37 research outputs found

    Allergie alimentaire de l'enfant (influence de l'éviction thérapeutique et évaluation de notre pratique)

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    Le traitement de l'allergie alimentaire est basé sur une éviction de l'aliment. Une telle décision ne peut être prise sans preuves suffisantes, en particulier chez les jeunes enfants dont le développement nécessite une alimentation variée. Nous avons étudié 74 enfants suivis par le Dr Bourrain au CHU de Grenoble. Parmi eux, 31 % étaient allergiques à l'arachide, 12 % au lait, 50 % à l'oeuf et 7 % au poisson. 25 % des régimes d'éviction ont été mis en route sur des arguments uniquement plausibles, sans test de provocation initial. Si le régime n'était pas strict et exhaustif dans 87 % des cas, seulement 11,5 % ont mangé de façon ponctuelle l'aliment suspect, et environ la moitié ont été exposé occasionnellement à de faibles quantités d'allergènes. Les tests de provocation orale ont été négatifs pour 59,7 % des enfants à régime strict (N=129) contre 61,9 % des enfants à régime peu strict (N=105). Les régimes stricts, de réalisations très lourdes, pourraient ainsi être allégésPARIS12-CRETEIL BU Médecine (940282101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Pollens et allergie (calendrier pollinique de Grenoble en 1998)

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    GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    La prise en charge de la rhinoconjonctivite allergique saisonnière par les médecins généralistes de Grenoble

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    GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Le syndrome AHA (à propos de 3 cas, comparaison aux données de la littérature)

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    En 1987, Mac Neil a rapporté les observations de 9 patients qui ont présenté la triade arthralgies/urticaire/angio-œdème en l'absence de toute infection ou de connectivite et a suggéré que ce syndrome représentait une entité à part désignée par l'acronyme AHA (Arthritis, Hives, Angioedema). Nous décrivons les cas de trois patients qui ont présenté un tableau similaire avec néanmoins des signes de dysimmunité apparaissant de façon labile chez deux d'entre eux. Le fait que la triade arthralgies/urticaire/angio-œdème soit constituée de signes cliniques fréquents et peu spécifiques et qu'elle apparaisse dans de nombreuses pathologies nous incite à remettre en question la réelle autonomie du syndrome AHA. De plus la présence de signes de dysimmunité dans deux de nos exemples indique que ce syndrome est peut-être le signe avant coureur d'une maladie auto-immune et même si aucun des patients cités n'a évolué vers une telle pathologie il est indispensable de les éliminer avant de conclure à un syndrome AHA. Par ailleurs on peut supposer qu'il existe un lien préférentiel entre syndrome AHA et typage HLA B51. Ce lien repose sur une publication de Pasero qui décrit un syndrome proche sans évoquer clairement le syndrome AHA chez quatre patients présentant tous un typage HLA B51. Un plus grand nombre d'observations seraient donc nécessaires pour attester de l'autonomie du syndrome AHA et confirmer son lien avec le typage HLA B51. Face à ces incertitudes on est tenté d'isoler le syndrome AHA non pas comme une pathologie indépendante mais plutôt comme une forme clinique particulière d'urticaire chronique dont l'apparition serait favorisée par l'appartenance au groupe HLA B51.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    An Unusual Case of Occupational Rhinitis

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    International audienceAllergic rhinitis, when not related to proteic allergens, is difficult to diagnose. We report a case in which no association with a high-molecular-weight allergen was identified
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