10 research outputs found

    Reconsidering photometric estimation of local star formation environment and its correlation with Type Ia Supernova luminosity

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    Recent studies on the environmental dependence of Type Ia supernova (SN Ia) luminosity focus on the local environment where the SN exploded, considering that this is more directly linked to the SN progenitors. However, there is a debate about the local environmental, specifically local star formation rate (SFR), dependence of the SN Ia luminosity. A recent study claims that the dependence is insignificant (0.051±0.0200.051 \pm 0.020 mag; 2.6σ2.6\sigma), based on the local SFR measurement by fitting local ugrizyugrizy photometry data. However, we find that this photometric local SFR measurement is inaccurate. We argue this based on the theoretical background of SFR measurement and the methodology used to make that claim with their local ugrizyugrizy photometry data, especially due to a limited range of extinction parameters used when fitting the data. Therefore, we re-analyse the same host galaxies with the same fitting code, but with more physically motivated extinction treatments and global ugrizugriz photometry of host galaxies. We estimate global stellar mass and SFR. Then, local star formation environments are inferred by using the method which showed that SNe Ia in globally passive galaxies have locally passive environments, while those in globally star-forming low-mass galaxies have locally star-forming environments. We find that there is significant local environmental dependence of SN Ia luminosities: SNe Ia in locally star-forming environments are 0.072±0.0210.072\pm0.021 mag (3.4σ3.4\sigma) fainter than those in locally passive environments, even though SN Ia luminosities have been further corrected by the BBC method that reduces the size of the dependence.Comment: 10 pages, 7 figures, 3 tables and 1 appendix table containing data we used; accepted for publication in MNRA

    Étude de l’impact de l’environnement galactique sur la standardisation des Supernovae de Type Ia

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    Type Ia Supernovae (SNe Ia) are standardizable candles that allow to measure the recent expansion rate of the Universe. However, their true nature remains unknown. Consequently, due to uncertainties in progenitor physics, potential astrophysical dependencies may bias cosmological measurements if not properly accounted for. Last decades studies have shown several relations between SNe Ia properties and those of their host galaxy. Yet, the correct way to account for astrophysical effects remains uncertain. Presently, the dependency of the intrinsic luminosity of SNe Ia with their host-galaxy environment is used to standardize SNe Ia luminosity and is commonly parameterized as a step function. This functional form implicitly assumes two-populations of SNe Ia. In the literature, multiple environmental indicators have been considered, finding different, sometimes incompatible, step function normalisation. Within this context, this PhD propose to compare these environmental analysis methods in light of a two-populations model, based on their ability to distinguish the two populations. We show that local Hα-based specific star formation rate (lsSFR) and global stellar mass are better tracers than, for instance, host galaxy morphology. We show that these tracer accuracy variations can explain the discrepancy between the observed SNe Ia magnitude offsets found in the literature. Using lsSFR or global mass to distinguish the two populations can explain all other observations, though lsSFR is favoured. As lsSFR is strongly connected to age, our results favour a prompt and delayed population model. In any case, there exists two populations that differ in standardized magnitude by at least 0.121 +/- 0.010 mag.Les Supernovae de Type Ia (SNe Ia) sont des chandelles standardisables qui nous permettent de mesurer le taux d'expansion récent de l'Univers. Cependant, leur nature exacte reste encore inconnue. À cause des incertitudes dans la physique du progéniteur de ces objets, des effets astrophysiques peuvent biaiser les mesures cosmologiques s'ils ne sont pas pris en compte correctement. Au cours des dernières décennies, nous avons pu observer des corrélations entre les propriétés des SNe Ia et celles de leur galaxie hôte. Cependant, la manière de prendre en compte correctement ces effets astrophysiques reste incertaine. Actuellement, la dépendance de la luminosité intrinsèque des SNe Ia avec l'environnement de leur galaxie hôte est employée pour standardiser la luminosité des SNe Ia, communément caractérisée par une fonction de marche (ou de Heaviside). Cette forme fonctionnelle assume, de manière implicite, l'existence de deux populations de SNe Ia. Dans la littérature, plusieurs indicateurs environnementaux ont été présentés, donnant des normalisations de la fonction de marche différentes, parfois incompatibles. Dans ce contexte, cette thèse propose de comparer les différentes méthodes d'analyse de l'environnement galactique des SNe Ia par le développement d'un modèle statistique de deux populations de SNe Ia. Ce modèle est basé sur la capacité des différents traceurs pour distinguer les deux populations. Nous montrons que le taux de formation stellaire spécifique, mesuré localement autour des SNe Ia au moyen des raies Hα (lsSFR), et la masse stellaire globale sont de meilleurs traceurs que, par exemple, la morphologie des galaxies hôtes. Nous montrons que les variations dans la précision de ces traceurs permettent d'éclaircir les différents résultats de l'écart de magnitude des SNe Ia obtenus dans la littérature. En l'occurrence, utiliser le lsSFR ou la masse stellaire globale pour identifier les deux populations permet d'expliquer l'ensemble des autres observations, bien que le lsSFR soit favorisé. Étant donné que le lsSFR est fortement lié à l'âge de l'environnement stellaire, nos résultats favorisent une distinction des SNe Ia par l'âge de leur progéniteur (« prompt » et « tardif »). Dans tous les cas, il existe deux populations de SNe Ia qui diffèrent en magnitude standardisée par au moins 0.121 +/- 0.010 mag

