21 research outputs found

    Epidémiologie des épilepsies dans le Nord Togo.

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    International audienc

    Cas d’un traumatisme cranio-encephalique grave a evolution insidieuse: limite de la classification de Master I

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    Les traumatismes crĂąniens dans le cadre de polytraumatisme sont frĂ©quents. La constitution d’hĂ©matome extradural en fait la gravitĂ©. Selon la topographie de l’hĂ©matome, l’expression clinique de l’hĂ©matome peur ĂȘtre silencieuse et l’évolution insidieuse.La classification de Master est un outil de stadification orientant vers l’exploration par TDM dĂšs l’admission de ces patients prĂ©sentant des traumatismes crĂąniens. Toutefois, l’utilisation stricte de cette classification dans le management de patients non Ă©ligibles Ă  la TDM dans l’exploration initiale, peut parfois conduire Ă  la mĂ©connaissance de l’hĂ©matome extradural surtout frontal.Dans ce cas clinique, nous prĂ©sentons un patient victime de traumatisme crĂąnien grave Ă  haute vĂ©locitĂ© qui illustre cette limite de la classification de Master I.Mots clĂ©s: Polytraumatisme, hĂ©matome extradural frontal, Master IEnglish Title: Case of severe head injury with insidious evolution: limit of Master I classificationEnglish AbstractHead trauma in polytrauma is common. The constitution of extradural hematoma makes gravity of it. According to the topography of the hematoma, its clinical expression can be silent and the evolution insidious.The Master classification is a staging tool for CT scanning upon admission of thesepatients with head trauma. However, the strict use of this classification in the management of patients not eligible for CT in the initial exploration, can sometimes lead to the misunderstanding of the extradural hematoma especially frontal.In this clinical case, we present a patient with severe high velocity head injury that illustrates this limitation of the Master I classification.Keywords: Polytrauma, frontal extradural hematoma, Master

    Les traumatisme du rachis cervical inferieur de c3-c7 a Niamey: aspects épidémiologiques, cliniques, paracliniques, évolutifs et pronostiques de cette affection: a propos de 20 cas: The inferior cervical spine trauma c3-c7 in Niamey: epidemiological, clinical, para clinical, progressive and prognostic aspects of the condition: a 20 cases study

