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Selection De Deux Nouvelles Varietes De Riz Irrigue (Oryza sativa L.) a Un Haut Niveau De Resistance Au Virus De La Panachure Jaune (RYMV) En CĂŽte Dâivoire
Bouaké189 et WITA9 sont des variétés améliorées de riz irrigués, qui figurent parmi les seules mises au point, homologuées et actuellement cultivées en Côte d’Ivoire. Malheureusement, le matériel végétal s’est avéré, à des degrés variables, et selon les localités, sensible la panachure jaune (RYMV), causée par un virus redoutable en riziculture aquatique. Un essai multi-sites a été réalisé dans les localités de Daloa, Gagnoa, Diégonéfla et Tiassalé, en vue de sélectionner d’autres génotypes de riz irrigué résistants/tolérants à la panachure jaune. L’objectif étant de trouver une alternative à ces deux variétés. Les résultats montrent que les variétés Bouaké-am, WAS63-22-5-1-7-7 RPJ, en plus de WITA9, ont eu un bon niveau de résistance au RYMV, notamment la variété Bouaké-am n’a présenté aucun symptôme de la maladie dans toutes les localités étudiées. Les deux premières variétés citées plus haut se sont présentées au champ comme des relais potentiels à WITA9 pour la lutte contre la panachure jaune.Bouaké 189 and WITA9 are improved lowland rice varieties recommended to farmers and that are widely cultivated in Côte d’Ivoire. Unfortunately, this crop showed, at different scales and according to localities, susceptibility to Rice Yellow Mottle Virus (RYMV), a notorious pest in lowland rice farming. in order to select flooded rice varieties that are resistant to RYMV, a multi-site trial was carried out in the centre west: Daloa, Gagnoa, Diégonefla and in the south-east of the country: Tiassalé. Results showed that the Bouaké-am and WAS63-22-5-1-7-7RPJ, including WITA9 genotypes exhibited a high level of resistance to RYMV, especially Bouaké-am at all sites investigated. The first two above-mentioned varieties can be used as possible substitutes for WITA9 in the fight against the RYMV disease.Keywords: Côte d’Ivoire, RYMV, selection, resistant, irrigated ric
Impact de la surveillance humaine sur les dĂ©gĂąts dâoiseaux en riziculture pluviale
La production rizicole locale en CĂŽte dâIvoire est dĂ©ficitaire de plus 900 000 tonnes de riz blanchi Ă ce jour. Aussi, lâEtat importe depuis plusieurs annĂ©es du riz afin de satisfaire la demande sociale. Les dĂ©gĂąts dâoiseaux constituent lâune des contraintes biotiques majeures Ă la base de cette faible productivitĂ© en riziculture. Traditionnellement, la surveillance humaine des riziĂšres en dĂ©but de maturation est le moyen de lutte anti aviaire utilisĂ© par les riziculteurs. Mais cette pratique, souvent mal assurĂ©e, ne produit pas les rĂ©sultats escomptĂ©s. Un essai a Ă©tĂ© conduit Ă la station de recherche de Man, en riziculture pluviale, dans le but de rendre plus efficace le gardiennage humain contre les oiseaux pendant la phase de maturation du riz. Quatre modalitĂ©s de surveillance humaine contre les oiseaux ont Ă©tĂ© comparĂ©es, dans un dispositif matĂ©rialisĂ© par quatre parcelles distantes les unes des autres de 50 m. Les variables analysĂ©es sont : le nombre total de talles émises Ă la maturitĂ© technologique, le nombre de talles fertiles Ă la maturitĂ© technologique, le poids