCALCITONINE A LA C-REACTIVE PROTEINE DANS LES NEUTROPENIES FEBRILES CHIMIO-INDUITES DE L'ENFANT

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    LE SYNDROME DE WISKOTT-ALDRICH (REVUE DE LA LITTERATURE SUR LES ASPECTS GENETIQUES ET MOLECULAIRES A PARTIR DE TROIS CAS CLINIQUES)

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    Etat bucco-dentaire des enfants du Nord-Pas de Calais atteints d’une hémopathie maligne. Conséquences dans leur prise en charge

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    Problématique : En France, le taux de mortalité par cancer dans la tranche d’âge 0–15 ans est de 1/10 000, et le décès souvent causé par des infections opportunistes. Il est donc indispensable de lutter contre le risque infectieux. L’atteinte carieuse reste une préoccupation de santé publique malgré les campagnes de prévention et touche inégalement les différentes catégories sociales. Les caries non traitées entraînent un risque infectieux dont l’impact sur la santé générale de l’enfant est bien connu. Objectif: Il a été de quantifier ce risque dans une population d’enfants admise pour la première fois en onco-hématologie. L’étude a inclus, sur un an, 84 enfants hospitalisés à l’Hôpital Jeanne de Flandres de Lille pour une hémopathie maligne. Les enfants ont bénéficié d’un bilan bucco-dentaire, complété si nécessaire par une radiographie panoramique, à leur admission dans le service et leur appartenance à une catégorie socioprofessionnelle (CSP) a été déterminée. Résultats : L’âge moyen des enfants examinés de 8 ans et 9 mois. L’indice CAO moyen de 2,86; il est plus élevé que dans la population générale. 51,2 % des enfants présentaient un risque infectieux d’origine dentaire. La répartition par catégories socioprofessionnelles a montré que le pourcentage de risque infectieux est plus élevé dès la CSP 4. Conclusion : Pour prévenir le risque infectieux, une prise en charge des caries sur dents temporaires et des contrôles réguliers dès le plus jeune âge chez le chirurgien-dentiste s’avèrent indispensables. Les difficultés rencontrées par les jeunes patients pour accéder aux soins nécessitent d’envisager un protocole d’organisation des soins dentaires pour les enfants atteints d’hémopathie maligne

    Chimiothérapie anticancéreuse et développement dentaire

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    Les progrès du traitement des cancers de l’enfant posent le problème des séquelles dues aux thérapeutiques appliquées pendant l’odontogenèse. Si les effets iatrogènes des radiations ionisantes sont bien analysés, les répercussions des seuls antimitotiques sur la dentition sont moins connues. C’est pourquoi, afin d’éviter les biais liés à des observations rétrospectives, 13 enfants souffrant en majorité d’une leucémie aiguë lymphoblastique et tous traités par le même protocole chimiothérapique ont été suivis prospectivement ainsi que 11 enfants témoins. L’influence des antimitotiques sur la dentition est abordée sous deux angles : la mesure de la croissance de la deuxième molaire mandibulaire droite, dent choisie en référence, pendant les différentes phases du protocole chimiothérapique puis en rémission et la surveillance de l’apparition d’anomalies dentaires. Le support est l’utilisation d’orthopantomogrammes tirés à intervalles réguliers après étude du grandissement induit par le générateur. Les résultats convergent vers un ralentissement de la vitesse de minéralisation coronaire de la 47 par la chimiothérapie d’induction-consolidation alors que le rythme radiculaire semble insensible à toutes les phases de chimiothérapie. La non prise en compte possible pour le moment d’éventuels défauts structurels amélo-dentinaires sousestime certainement l’importance des troubles. Cependant déjà, 8 enfants sur 13 ont développé des anomalies dentaires corrélées à la période d’administration des antimitotiques. Les troubles les plus récurrents sont des racines dentaires grêles et/ou courtes (5 enfants) et les agénésies (3 enfants). Quelque soit l’anomalie, la dent la plus fréquemment touchée est la seconde prémolaire. Les atteintes les plus importantes (agénésies, microdonties) concernent les enfants traités les plus jeunes. (Med Buccale Chir Buccale 2003; 9: 7-20
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