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    Introduction : Les traumatismes du rachis cervical constituent une pathologie de plus en plus frĂ©quente Ă  la quelle doit faire face les mĂ©decins d’urgence et les neurochirurgiens ; du fait de la recrudescence des accidents de la voie publique et des chutes. Leurs gravitĂ©s rĂ©sident dans la possibilitĂ© d’atteinte mĂ©dullaire immĂ©diate ou secondaire pouvant engager le pronostic fonctionnel lors d’une tĂ©traplĂ©gie complĂšte et dĂ©finitive; et/ou surtout vital en cas de troubles neurovĂ©gĂ©tatifs. Notre objectif est de dĂ©finir les aspects Ă©pidĂ©miologiques, cliniques, paracliniques, Ă©volutifs et pronostiques de cette affection Ă  Niamey au Niger.Patients et mĂ©thodes : Notre travail est une Ă©tude multicentrique, descriptive, Ă  recueil prospectif et rĂ©trospectif des donnĂ©es de 20 patients prĂ©sentant un traumatisme du rachis cervical infĂ©rieur de C3 Ă  C7, rĂ©alisĂ©e dans la communautĂ© urbaine de Niamey de fĂ©vrier 2011 Ă  dĂ©cembre 2018.RĂ©sultats : L’ñge moyen de nos patients est de 35 ans, nous avons notĂ© une prĂ©dominance masculine avec un sexe ratio de 5,66. Les Ă©tiologies sontdominĂ©es par les accidents de la voie publique (80%) suivis des accidents de sport (10%). Comme pratiquement dans tous les pays en voie de dĂ©veloppement, les conditions de ramassage n’étaient pas prĂ©cisĂ©es ni les premiers soins reçus sur place par les patients. Le dĂ©lai moyen d’évacuation Ă©tait de 24 heures avec des extrĂȘmes d’une heure Ă  3 semaines sur une distance moyenne de 300 km pour 80% de nos patients. La durĂ©e du sĂ©jour de nos malades en hospitalisation Ă©tait aussi trĂšs variable, elle est de 13 jours en moyenne avec des extrĂȘmes de 1 Ă  47 jours. Sur le plan clinique, tous nos patients (100%) prĂ©sentaient un syndrome rachidien variable dominĂ© par des cervicalgies spontanĂ©es ou provoquĂ©es associĂ©s Ă  des contractures de la nuque suivi ou pas de torticolis (25%) ou de nĂ©vralgies cervico-brachiales (50%). Les patients prĂ©sentaient aussi tous une symptomatologie mĂ©dullaire avec des troubles mĂ©dullo-radiculaires Ă  des degrĂ©s divers ; c’est ainsi que nous avons 30% de tĂ©traplĂ©gie complĂšte, 20% de tĂ©traplĂ©gie incomplĂšte, 20% d’hĂ©miplĂ©gie, 15% d’hĂ©miparĂ©sie, 5% de monoparĂ©sie brachiale droite, 10% de diplĂ©gie brachiale, des troubles genitosphincteriens dans 30% des cas et des troubles neuro-vĂ©gĂ©tatifs dans 10% des cas. Sur le plan des examens paracliniques, nous n’avions pratiquĂ© dans aucun cas des radiographies standards du rachis cervical. 90% des patients avaient bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un scanner et seulement 10% d’une IRM. On notait une nette prĂ©dominance des atteintes de la charniĂšre vertĂ©brale C6-C7 dans 45% des cas suivis des atteintes C5-C6 dans 30%, les atteintes de C4-C5 dans 15% et enfin les atteintes de C3-C4 dans 10% des cas. Les lĂ©sions sont de sĂ©vĂ©ritĂ© variables, les examens radiologiques ont rĂ©vĂ©lĂ© 30% de luxations pures, 25% de fracturesluxations, 20% de fractures simples, 10% de fractures comminutives, 10% de fractures tassement corporĂ©ales et 5% d’hernie discale post-traumatique. Le traitement mĂ©dical Ă©tait de rĂšgle, Ă  base d’antalgique et/ou d’anti-inflammatoire non stĂ©roĂŻdien. Certains patients avaient bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une corticothĂ©rapie courte durĂ©e par voie intraveineuse, d’autres ont aussi eu un traitement anticoagulant. Tous nos patients avaient aussi bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un traitement orthopĂ©dique pur consistant en une immobilisation par une minerve type collier rigide sans traction crĂąnienne. Le traitement chirurgical Ă©tait rĂ©alisĂ© par la voie d’abord antĂ©rieure chez 100% des patients. L’arthrodĂšse est suivie dans tous les cas d’une ostĂ©osynthĂšse du foyer lĂ©sionnel par la pose d’une plaque vissĂ©e. Pour l’évolution clinique et radiologique Ă  cours, moyen et long terme de nos patients elle est jugĂ©e favorable chez 50% des patients, il s’agit de 20% d’hĂ©miplĂ©gie, 15% d’hĂ©miparĂ©sie, 5% de monoparĂ©sie brachiale droite et 10% de diplĂ©gie brachiale. Par ailleurs elle est dĂ©favorable dans 25% des cas, il s’agit de 20% de tĂ©traplĂ©gie incomplĂšte et 5% d’hĂ©miplĂ©gie complĂšte. Enfin nous avons enregistrĂ© 25% de dĂ©cĂšs dans un dĂ©lai de 2 Ă  21 jours. Les facteurs pronostics dĂ©pendent de la qualitĂ© et prĂ©cocitĂ© de la prise en charge prĂ©-hospitaliĂšre ; de l’état neurologique initial.Conclusion : Le traumatisme du rachis cervical est trĂšs frĂ©quent et potentiellement grave par les consĂ©quences fonctionnelles redoutables d’unelĂ©sion mĂ©dullaire ; bien que les progrĂšs de la rĂ©animation, du nursing et de la rĂ©Ă©ducation aient diminuĂ© la mortalitĂ©. Cela justifie un bilan radiologique large mais adaptĂ© visant d’abord Ă  limiter au maximum le risque de lĂ©sion passĂ©e inaperçue.ABSTRACTIntroduction: Cervical spine trauma is an increasingly frequent pathology which emergency physicians and neurosurgeons have to face. It is mostly due to the resurgence of accidents on the public highway and falls. Their seriousness lies in the possibility of immediate or secondary spinal cord injury which can initiate the functional prognosis during a full and final tetraplegia; and / or especially vital in the case of neuro vegetative disorders. Our objective is to define epidemiological, clinical, Para clinical, progressive and prognostic aspects of the condition in Niamey to Niger. Patients and methods: This is a multi-centric, descriptive, prospective and retrospective study of data from 20 patients with trauma to the lower cervical spine from C3 to C7, carried out in the urban community of Niamey from February 2011 to December 2018.Results: The average age of our patients is 35 years. We noted a male predominance with a sex ratio of 5.66. The etiologies are dominated by accidents on the public highway (80%) followed by sports accidents (10%). As in practically all the developing countries, the conditions of collection were not specified nor the first aid received on the spot by the patients. The average evacuation time was 24 hours with extremes of one hour to 3 weeks over an average distance of 300 km for 80% of our patients. The stay period of our patients in hospital was also very variable, it is 13 days on average with extremes from 1 to 47 days. Clinically, all of our patients (100%) had variable spinal syndrome dominated by spontaneous or induced neck pain associated with neck contractures followed or not by stiff neck (25%) or cervico-brachial neuralgia (50%). Also, all the patients presented spinal cord symptoms with medullary radicular disorders to varying degrees. Thus, we have 30% complete quadriplegia, 20% incomplete quadriplegia, 20% hemiplegia, 15% hemiparesis, 5% right brachial monoparesis, 10% brachial diplegia, genito-sphincter disorders 30% of cases and neuro-vegetative disorders 10% of cases. In terms of Para clinical examinations, we had in no case performed standard x-rays of the cervical spine. 90% of the patients had undergone a CT scan and only 10% of MRI. There was a clear predominance of attacks on the C6-C7 vertebral hinge in 45% of cases followed by C5-C6 attacks in 30%, C4-C5 attacks in 15% and finally C3-C4 attacks in 10% of case. The lesions are of varying severity, radiological examinations revealed 30% of pure dislocations, 25% of fractures dislocations, 20% of simple fractures, 10% of comminuted fractures, 10% of fractures of the body and 5% of post disc herniation - traumatic. Medical treatment was standard, based on analgesic and / or nonsteroidal antiinflammatory drugs. Some patients had received corticosteroids short route intravenously, the others have also had anticoagulant treatment. All patients had also gone through orthopedic pure treatment consisting of an immobilization by a brace-type rigid collar without skull traction. Surgical treatment was performed by the anterior approach in 100% of the patients. The arthrodesis is followed in all cases by an osteosynthesis of the lesion focus by the installation of a screwed plate. For changing clinical and radiological medium and long-term courses of our patients, it is considered favorable in 50% of patients, it is of 20% of hemiplegia, 15% hemiparesis, 5% of monoparesis brachial right and 10% brachial diplegia. In addition, it is unfavorable in 25% of cases, 20% of incomplete quadriplegia and 5% of complete hemiplegia. Finally, we recorded 25 % death from 2 to 21 days. Prognostic factors depend on the quality and earliness of pre- hospital care of the initial neurological state. Conclusion: Cervical spine trauma is very frequent and potentially serious due to the severe functional consequences of a spinal cord injury though advances in resuscitation, nursing, and rehabilitation have reduced mortality. This justifies a broad but appropriate radiological assessment aimed first at minimizing the risk of injury that has gone unnoticed

