57 research outputs found

    Essai de prospective sur la population mondiale

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    En 200 anos, muchas cosas pueden suceder

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    Del siglo XX al siglo XXI: Europa y su población después del año 2000

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    Incluye BibliografíaContiene cifras observadas desde 1800 a 1985 y proyectadas al 2100 de la evolución de la población en Europa

    Application de l'analyse factorielle à l'étude de la mortalité

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    Avant d'établir divers réseaux de tables-types de mortalité, à partir d'un ensemble de 157 tables existantes, Sully Ledermann avait soumis cet échantillon à une analyse facto- rielle. Il cherchait alors quelles dimensions de la mortalité il faudrait prendre en compte pour reconstituer, avec une précision suffisante, une table grâce à un nombre limité d'indices. J. Bourgeois-Pichat reprend ici ses conclusions et les applique à une analyse de la mortalité américaine. Il procédera de même par la suite avec les départements français et l'évolution séculaire ou récente de la mortalité en Norvège, en France et au Japon. La définition d'indices synthétiques originaux, qui avait déjà orienté ses travaux sur la mortalité infantile et sur la fécondité, continue donc de le préoccuper.Bourgeois-Pichat Jean. Application de l'analyse factorielle à l'étude de la mortalité. In: Population, 45ᵉ année, n°4-5, 1990. pp. 773-802

    Théorie des populations semi-stables et application

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    Dans la théorie des populations stables, le théorème de Lotka s'énonce ainsi : si on fige la mortalité et la fécondité à partir de l'instant t dans une population quelconque, celle-ci tend vers la population stable correspondant aux conditions de mortalité et de fécondité devenues invariables. Cette limite n'est atteinte qu'après un intervalle de temps infini, mais on peut calculer la durée nécessaire pour s' en approcher de très près. Il existe un parallèle entre ce théorème et la loi d'inertie de la mécanique classique : un objet mû par des forces changeantes décrit une courbe et continue son mouvement sur la tangente à cette courbe au moment où les forces ne varient plus. Mais le départ sur la tangente est immédiat. Jean Bourgeois-Pichat découvre la notion de semi-stabilité en se demandant s'il existe des populations qui s'adaptent sans retard au modèle stable défini par la mortalité et la fécondité de l'instant t.Bourgeois-Pichat Jean. Théorie des populations semi-stables et application. In: Population, 45ᵉ année, n°4-5, 1990. pp. 821-847

    Un essai d'évaluation de la précision des statistiques démographiques d'un pays sous-développé : la Thaïlande

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    Bourgeois-Pichat Jean. Un essai d'évaluation de la précision des statistiques démographiques d'un pays sous-développé : la Thaïlande. In: Population, 15ᵉ année, n°1, 1960. pp. 131-135

    Evolution générale de la population française depuis le XVIIIe siècle

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    Bien que déjà écrite, l'histoire de la population française reste à écrire. Tout au moins de nombreuses lacunes subsistent-elles dans notre connaissance des faits élémentaires, même pendant la période statistique. C'est que l'exploitation des statistiques démographiques n'a jamais pu être faite encore faute d'un institut ou d'un service spécialisé. Malgré les importantes contributions fragmentaires des Bertillon, March, Huber pour ne citer que les disparus, une grande masse de statistiques reste à utiliser. C'est à la période mi-statistique, si l'on peut dire, que s'est attaqué M. Bourgeois-Pichat, c'est-à-dire à la période de statistiques moins computes et moins sûres que les actuelles. Sur l'ensemble de l'évolution de la population française, il a procédé à une reconstitution, qui, d'un coup, résout de nombreux problèmes jusqu'ici en suspens, dissipe des préjugés que seul le chiffrement était en mesure de combattre et ouvre des horizons nouveaux aux démographes et aux historiens. C'est donc tout un pan d'inconnu qui s'écroule sous l'effort d'analyse dont les méthodes sont aussi intéressantes que les résultats.Bourgeois-Pichat Jean. Evolution générale de la population française depuis le XVIIIe siècle. In: Population, 6ᵉ année, n°4, 1951. pp. 635-662

    La structure de la population et la sécurité sociale

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    Certaines diflicultés de la sécurité sociale ont été attribuées à la répartition par âge de la population française et certains risques à l'évolution future de cette répartition. Y a-t-il conflit entre, les besoins et les données démographiques héritées du passé ou imposées par l'évolution de la mortalité? Tel est le problème. L'auteur montre que l'évolution démographique des 20 prochaines années accroît les chargea d'un systèmt de sécurité sociale qui s'étendrait à l'ensemble de la рорulation. Pour les régimes spéciaux existant dans certaines professions, le déséquilibre est si important qu'il conduit à la notion générale de surcompensation nationaleBourgeois-Pichat Jean. La structure de la population et la sécurité sociale. In: Population, 5ᵉ année, n°3, 1950. pp. 435-492

