33 research outputs found

    Présentation

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    Les pratiques de l’espace qui s’inventent dans les métropoles en mutation de notre monde postcolonial sont indissociables de textes qui en formulent les poétiques. Tel est le parti pris de ce volume, qui réunit des travaux de deux séminaires accueillis au Musée du quai Branly, à Paris, de 2010 à 2014. Marquées par des mouvements démographiques de moins en moins contrôlables, les métamorphoses urbaines les plus imprévisibles à l’échelle du monde portent avec elles de nouveaux espaces souvent ..

    Glyoxal’s impact on dry ammonium salts: fast and reversible surface aerosol browning

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    Alpha-dicarbonyl compounds are believed to form brown carbon in the atmosphere via reactions with ammonium sulfate (AS) in cloud droplets and aqueous aerosol particles. In this work, brown carbon formation in AS and other aerosol particles was quantified as a function of relative humidity (RH) during exposure to gas-phase glyoxal (GX) in chamber experiments. Under dry conditions (RH \u3c 5%), solid AS, AS/glycine, and methylammonium sulfate aerosol particles brown within minutes upon exposure to GX, while sodium sulfate particles do not. When GX concentrations decline, browning goes away, demonstrating that this dry browning process is reversible. Declines in aerosol albedo are found to be a function of [GX]2, and are consistent between AS and AS/glycine aerosol. Dry methylammonium sulfate aerosol browns 4´ more than dry AS aerosol, but deliquesced AS aerosol browns much less than dry AS aerosol. Optical measurements at 405, 450, and 530 nm provide an estimated Ångstrom absorbance coefficient of -16 ±4. This coefficient and the empirical relationship between GX and albedo are used to estimate an upper limit to global radiative forcing by brown carbon formed by 70 ppt GX reacting with AS (+7.6 ´10-5 W/m2). This quantity is \u3c 1% of the total radiative forcing by secondary brown carbon, but occurs almost entirely in the ultraviolet range

    Sujets fous, mondes flottants. Poétique de la dérive chez François Bon

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    « On s’attaque à des notions bouleversées de territoires et d’identités. »François BON, « Banlieue n’est plus ». Serait-ce parce que l’urbanisation effrénée de la planète et de nouvelles formes de nomadisme s’imposent depuis maintenant un demi-siècle que les espaces, les lieux et les paysages du récit contemporain apparaissent hantés par des figures odysséennes, travaillées par les motifs de l’embarquement et de la navigation comme par ceux de la dérive, de l’échouage et du naufrage ? Plus en..

    Trajets d’un souffle nomade : Zahia Rahmani

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    « Vivre, c’est passer d’un espace à un autre, en essayant le plus possible de ne pas se cogner. » Archétype d’une forme de nomadisme au féminin, la figure d’Agar dans le désert est récurrente dans les littératures francophones du Maghreb où elle traverse les genres et s’est prêtée à de multiples réécritures d’Albert Memmi (Agar, 1955) à Abdelwahab Meddeb (Talismano, 1989) ou d’Assia Djebar (Loin de Médine, 1991) à Mohammed Dib (L’Aube Ismaël, 1995). Elle occupe encore une position centrale da..

    Présentation

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    Ecrire et créer avec les villes en mouvement

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    International audienceIf citiscapes may be considered as textscapes to be read, following a long tradition of semiological criticism, they are textscapes on the move. The present volume occupies the middle ground between anthropology and literature, and focuses on urban shifts as conveyed by art and literature. Paying particular attention to the urban changes in postcolonial context, we will study the sites where creation has not yet been institutionalized, and where it seems to take part in free-ranging socialization processes. While cities may be strongholds of power and entrap their inhabitants, they may also elaborate various forms of resistance born of urban geographies, and capture the vibrant rhythms of the city, turning them into new creative material.Si les villes sont des textes à déchiffrer, comme l’affirme toute une tradition de critique sémiologique, ce sont des textes qui bougent. Tel est le parti pris de ce volume dont l’ambition est de se tenir à mi-chemin entre l’anthropologie et la littérature. Nous nous intéressons à ces mouvements qui font la ville et dont l’art et la littérature sont parties prenantes. Une attention particulière est portée aux dynamiques urbaines en contexte postcolonial, dans ces espaces où la création n’est pas toujours institutionnalisée et où elle semble faire corps avec les processus de socialisation parfois hors contrôle qui travaillent de nombreuses villes du monde contemporain. Parce que les villes, ces haut-lieux du pouvoir, se referment parfois comme des pièges sur leurs habitants, c’est souvent là que s’inventent des modes de résistance multiformes, solidaires des géographies citadines, capables de capter les rythmes et les pulsations urbaines pour en faire une matière créative
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