sec de la paille et le poids de paddy aprĂšs sĂ©chage et vannage. Suite aux analyses statistiques, les rĂ©sultats ont montrĂ©Â que la surveillance humaine dâune riziĂšre de plateau pendant le cycle de croissance et de maturation de la panicule est nĂ©cessaire pour Ă©viter ou rĂ©duire Ă plus de 80% les pertes de production induites par les oiseaux. Cependant, face aux exigences (prĂ©sence permanente aux moments critiques des attaques dâoiseaux, insuffisance et /ou coĂ»t Ă©levĂ© de la main dâoeuvre surveillant) liĂ©es au gardiennage, dâautres mĂ©thodes de lutte contre les oiseaux doivent ĂȘtre envisagĂ©es. Ces mĂ©thodes devront rĂ©duire voire se priver de la prĂ©sence humaine pendant la pĂ©riode critique de la pression des oiseaux, câest-Ă -dire de la phase de remplissage Ă la maturation des grains.Mots clĂ©s : Riziculture pluviale, surveillance humaine, oiseaux, CĂŽte dâIvoire, Man
Exciton dynamics in WSe2 bilayers
We investigate exciton dynamics in 2H-WSe2 bilayers in time-resolved
photoluminescence (PL) spectroscopy. Fast PL emission times are recorded for
both the direct exciton with ~ 3 ps and the indirect optical
transition with ~ 25 ps. For temperatures between 4 to 150 K
remains constant. Following polarized laser excitation, we observe
for the direct exciton transition at the K point of the Brillouin zone
efficient optical orientation and alignment during the short emission time
. The evolution of the direct exciton polarization and intensity as a
function of excitation laser energy is monitored in PL excitation (PLE)
experiments.Comment: 4 pages, 3 figure
Ăvaluation des rĂ©actions des nouveaux gĂ©notypes du riz Ă lâhelminthosporiose (Bipolaris oryzae) en CĂŽte DâIvoire
La production rizicole (Oryza sativa L.) en CĂŽte dâIvoire est menacĂ©e par plusieurs contraintes biotiques particuliĂšrement les maladies dont lâhelminthosporiose est lâune des plus prĂ©judiciables. Cette maladie est causĂ©e par le champignon Bipolaris oryzae, trĂšs rependue en riziculture pluviale. Dans le cadre de la mise en place de moyens de lutte contre cette phytomycose, une Ă©tude a Ă©tĂ© menĂ©e avec une dizaine de gĂ©notypes de riz. Lâessai a Ă©tĂ© conduit en milieu rĂ©el, sous pression naturelle dâhelminthosporiose selon un dispositif expĂ©rimental en split plot Ă GbombĂ©lo dans la sous-prĂ©fecture de Biankouma. Au cours de cette expĂ©rimentation, les notes de sĂ©vĂ©ritĂ© attribuĂ©es aux gĂ©notypes ont Ă©tĂ© diffĂ©rentes dâun gĂ©notype Ă un autre. Les rĂ©sultats obtenus sur les paramĂštres agronomiques ont montrĂ© non seulement une rĂ©duction du nombre de talles et du poids de mille grains allant de 4,9 % Ă 15,97 % et 12,8 % Ă 38,6 % respectivement sous lâaction du champignon. Par ailleurs, les pertes de rendements induites par la maladie sur les gĂ©notypes ont variĂ© Ă©galement de 20,35 % Ă 56,49 %. Globalement, lâessai a enregistrĂ© une perte moyenne de rendement estimĂ©e Ă , lâhelminthosporiose a causĂ© une perte moyenne de rendement de 34,37 %. De tous les gĂ©notypes Ă©valuĂ©s, les gĂ©notypes ARCC3Fa3L10P1-1-B-1 et WAB 891-SG12 ont affichĂ© une bonne tolĂ©rance vis-Ă -vis du champignon en tenant compte de la sĂ©vĂ©ritĂ©, des composantes de rendements du riz et de lâincidence de la maladie. Lâadoption des gĂ©notypes ARCC3Fa3L10P1-1-B-1 et WAB 891-SG12 sâavĂšre prometteur dans un programme de lutte gĂ©nĂ©tique contre lâhelminthosporiose du riz en CĂŽte dâIvoire
