15 research outputs found

    Prise en charge endoscopique des pancréatites chroniques calcifiantes douloureuses (étude rétrospective de 123 patients)

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    Introduction : la pancréatite chronique calcifiante est une pathologie destructrice du pancréas dont l évolution est marquée par une phase douloureuse nécessitant une prise en charge médicale voire instrumentale. L objectif de cette étude est de confirmer l efficacité et l innocuité du traitement endoscopique ainsi que de comparer l efficacité des prothèses standards et des prothèses multiperforées de Johlin.Patients et méthodes : inclusion rétrospective entre 1995 et 2008 de patients porteurs d une PCC douloureuses au sein du service de gastroentérologie du CHU d Angers.Résultats : 123 patients ont été inclus avec un recul de 4 ans (9,8% de perdu de vue). Le traitement améliorait 78,7% des patients, dont 67,2 % étaient asymptomatiques. Le taux de complication était de 10,3% essentiellement des pancréatites aigues bénignes. L analyse univariée a permit de mettre en avant le rôle de l échec de la première CPRE (en terme de douleur) tant sur la non efficacité globale du traitement endoscopique que sur le recours à la chirurgie. La comparaison entre les 2 types de prothèses a confirmé, comme dans le travail antérieur, que leur efficacité était comparable. Par contre les prothèses multiperforées avaient tendance à migrer plus facilement (faute d ergot) mais à s obstruer moins fréquemment.Conclusion : Le traitement endoscopique reste une technique sûre et efficace qui devrait être proposée en première intention. Il serait intéressant de définir lors d une étude prospective des critères cliniques et morphologique de non réponse à ce traitement.ANGERS-BU Médecine-Pharmacie (490072105) / SudocSudocFranceF

    HEMANGIOENDOTHELIOME EPITHELIOIDE HEPATIQUE (A PROPOS D'UN CAS AYANT BENEFICIE D'UNE TRANSPLANTATION HEPATIQUE)

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    BESANCON-BU MĂ©decine pharmacie (250562102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Severe immune mucositis and esophagitis in metastatic squamous carcinoma of the larynx associated with pembrolizumab

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    Abstract Background Pembrolizumab is an anti–programmed death 1 (PD-1) receptor monoclonal antibody that has shown activity as second line treatment for metastatic head and neck squamous cell carcinoma (HNSCC). Immune-related adverse events are now well described complications of PD-1 inhibitors and most organ sites have been shown to be potentially affected. Case presentation We describe a 69-year old patient with a relapsed squamous cell carcinoma of the supraglottic larynx with lung metastasis after receiving adjuvant concurrent cisplatin and radiotherapy. This patient was treated with pembrolizumab and benefitted from therapy with major radiological improvement of disease. After 14 cycles of pembrolizumab 200 mg IV each 3 weeks, he experienced dysphagia that evolved to a grade 4 oral cavity and pharynx mucositis and esophagitis. Histologic analysis showed ulcerative esophagitis associated with granulation tissue. Pembrolizumab was discontinued and IV methylprednisolone 2 mg/kg/day was initiated. Two days later, the patient reported a 50% recovery in his symptoms which were completely resolved after 2 weeks. Methylprednisolone was switched to oral prednisone and a taper was planned over 8 weeks. During the fourth week of taper, the patient presented recurrence of grade 1 oral mucositis. Prednisone was increased 2 mg/kg/day for 2 weeks followed by slower tapering over a period of 5 months. Pembrolizumab was not reinitiated. Conclusion This is the first described case of grade 4 immune mucositis and esophagitis associated with pembrolizumab. Because the use of pembrolizumab is increasing in oncology, pharmacists and physicians should be aware of this rare manifestation

    Conception de nanostructures unidimensionnelles pour l’émission et le guidage de la lumière à une échelle sub-lambda

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    National audienceLes nanostructures unidimensionnelles sont des systèmes prometteurs pour intégration dans des dispositifs intégrés en nano-optoélectronique et nanophotonique. Exploitant des procédés de mise en forme par méthode template, il est possible de concevoir des nano-architectures complexes en combinant différents matériaux afin de contrôler les interactions lumière-matière à une échelle sub-, obtenir des effets de cavité, voire une émission laser (pour une revue, voir [1]). Nous présentons ici différentes nanostructures à base de polymères conjugués ou non, d’or, ou encore de composites de luminophores nanométriques. Ces systèmes ont permis l’étude de la propagation photonique ou plasmonique au sein de nanofils et nanotubes passifs ou actifs, l’ingénierie excitonique de nano-sources. L’étude du couplage plasmon-exciton est envisagée.Dans un premier système, une stratégie originale a été développée pour obtenir des nanofils dont la couleur de photoluminescence est contrôlée par l’ingénierie spectrale et spatiale (géométrie coaxiale). Celle-ci permet d’éviter le transfert de charge et d'énergie entre les deux types de luminophores.Dans un second système, les caractéristiques de propagation de la lumière le long de nanotubes individuels de résine SU-8, largement utilisée en photonique intégrée, ont été modélisées (FDTD) et déterminées expérimentalement (nanotubes de diamètre 240 nm et d’épaisseur de paroi 60 nm). L’inclusion de clusters de composés de métaux de transition phosphorescents ou de fluorophores organiques dans les parois des nanotubes ou dans le canal au cœur du nanotube a permis de combiner émission et guidage de manière optimale.Enfin, des développements récents seront présentés, avec pour objectif de réaliser des dispositifs à détection SERS déportée ou à émission déportée. Pour cela, des nanofils coaxiaux ont été fabriqués avec un cœur en or qui assure la propagation plasmonique puis l’amplification du signal émis (Raman, fluorescence) par la gaine de polymère pi-conjugué, loin du signal d’excitation
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