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    Reduction in sympathetic tone in patients with obstructive sleep apnoea: is fixed CPAP more effective than APAP? A randomised, parallel trial protocol

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    International audienceIntroduction Obstructive sleep apnoea (OSA) is a prevalent disease associated with cardiovascular events. Hypertension is one of the major intermediary mechanisms leading to long-term cardiovascular adverse events. Intermittent hypoxia and hypercapnia associated with nocturnal respiratory events stimulate chemoreflexes, resulting in sympathetic overactivity and blood pressure (BP) elevation. Continuous positive airway pressure (CPAP) is the primary treatment for OSA and induces a small but significant reduction in BP. The use of auto-adjusting positive airway pressure (APAP) has increased in the last years and studies showed different ranges of BP reduction when comparing both modalities. However, the pathophysiological mechanisms implicated are not fully elucidated. Variations in pressure through the night inherent to APAP may induce persistent respiratory efforts and sleep fragmentation that might impair sympathovagal balance during sleep and result in smaller decreases in BP. Therefore, this double-blind randomised controlled trial aims to compare muscle sympathetic nerve activity (MSNA) assessed by microneurography (reference method for measuring sympathetic activity) after 1 month of APAP versus fixed CPAP in treatment-naive OSA patients. This present manuscript describes the design of our study, no results are presented herein. and is registered under the below reference number. Methods and analysis Adult subjects with newly diagnosed OSA (Apnoea–Hypopnoea Index >20/hour) will be randomised for treatment with APAP or fixed CPAP. Measurements of sympathetic activity by MSNA, heart rate variability and catecholamines will be obtained at baseline and after 30 days. The primary composite outcome will be the change in sympathetic tone measured by MSNA in bursts/min and bursts/100 heartbeats. Sample size calculation was performed with bilateral assumption. We will use the Student’s t-test to compare changes in sympathetic tone between groups. Ethics and dissemination The protocol was approved by The French Regional Ethics Committee. The study started in March 2018 with primary completion expected to March 2019. Dissemination plans of the results include presentations at conferences and publication in peer-reviewed journals. Trial registration number NCT03428516 ; Pre-results