    Study of galactic environment impact on standardisation of Type Ia Supernovae

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    Les Supernovae de Type Ia (SNe Ia) sont des chandelles standardisables qui nous permettent de mesurer le taux d'expansion récent de l'Univers. Cependant, leur nature exacte reste encore inconnue. À cause des incertitudes dans la physique du progéniteur de ces objets, des effets astrophysiques peuvent biaiser les mesures cosmologiques s'ils ne sont pas pris en compte correctement. Au cours des dernières décennies, nous avons pu observer des corrélations entre les propriétés des SNe Ia et celles de leur galaxie hôte. Cependant, la manière de prendre en compte correctement ces effets astrophysiques reste incertaine. Actuellement, la dépendance de la luminosité intrinsèque des SNe Ia avec l'environnement de leur galaxie hôte est employée pour standardiser la luminosité des SNe Ia, communément caractérisée par une fonction de marche (ou de Heaviside). Cette forme fonctionnelle assume, de manière implicite, l'existence de deux populations de SNe Ia. Dans la littérature, plusieurs indicateurs environnementaux ont été présentés, donnant des normalisations de la fonction de marche différentes, parfois incompatibles. Dans ce contexte, cette thèse propose de comparer les différentes méthodes d'analyse de l'environnement galactique des SNe Ia par le développement d'un modèle statistique de deux populations de SNe Ia. Ce modèle est basé sur la capacité des différents traceurs pour distinguer les deux populations. Nous montrons que le taux de formation stellaire spécifique, mesuré localement autour des SNe Ia au moyen des raies Hα (lsSFR), et la masse stellaire globale sont de meilleurs traceurs que, par exemple, la morphologie des galaxies hôtes. Nous montrons que les variations dans la précision de ces traceurs permettent d'éclaircir les différents résultats de l'écart de magnitude des SNe Ia obtenus dans la littérature. En l'occurrence, utiliser le lsSFR ou la masse stellaire globale pour identifier les deux populations permet d'expliquer l'ensemble des autres observations, bien que le lsSFR soit favorisé. Étant donné que le lsSFR est fortement lié à l'âge de l'environnement stellaire, nos résultats favorisent une distinction des SNe Ia par l'âge de leur progéniteur (« prompt » et « tardif »). Dans tous les cas, il existe deux populations de SNe Ia qui diffèrent en magnitude standardisée par au moins 0.121 +/- 0.010 mag.Type Ia Supernovae (SNe Ia) are standardizable candles that allow to measure the recent expansion rate of the Universe. However, their true nature remains unknown. Consequently, due to uncertainties in progenitor physics, potential astrophysical dependencies may bias cosmological measurements if not properly accounted for. Last decades studies have shown several relations between SNe Ia properties and those of their host galaxy. Yet, the correct way to account for astrophysical effects remains uncertain. Presently, the dependency of the intrinsic luminosity of SNe Ia with their host-galaxy environment is used to standardize SNe Ia luminosity and is commonly parameterized as a step function. This functional form implicitly assumes two-populations of SNe Ia. In the literature, multiple environmental indicators have been considered, finding different, sometimes incompatible, step function normalisation. Within this context, this PhD propose to compare these environmental analysis methods in light of a two-populations model, based on their ability to distinguish the two populations. We show that local Hα-based specific star formation rate (lsSFR) and global stellar mass are better tracers than, for instance, host galaxy morphology. We show that these tracer accuracy variations can explain the discrepancy between the observed SNe Ia magnitude offsets found in the literature. Using lsSFR or global mass to distinguish the two populations can explain all other observations, though lsSFR is favoured. As lsSFR is strongly connected to age, our results favour a prompt and delayed population model. In any case, there exists two populations that differ in standardized magnitude by at least 0.121 +/- 0.010 mag