Effet de la fertilisation azotĂ©e et phosphorĂ©e sur le dĂ©veloppement de la Panachure jaune en riziculture aquatique en CĂŽte dâIvoire
La crise mondiale du riz survenue en 2008 a montrĂ© lâimpĂ©rative nĂ©cessitĂ© pour les pays tributaires des importations comme la CĂŽte dâIvoire, dâassurer leur autosuffisance. La fertilisation minĂ©rale figure parmiles cinq axes stratĂ©giques dĂ©finis pour lâaccroissement de la production rizicole en CĂŽte dâIvoire. Sachant lâeffet stimulateur de lâengrais azotĂ© sur le dĂ©veloppement de certaines maladies telle que la Pyriculariose duriz, un essai a Ă©tĂ© conduit dans le but de savoir lâinfluence dâune application optimale de lâazote sur lâĂ©pidĂ©mie de la Panachure jaune du riz ou Rice Yellow Mottle Virus (RYMV). LâĂ©tude a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e selon un dispositif expĂ©rimental en SPLIT-PLOT comportant quatre niveaux dâazote (0 kg N Ha-1, 30 kg N Ha-1, 60 kg N Ha-1, 120 kg N Ha-1), trois niveaux de phosphore (0 kg P Ha-1, 13 kg P Ha-1, 26 kg N Ha-1) et 10 gĂ©notypes de riz irriguĂ©. Les rĂ©sultats ont montrĂ© que le phosphore et lâinteraction NxP nâont aucun effet significatif sur lâĂ©pidĂ©mie de RYMV. A lâopposĂ©, les analyses ont mis en Ă©vidence un effet significatif de lâazote sur lâincidence de la Panachure jaune Ă des doses comprises entre 0 et 30 Kg N Ha-1. Cet intervalle de doses Ă©tant en deçà de celui des doses recommandĂ©es en CĂŽte dâIvoire, lâintensification de la riziculture aquatique par unefertilisation azotĂ©e optimale, nâaura pas dâincidence significative sur le dĂ©veloppement de la Panachure jaune. Il faudra cependant sensibiliser les riziculteurs sur lâintĂ©rĂȘt dâappliquer des doses dâengrais recommandĂ©es dans la lutte contre la virose.Mots clĂ©s: Riz irriguĂ©, fertilisation minĂ©rale, Ă©pidĂ©mie, RYMV, incidence
Comportement de nouvelles lignĂ©es isogĂ©niques de riz irriguĂ© dotĂ©es du gĂšne de rĂ©sistance (rymv1) au RYMV en Afrique de lâouest : situation en CĂŽte dâIvoire
La production rizicole nationale en CĂŽte dâIvoire est dĂ©ficitaire depuis plusieurs annĂ©es pour des raisons diverses parmi lesquelles les pertes de rĂ©colte dues Ă la panachure jaune (RYMV), notamment en riziculture irriguĂ©e, constituent lâune des principales. Des efforts de recherche ont abouti Ă la sĂ©lection de deux variĂ©tĂ©s de riz rĂ©sistantes (BouakĂ©-am et WAS63-22-5-1-7-7-RPJ) pour relayer les variĂ©tĂ©s BouakĂ© 189 et WITA9 plus ou moins sensibles Ă la maladie. Cependant, face Ă la diversitĂ© biologique du RYMV, la recherche dâautres gĂ©notypes de riz rĂ©sistants se poursuit. Aussi, des essais ont-ils Ă©tĂ© conduits en milieux rĂ©el et contrĂŽlĂ© afin de sĂ©lectionner au sein de gĂ©notypes de riz les individus rĂ©sistants avec en plus un bon profil agronomique. Le dispositif expĂ©rimental adoptĂ© dans lâensemble a Ă©tĂ© un bloc de Fischer Ă 4 rĂ©pĂ©titions. En milieu rĂ©el, les travaux ont eu pour sites Sogbonon (Dabakala, au Centre), KouitongouinĂ© (Man, Ă lâOuest) et TiassalĂ© (au Sud), des localitĂ©s traditionnellement endĂ©miques de panachure jaune. Les rĂ©sultats ont rĂ©vĂ©lĂ© en gĂ©nĂ©ral que les quatre lignĂ©es isogĂ©niques (NIL2, NIL16, NIL54, NIL130) prĂ©sentent un haut niveau de rĂ©sistance face Ă la diversitĂ© biologique du RYMV en CĂŽte dâIvoire. Cette information permet dâenvisager le dĂ©ploiement, sans grand risque de contournement du gĂšne rymv1-2 prĂ©sent dans les lignĂ©es isogĂ©niques. Par ailleurs, NIL130 et secondairement NIL2 se sont distinguĂ©es au niveau agronomique. Par consĂ©quent, la variĂ©tĂ© NIL130 peut ĂȘtre une alternative Ă WITA9 et BouakĂ© 189 pour la riziculture irriguĂ©e en CĂŽte dâIvoire. Cependant, pour que cette variĂ©tĂ© exprime son potentiel agronomique, il faut entre autres un bon amĂ©nagement hydro-agricole du bassin de culture. Cela suppose, un travail de sol appropriĂ© et une maĂźtrise dans la gestion de lâeau dâirrigation.Mots clĂ©s: SĂ©lection, panachure jaune, riziculture aquatique, variĂ©tĂ©, milieu semi-contrĂŽlĂ©, milieu rĂ©el
Exciton states in monolayer MoSe2: impact on interband transitions
We combine linear and non-linear optical spectroscopy at 4K with ab initio
calculations to study the electronic bandstructure of MoSe2 monolayers. In
1-photon photoluminescence excitation (PLE) and reflectivity we measure a
separation between the A- and B-exciton emission of 220 meV. In 2-photon PLE we
detect for the A- and B-exciton the 2p state 180meV above the respective 1s
state. In second harmonic generation (SHG) spectroscopy we record an
enhancement by more than 2 orders of magnitude of the SHG signal at resonances
of the charged exciton and the 1s and 2p neutral A- and B-exciton. Our
post-Density Functional Theory calculations show in the conduction band along
the direction a local minimum that is energetically and in k-space
close to the global minimum at the K-point. This has a potentially strong
impact on the polarization and energy of the excitonic states that govern the
interband transitions and marks an important difference to MoS2 and WSe2
monolayers.Comment: 8 pages, 3 figure
Synthesis, structural and spectral studies of 5-methyl 2-furaldehyde thiosemicarbazone and its Co, Ni, Cu and Cd complexes
The reaction of cobalt, nickel, copper and cadmium chlorides and bromides with 5-methylfurfural thiosemicarbazone (M5FTSC) leads to the formation of two series of new complexes: [M(M5FTSC)2X2], [M(M5FTSC)X2]. They have been characterized by spectroscopic studies (infrared, 1H NMR, and electronic spectra). The crystal structures of the free ligand M5FTSC and of the compound [CuCl2(M5FTSC)] have been determined by X-ray diffraction methods. For the Co(II), Ni(II) and Cu(II) complexes, the central atom is coordinated through the sulphur atom and the azomethine nitrogen atom whilst for the Cd(II) complexes, the coordination atoms are the sulphur and furanic oxygen atoms instead of the azomethine nitrogen
Criblage de quelques variĂ©tĂ©s de riz de CĂŽte dâIvoire pour la rĂ©sistance Ă la panachure jaune du riz : incidence de la maladie sur quelques caractĂšres agronomiques