    Projet Veterra Massif Central : vétérinaires et territoires ruraux attractifs

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    Le projet de recherche VeTerrA part d’une question initiale qui vient du terrain : la diminution, en France comme dans de nombreux autres pays d’Europe et du monde, du nombre de vétérinaires dans les territoires ruraux, en particulier les vétérinaires qui exercent auprès des animaux d’élevage. Financé par la Région Auvergne, l’Europe (FEDER) et l’Etat (FNADT) dans le cadre de la Convention Interrégionale de Massif – Massif central et du programme opérationnel Massif central FEDER, ce projet, porte par Vet Agro Sup, a visé, sur une durée de deux ans, à explorer ce problème et les conditions susceptibles de favoriser l’installation et le maintien de vétérinaires dans les territoires ruraux du Massif central. D’un point de vue organisationnel, il a réuni principalement une quinzaine de chercheurs et enseignants-chercheurs de l’UMR Metafort, un doctorant, ainsi que des personnels temporaires, des stagiaires et des post-doctorants embauchés pour l’occasion. Une originalité de ce projet a été de proposer un regard résolument pluridisciplinaire (géographie, zootechnie des systèmes d’élevage, économie, science politique, sciences de l’éducation) pour éclairer une question de terrain. Compte tenu de cette entrée par le terrain, des interactions régulières ont été organisées avec différents partenaires professionnels, notamment dans le cadre d’un comité de pilotage réunissant, en plus des chercheurs et enseignants-chercheurs de l’UMR participant au projet, des représentants du monde vétérinaire (Conseil de l’Ordre des Vétérinaires (niveau national et niveau auvergnat), Syndicat National des Vétérinaires d’Exercice Liberal (SNVEL), Groupements Techniques Vétérinaires (GTV) Rhône-Alpes et Auvergne, Fédération des Eleveurs et Vétérinaires en Convention (FEVEC)), des écoles vétérinaires (VetAgro Sup mais aussi l’Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT)), des représentants du monde de l’élevage (GDS Auvergne), et des représentants de l’Etat, des territoires et du développement territorial (DRAAF-SRAL Auvergne, DDPP63, DATAR, Collectif Ville-Campagne). Nos résultats de recherche portent : (i) sur une tentative d’objectivation du problème via une analyse statistique et cartographique de la base de données des vétérinaires détenue par le Conseil National de l’Ordre des Vétérinaires ; (ii) sur une caractérisation et une analyse de la considération par les pouvoirs publics de ce problème de raréfaction des vétérinaires en milieu rural ; (iii) sur une caractérisation de la diversité des profils d’éleveurs dans leurs manières de solliciter un (ou plusieurs) cabinet(s) vétérinaires, qui pose question aux vétérinaires en termes de services à proposer ; (iv) sur une mise en évidence de l’impact des stages et autres expériences de mobilité dans la construction des représentations socio-spatiales et socio-professionnelles des étudiants vétérinaires, représentations qui influent sur la propension à s’installer en milieu rural ; (iv) sur une caractérisation des trajectoires, sources de motivation et difficultés de vétérinaires du Massif central pratiquant ≪ la rurale ≫ ; (v) sur la caractérisation de configurations d’acteurs contrastées pour répondre a la problématique de l’offre en soin vétérinaire, au sein de différents territoires ruraux situes dans le Massif central, en France et à l’international. En parallèle de valorisations écrites (académiques et techniques), nous avons, à diverses reprises dans le cours du projet, restitué nos résultats auprès d’acteurs concernés par la problématique, par exemple lors d’un séminaire de fin de projet ayant réuni 93 personnes. Des interventions d’enseignement auprès d’étudiants ingénieurs ou en master ont également été réalisées. Côté terrain, la ≪ problématique vétérinaire ≫ a été explorée lors d’un ≪ jeu de territoire ≫ impliquant différents acteurs locaux en Lozère. Un dispositif pédagogique, inspiré également par le ≪ jeu de territoire ≫, a par ailleurs été conçu et testé auprès d’étudiants vétérinaires à VetAgro Sup, visant à accroître leurs capacités à appréhender et décrire un potentiel territoire d’installation. Ce dispositif pourrait être redéployé dans d’autres contextes, de même qu’un dispositif d’animation, testé lors du séminaire de fin de projet, visant à faire réfléchir différents acteurs aux modalités de coordination des activités de conseil en gestion sanitaire à l’échelle d’un petit territoire. Enfin, des préconisations ont été formulées concernant la base de données des vétérinaires détenue par le Conseil National de l’Ordre des Vétérinaires, afin d’augmenter son opérationnalité en tant qu’outil d’objectivation et de suivi du problèm

    Low incidence of SARS-CoV-2, risk factors of mortality and the course of illness in the French national cohort of dialysis patients

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    International audienceThe aim of this study was to estimate the incidence of COVID-19 disease in the French national population of dialysis patients, their course of illness and to identify the risk factors associated with mortality. Our study included all patients on dialysis recorded in the French REIN Registry in April 2020. Clinical characteristics at last follow-up and the evolution of COVID-19 illness severity over time were recorded for diagnosed cases (either suspicious clinical symptoms, characteristic signs on the chest scan or a positive reverse transcription polymerase chain reaction) for SARS-CoV-2. A total of 1,621 infected patients were reported on the REIN registry from March 16th, 2020 to May 4th, 2020. Of these, 344 died. The prevalence of COVID-19 patients varied from less than 1% to 10% between regions. The probability of being a case was higher in males, patients with diabetes, those in need of assistance for transfer or treated at a self-care unit. Dialysis at home was associated with a lower probability of being infected as was being a smoker, a former smoker, having an active malignancy, or peripheral vascular disease. Mortality in diagnosed cases (21%) was associated with the same causes as in the general population. Higher age, hypoalbuminemia and the presence of an ischemic heart disease were statistically independently associated with a higher risk of death. Being treated at a selfcare unit was associated with a lower risk. Thus, our study showed a relatively low frequency of COVID-19 among dialysis patients contrary to what might have been assumed

    Low incidence of SARS-CoV-2, risk factors of mortality and the course of illness in the French national cohort of dialysis patients

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