    Étude de l’impact de l’environnement galactique sur la standardisation des Supernovae de Type Ia

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    Type Ia Supernovae (SNe Ia) are standardizable candles that allow to measure the recent expansion rate of the Universe. However, their true nature remains unknown. Consequently, due to uncertainties in progenitor physics, potential astrophysical dependencies may bias cosmological measurements if not properly accounted for. Last decades studies have shown several relations between SNe Ia properties and those of their host galaxy. Yet, the correct way to account for astrophysical effects remains uncertain. Presently, the dependency of the intrinsic luminosity of SNe Ia with their host-galaxy environment is used to standardize SNe Ia luminosity and is commonly parameterized as a step function. This functional form implicitly assumes two-populations of SNe Ia. In the literature, multiple environmental indicators have been considered, finding different, sometimes incompatible, step function normalisation. Within this context, this PhD propose to compare these environmental analysis methods in light of a two-populations model, based on their ability to distinguish the two populations. We show that local Hα-based specific star formation rate (lsSFR) and global stellar mass are better tracers than, for instance, host galaxy morphology. We show that these tracer accuracy variations can explain the discrepancy between the observed SNe Ia magnitude offsets found in the literature. Using lsSFR or global mass to distinguish the two populations can explain all other observations, though lsSFR is favoured. As lsSFR is strongly connected to age, our results favour a prompt and delayed population model. In any case, there exists two populations that differ in standardized magnitude by at least 0.121 +/- 0.010 mag.Les Supernovae de Type Ia (SNe Ia) sont des chandelles standardisables qui nous permettent de mesurer le taux d'expansion récent de l'Univers. Cependant, leur nature exacte reste encore inconnue. À cause des incertitudes dans la physique du progéniteur de ces objets, des effets astrophysiques peuvent biaiser les mesures cosmologiques s'ils ne sont pas pris en compte correctement. Au cours des dernières décennies, nous avons pu observer des corrélations entre les propriétés des SNe Ia et celles de leur galaxie hôte. Cependant, la manière de prendre en compte correctement ces effets astrophysiques reste incertaine. Actuellement, la dépendance de la luminosité intrinsèque des SNe Ia avec l'environnement de leur galaxie hôte est employée pour standardiser la luminosité des SNe Ia, communément caractérisée par une fonction de marche (ou de Heaviside). Cette forme fonctionnelle assume, de manière implicite, l'existence de deux populations de SNe Ia. Dans la littérature, plusieurs indicateurs environnementaux ont été présentés, donnant des normalisations de la fonction de marche différentes, parfois incompatibles. Dans ce contexte, cette thèse propose de comparer les différentes méthodes d'analyse de l'environnement galactique des SNe Ia par le développement d'un modèle statistique de deux populations de SNe Ia. Ce modèle est basé sur la capacité des différents traceurs pour distinguer les deux populations. Nous montrons que le taux de formation stellaire spécifique, mesuré localement autour des SNe Ia au moyen des raies Hα (lsSFR), et la masse stellaire globale sont de meilleurs traceurs que, par exemple, la morphologie des galaxies hôtes. Nous montrons que les variations dans la précision de ces traceurs permettent d'éclaircir les différents résultats de l'écart de magnitude des SNe Ia obtenus dans la littérature. En l'occurrence, utiliser le lsSFR ou la masse stellaire globale pour identifier les deux populations permet d'expliquer l'ensemble des autres observations, bien que le lsSFR soit favorisé. Étant donné que le lsSFR est fortement lié à l'âge de l'environnement stellaire, nos résultats favorisent une distinction des SNe Ia par l'âge de leur progéniteur (« prompt » et « tardif »). Dans tous les cas, il existe deux populations de SNe Ia qui diffèrent en magnitude standardisée par au moins 0.121 +/- 0.010 mag