    Le financement des retraites par capitalisation

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    Financing Retirement Benefits Through Capitalization. In a capitalist economy, there are two ways of financing a retirement scheme : distribution or capitalization. In the first case, the accounts are balanced each calendar year and, in the second, by cohort of birth. People born the same year, and their employers, contribute to the Fund by means of an account, which will eventually belong to the survivors. The money is invested by the Fund and the interest is credited to the same account. The system is organised in such a way that the account is empty the day after the last survivor dies. A formula is established giving, as a function of age, the capital owned by each cohort. The formula is applied to the population of France on January 1st, 1977. It shows that the Fund must own five times the yearly salarial mass with a rate of interest equal to 5 %, and 10 times with a rate of interest equal to zero. This represents an enormous capital, as it is generally assumed that the total capital of a country is equal to 4-5 times the salarial mass. It seems, therefore, that it is impossible for the system to function. In a stable population, the calculations are much more simple. The Coale and Demeny stable populations permit the drawing of a diagram giving the capital owned by the Fund as a function of the rates of interest, fertility and mortality. In order to obtain a capital smaller than 5 times the salarial mass, mortality, fertility, and the rate of interest must be very high. This confirms that, in developed countries, the system is unable to function. The simplifying assumptions used for the calculations are then discussed. With the present economic and demographic conditions in developed countries, the Fund has to receive interests equal to 40 % of the yearly salarial mass. It is possible to examine the national accounts to see if this percentage can be reached. This will be the subject of a forthcoming article.Dans une économie capitaliste, deux moyens existent pour financer un système de retraite : la répartition et la capitalisation. Dans le premier cas, les comptes sont équilibrés par année civile, et dans le second, par génération. Les personnes nées une même année cotisent, ainsi que leurs employeurs, à un compte affecté aux survivants. Les sommes recueillies sont investies par la caisse et les intérêts sont crédités au même compte. Le système est organisé de façon que la somme inscrite au compte est nulle le lendemain du jour où disparaît le dernier représentant de la génération. Une formule est établie qui donne, en fonction de l'âge, le capital possédé par chaque génération. Une application est faite à la population de la France au 1er janvier 1977. Elle montre que la caisse devrait posséder 5 fois la masse salariale annuelle avec un taux d'intérêt de 5 %, et 10 fois avec un taux d'intérêt nul. C'est un capital considérable. En effet, le capital d'une nation est égal à 4 ou 5 fois la masse salariale. Il semble donc que le système ne puisse pas fonctionner. Dans une population stable, les calculs se simplifient beaucoup. Les populations stables de Coale et Demeny permettent de tracer un diagramme donnant le capital possédé par la caisse en fonction du taux d'intérêt, de la fécondité, et de la mortalité. Il montre que le capital possédé est inférieur à 5 fois la masse salariale, si la mortalité, la fécondité et le taux d'intérêt sont élevés, confirmant ainsi l'impossibilité de fonctionner dans les pays développés. Les hypothèses simplificatrices utilisées pour le calcul sont ensuite discutées. Avec les conditions démo-économiques actuelles des pays développés, la caisse doit prélever chaque année, en rémunération du capital, 40 % de la masse salariale annuelle. Il est possible d'examiner dans les comptes nationaux si ce pourcentage peut être atteint. La question sera traitée dans un prochain article.El financiamiento de las jubilaciones mediante la capitalization. En una economia capitalista existen dos medios para financiar un sistema de jubilación : la distribución anual y la capitalización. En el primer caso, las cuentas se equilibran en cada afio civil, y en el segundo, por cada generation. Las personas nacidas en un mismo aňo, al igual que sus patrones, abonan sus cuotas en una cuenta abierta a los sobrevivientes. Las sumas recolectadas son invertidas por la Caja y los intereses son abonados a la misma cuenta. El sistema se organiza de tal manera que los montos acumulados en la cuenta se anulan al desaparecer el ultimo representante de la generación. Se proporciona una formula que permite estimar el capital poseido por cada generación, en función de la edad. Se efectúa también una aplicación para la población de Francia al primero de Enero de 1977. Se demuestra asi que la Caja debería poseer una capital équivalente a 5 veces la suma de los salarios anuales si se considéra una tasa de interés de 5 %, y 10 veces la suma de salarios si se considéra una tasa de interés nulo. Es un capital énorme. Ya que en efecto, el capital de una nación es aproximadamente igual a 4 о 5 veces la suma de los salarios. Parece entonces que el sistema no puede funcionar. En una población estable los cálculos se simplifican mucho. Las poblaciones estables de Coale y Demeny permiten dibujar un diagrama en el cual puede estimarse el capital que debe tener la Caja en función de la tasa de interés, de la fecundidad y de la mortalidad. Se verifica entonces que el capital necesario a la Caja es inferior a 5 veces la suma de los salarios, si la mortalidad, la fecundidad y la tasa de interés son elevados. Se confirma entonces la imposibildad de que el sistema funcione en los países desarrollados. Se discuten también las hipótesis utilizadas para simplificar los cálculos. En las actuales condiciones demográficas y económicas de los países desarrollados, la Caja debería descontar cada afio una suma équivalente al 40 % de la suma de los salarios, en remuneración del capital. Es posible verificar si este por- centaje puede ser obtenido en las cuentas nacionales. Pero este tema sera el objeto de otro articulo.Bourgeois-Pichat Jean. Le financement des retraites par capitalisation. In: Population, 33ᵉ année, n°6, 1978. pp. 1115-1136

    La mesure de la mortalité infantile. II. Les causes de décès

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    Bourgeois-Pichat Jean. La mesure de la mortalité infantile. II. Les causes de décès. In: Population, 6ᵉ année, n°3, 1951. pp. 459-480
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