La panachure jaune du riz (RYMV) est la maladie virale la plus connue des riziĂšres africaines qui occasionne des pertes Ă©conomiques importantes en Afrique de lâOuest. Dans le cadre de la lutte contre cette maladie, trente variĂ©tĂ©s et cultivars de riz irriguĂ© et pluvial de la collection de lâADRAO et du CNRA ont Ă©tĂ© criblĂ©es pour leur rĂ©sistance au RYMV. Onze variĂ©tĂ©s ont prĂ©sentĂ© des rĂ©sistances Ă 14 jours aprĂšs inoculation du virus avant que ces rĂ©sistances ne soient surmontĂ©es avec le temps. Lâimpact de la maladie sur les paramĂštres agronomiques mesurĂ©s est liĂ© Ă la sĂ©vĂ©ritĂ© des symptĂŽmes chez la plupart des variĂ©tĂ©s. Le rendement en grains a Ă©tĂ© le paramĂštre agronomique le plus affectĂ© par la virose (29,5 Ă 99,50% de perte). Sur la base de la rĂ©action des variĂ©tĂ©s testĂ©es, trois groupes ont Ă©tĂ© distinguĂ©s : le premier groupe tolĂ©rant, est reprĂ©sentĂ© par le cultivar traditionnel MorobĂ©rĂ©kan ; le second groupe modĂ©rĂ©ment tolĂ©rant est constituĂ© de WITA7, WITA8, WITA10 et du cultivar ZagouaglĂŽ ; enfin le troisiĂšme groupe, hautement sensible, regroupe les vingt cinq autres variĂ©tĂ©s.Rice Yellow Mottle (RYMV) is the most important viral disease of cultivated rice in Africa with an important economic impact. In order to control the disease, thirty lowland and upland rice varieties and cultivars from the WARDA and CNRA germplasm cellections were screened for RYMV resistance. Eleven varieties showed resistances 14 days after inoculation but these resistances were overcome with time. The impact of the disease on agronomic traits depended on symptom severity in most of rice varieties. The impact on yield was the most significant (29.5 to 99.5% yield losses) amongst the agronomic traits studied. Based on the reaction of the rice varieties to RYMV inoculation, three different groups were distinguished. The first group is composed of a tolerant cultivar represented by the traditional cultivar Moroberekan. The second group is composed of moderately tolerant varieties including WITA7, WITA8, WITA10 and the cultivar ZagouaglĂŽ. The last group comprises 25 highly susceptible varieties.Mots clĂ©s : criblage, Oryza sp. , RYMV, rĂ©sistance, tolĂ©ranc
Effet du paillage par des residus de pois dâangole (cajanus cajan l.) sur le rendement du riz (oryza sativa) pluvial en zone forestiere de CĂŽte dâIvoire
La riziculture pluviale, en zone forestiÚre de la CÎte d'Ivoire, est confrontée à plusieurs contraintes, dont, notamment la baisse de fertilité du sol et l'enherbement excessif. L'effet du paillage de Cajanus cajan comme engrais organique pour le riz pluvial, NERICA 1(Bonfani), a été évalué, en termes de rendement du riz. Cette étude a été conduite de 2003 à 2005 à la station de recherche du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) de Gagnoa. Deux rotations, à base de riz, avec les jachÚres à C. cajan de 6 mois et de 12 mois ont été testées et comparées, à celle avec la jachÚre naturelle. La biomasse des précédentes jachÚres est restée sur le sol comme mulch. Les résultats montrent que C. cajan ùgé de 12 mois a produit une biomasse sÚche de 17 t ha-1, en moyenne sur deux ans contre 1,7 t.ha-1 en 6 mois. La rotation riz avec C. cajan de 12 mois a amélioré significativement le rendement du riz, avec un gain de paddy qui a varié entre 700 et 900 kg ha-1, par rapport à la jachÚre naturelle. En plus, cette jachÚre à cajanus de 12 mois a permis de maintenir un minimum de rendement 1t ha-1. Cette technique offre une alternative de gestion durable des systÚmes traditionnels de riziculture pluviale
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