    Reconsidering photometric estimation of local star formation environment and its correlation with Type Ia Supernova luminosity

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    International audienceRecent studies on the environmental dependence of Type Ia supernova (SN Ia) luminosity focus on the local environment where the SN exploded, considering that this is more directly linked to the SN progenitors. However, there is a debate about the local environmental, specifically local star formation rate (SFR), dependence of the SN Ia luminosity. A recent study claims that the dependence is insignificant (0.051±0.0200.051 \pm 0.020 mag; 2.6σ2.6\sigma), based on the local SFR measurement by fitting local ugrizyugrizy photometry data. However, we find that this photometric local SFR measurement is inaccurate. We argue this based on the theoretical background of SFR measurement and the methodology used to make that claim with their local ugrizyugrizy photometry data, especially due to a limited range of extinction parameters used when fitting the data. Therefore, we re-analyse the same host galaxies with the same fitting code, but with more physically motivated extinction treatments and global ugrizugriz photometry of host galaxies. We estimate global stellar mass and SFR. Then, local star formation environments are inferred by using the method which showed that SNe Ia in globally passive galaxies have locally passive environments, while those in globally star-forming low-mass galaxies have locally star-forming environments. We find that there is significant local environmental dependence of SN Ia luminosities: SNe Ia in locally star-forming environments are 0.072±0.0210.072\pm0.021 mag (3.4σ3.4\sigma) fainter than those in locally passive environments, even though SN Ia luminosities have been further corrected by the BBC method that reduces the size of the dependence

    Pharmacomodulation of a ligand targeting the HBV capsid hydrophobic pocket

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    International audienceHepatitis B virus (HBV) is a small enveloped retrotranscribing DNA virus and an important human pathogen. Its capsid-forming core protein (Cp) features a hydrophobic pocket proposed to be central notably in capsid envelopment. Indeed, mutations in and around this pocket can profoundly modulate, and even abolish, secretion of enveloped virions. We have recently shown that Triton X-100, a detergent used during Cp purification, binds to the hydrophobic pocket with micromolar affinity. We here performed pharmacomodulation of pocket binders through systematic modifications of the three distinct chemical moieties composing the Triton X-100 molecule. Using NMR and ITC, we found that the flat aromatic moiety is essential for binding, while the number of atoms of the aliphatic chain modulates binding affinity. The hydrophilic tail, in contrast, is highly tolerant to changes in both length and type. Our data provide essential information for designing a new class of HBV antivirals targeting capsid-envelope interactions

    La technique y pourvoira !

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    En ce début de XXIe siècle, l’espace public et médiatique foisonne de discours et de prophéties sur l’innovation technique qui promettent un monde meilleur sinon le « meilleur des mondes », dans un écho lointain à cette l’idéologie du progrès qui triomphait sous les « Trente Glorieuses » et que l'on croyait à jamais ensevelies sous l’avalanche des critiques du dernier quart du XXe siècle. La liste s’allonge tous les jours depuis les multiples perfectionnements de la microinformatique, désormais intimement associée à Internet et à la communication multisupport, jusqu'à l'intelligence artificielle et la robotique, en passant par la géoingénierie, chimie verte, les applications des neurosciences, des technologies satellites, de la thérapie génique ou la biologie de synthèse. Malgré leur diversité de forme et d’ambition, par leur seule répétition amplifiée par le « buzz » médiatique et la dramaturgie des « démos », ces promesses instillent quotidiennement l’évidence de l’avènement de futurs technicisés, présentés à la fois comme inévitables et désirables. Ces promesses en cascade attestent d’une nouvelle accélération du développement technique qui affecte toute la vie sociale, dans une nouvelle phase de son histoire où les différents champs scientifiques se combinent en abolissant les frontières disciplinaires. Elles révèlent également la force d’un conditionnement culturel qui nous conduit à croire, en abdiquant souvent tout esprit critique, au miracle technologique toujours recommencé. Si bien que, dans cette effervescence techno-futuriste, l’on finit par les prendre « pour argent comptant », y compris lorsque le développement des innovations annoncées est embryonnaire ou hypothétique

