Pepper Mild Mottle Virus, a Plant Virus Associated with Specific Immune Responses, Fever, Abdominal Pains, and Pruritus in Humans

Background: Recently, metagenomic studies have identified viable Pepper mild mottle virus (PMMoV), a plant virus, in the stool of healthy subjects. However, its source and role as pathogen have not been determined. Methods and Findings: 21 commercialized food products containing peppers, 357 stool samples from 304 adults and 208 stool samples from 137 children were tested for PMMoV using real-time PCR, sequencing, and electron microscopy. Anti-PMMoV IgM antibody testing was concurrently performed. A case-control study tested the association of biological and clinical symptoms with the presence of PMMoV in the stool. Twelve (57%) food products were positive for PMMoV RNA sequencing. Stool samples from twenty-two (7.2%) adults and one child (0.7%) were positive for PMMoV by real-time PCR. Positive cases were significantly more likely to have been sampled in Dermatology Units (p<10−6), to be seropositive for anti-PMMoV IgM antibodies (p = 0.026) and to be patients who exhibited fever, abdominal pains, and pruritus (p = 0.045, 0.038 and 0.046, respectively). Conclusions: Our study identified a local source of PMMoV and linked the presence of PMMoV RNA in stool with a specific immune response and clinical symptoms. Although clinical symptoms may be imputable to another cofactor, including spicy food, our data suggest the possibility of a direct or indirect pathogenic role of plant viruses in humans

Increased serum levels of fractalkine and mobilisation of CD34+CD45− endothelial progenitor cells in systemic sclerosis

International audienceBackground: The disruption of endothelial homeostasis is a major determinant in the pathogenesis of systemic sclerosis (SSc) and is reflected by soluble and cellular markers of activation, injury and repair. We aimed to provide a combined assessment of endothelial markers to delineate specific profiles associated with SSc disease and its severity

Elaboration d'une grille d'orientation diagnostique rapide du rhumatisme psoriasique (étude préliminaire à propos de 30 patients)

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Syndrome d'activation macrophagique (manifestations dermatologiques. A propos de trois cas)

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Activité opératoire de chirurgie cutanée de l'hôpital nord du CHU de Marseille (2002-2006)

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Protocole biomed 2(PCR multiplex) (application à l'étude du réarrangement des gènes du récepteur T au sein des infiltrats lymphocytaires cutanés)

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Evaluation des besoins de formations des médecins généralistes aux pathologies dermatologiques courantes

CONTEXTE: Les affections cutanéo-muqueuses sont un motif de consultation de plus en plus fréquent en médecine générale. Ceci devrait s'accroître avec la pénurie annoncée de dermatologues. Cependant, il n'existe pas, au sein des universités, de programme de formation médicale continue en dermatologie pour les médecins généralistes. OBJECTIFS: Le but de notre travail était d'évaluer les besoins de formations des médecins généralistes aux pathologies dermatologiques courantes afin de définir les contours d'un programme d'enseignement. METHODES: Nous avons utilisé la méthode PUIGE afin de hiérarchiser 26 pathologies ou groupes nosologiques selon un ordre de priorité pédagogique. 165 médecins généralistes exerçant en région PACA étaient interrogés sur le critère fréquence du motif de consultation et notaient les pathologies de 1 à 5. Dix experts dermatologues de l'hôpital Nord de Marseille étaient interrogés sur les critères d'urgence, d'intervention thérapeutique, de gravité et d'exemplarité didactique et notaient chacun des 4 critères de chaque pathologie de 1 à 3. Pour être incluse dans le programme, une pathologie devait obtenir un score total supérieur à 11 ou atteindre au moins 3 sur 5 pour le critère fréquence . RESULTATS: 98 médecins généralistes et les dix dermatologies ont répondus. Douze pathologies obtenaient un score supérieur à 11: urticaire et angio-œdème, infections bactériennes profondes, infections aux virus Herpès et Varicelle-Zona, naevi et mélanome, infections bactériennes superficielles, carcinomes cutanés, toxidermie médicamenteuse, surinfection des plaies, dermatose bulleuses auto-immunes, plaies chroniques de jambe, infections mycosiques, eczéma et dermatite atopique. Six autres étaient retenues car fréquentes: psoriasis, molluscum contagiosum, exanthèmes viraux, dermatoses faciales, tumeurs bénignes, prurit diffus. CONCLUSION: Notre étude a défini 18 pathologies dermatologiques qui constitueront un programme d'enseignement pour les médecins généralistes à la faculté de médecine de MarseilleAIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF

Etude de la prévalence des agents fongiques sur le pied diabétique

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Pharmacogénétique (méthodes, perspectives d'applications en dermatologie clinique et dans l'étude des toxidermies sévères)

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