    Molecular elucidation of drug-induced abnormal assemblies of the hepatitis B virus capsid protein by solid-state NMR

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    Hepatitis B virus (HBV) capsid assembly modulators (CAMs) represent a recent class of anti-HBV antivirals. CAMs disturb proper nucleocapsid assembly, by inducing formation of either aberrant assemblies (CAM-A) or of apparently normal but genome-less empty capsids (CAM-E). Classical structural approaches have revealed the CAM binding sites on the capsid protein (Cp), but conformational information on the CAM-induced off-path aberrant assemblies is lacking. Here we show that solid-state NMR can provide such information, including for wild-type full-length Cp183, and we find that in these assemblies, the asymmetric unit comprises a single Cp molecule rather than the four quasi-equivalent conformers typical for the icosahedral T = 4 symmetry of the normal HBV capsids. Furthermore, while in contrast to truncated Cp149, full-length Cp183 assemblies appear, on the mesoscopic level, unaffected by CAM-A, NMR reveals that on the molecular level, Cp183 assemblies are equally aberrant. Finally, we use a eukaryotic cell-free system to reveal how CAMs modulate capsid-RNA interactions and capsid phosphorylation. Our results establish a structural view on assembly modulation of the HBV capsid, and they provide a rationale for recently observed differences between in-cell versus in vitro capsid assembly modulation.ISSN:2041-172

    Rivaroxaban with or without aspirin in stable cardiovascular disease

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    BACKGROUND: We evaluated whether rivaroxaban alone or in combination with aspirin would be more effective than aspirin alone for secondary cardiovascular prevention. METHODS: In this double-blind trial, we randomly assigned 27,395 participants with stable atherosclerotic vascular disease to receive rivaroxaban (2.5 mg twice daily) plus aspirin (100 mg once daily), rivaroxaban (5 mg twice daily), or aspirin (100 mg once daily). The primary outcome was a composite of cardiovascular death, stroke, or myocardial infarction. The study was stopped for superiority of the rivaroxaban-plus-aspirin group after a mean follow-up of 23 months. RESULTS: The primary outcome occurred in fewer patients in the rivaroxaban-plus-aspirin group than in the aspirin-alone group (379 patients [4.1%] vs. 496 patients [5.4%]; hazard ratio, 0.76; 95% confidence interval [CI], 0.66 to 0.86; P<0.001; z=−4.126), but major bleeding events occurred in more patients in the rivaroxaban-plus-aspirin group (288 patients [3.1%] vs. 170 patients [1.9%]; hazard ratio, 1.70; 95% CI, 1.40 to 2.05; P<0.001). There was no significant difference in intracranial or fatal bleeding between these two groups. There were 313 deaths (3.4%) in the rivaroxaban-plus-aspirin group as compared with 378 (4.1%) in the aspirin-alone group (hazard ratio, 0.82; 95% CI, 0.71 to 0.96; P=0.01; threshold P value for significance, 0.0025). The primary outcome did not occur in significantly fewer patients in the rivaroxaban-alone group than in the aspirin-alone group, but major bleeding events occurred in more patients in the rivaroxaban-alone group. CONCLUSIONS: Among patients with stable atherosclerotic vascular disease, those assigned to rivaroxaban (2.5 mg twice daily) plus aspirin had better cardiovascular outcomes and more major bleeding events than those assigned to aspirin alone. Rivaroxaban (5 mg twice daily) alone did not result in better cardiovascular outcomes than aspirin alone and resulted in more major bleeding events
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