    Osteosynthese en milieu septique : notre experience dans le mal de Pott.

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    Introduction : Le mal de Pott est frĂ©quent au Togo. Il est caractĂ©risĂ© par une grande destruction osseuse. En cas de dĂ©ficit neurologique, une dĂ©compression chirurgicale est indiquĂ©e nĂ©cessitant parfois la mise en place d’une ostĂ©osynthĂšse. Cette idĂ©e va Ă  l’encontre des principes de l’instrumentation chirurgicale Ă  cause du risque d’entretien de l’infection et du dĂ©bricolage du montage. Nous vous rapportons notre expĂ©rience de l’ostĂ©osynthĂšse dans le Mal de Pott.MatĂ©riel et mĂ©thode : Il s’agissait d’une Ă©tude prospective menĂ©e dans le service de neurochirurgie du CHU Sylvanus Olympio de LomĂ©. Etaient inclus dans l’étude, les patients opĂ©rĂ©s pour Mal de Pott (confirmĂ© ou forte prĂ©somption sur les arguments clinique, radiologique, biologique et anatomopathologique) avec mise en place d’une ostĂ©osynthĂšse. Les paramĂštres Ă©volutifs de ces ostĂ©osynthĂšses ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s. Le recul post-opĂ©ratoire variait entre 9 mois et 36 mois avec un recul moyen de 15 mois.RĂ©sultats : On notait une prĂ©dominance masculine (6 hommes, une femme). L’ñge moyen des patients Ă©tait de 42,6 ans. Cinq patients prĂ©sentaient au moins une tare. Le diagnostic prĂ©somptif de Mal de Pott Ă©tait prĂ©dominant (6 sur 7 cas). Deux patients Ă©taient en mauvais Ă©tat gĂ©nĂ©ral. Deux patients ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un abord antĂ©rieur (mal de Pott cervical) et 5 patients d’un abord postĂ©rieur. On ne notait dans aucun cas une infection sur matĂ©riel. Dans 5 cas, il avait une amĂ©lioration neurologique par rapport Ă  l’état prĂ©opĂ©ratoire.Conclusion : L’ostĂ©osynthĂšse dans le Mal de Pott semble ne pas augmenter le risque d’infection sur matĂ©riel Ă  condition d’y associer un traitement mĂ©dical efficace. Cette possibilitĂ© de mise en place d’un matĂ©riel Ă©tranger en milieu septique n’est pas encore Ă©largie aux autres spondylodiscites dans notre pratique.Mots clĂ©s : Mal de Pott-OstĂ©osynthĂšse- Togo

    Surinfection des contusions cerebrales par voie hematogene

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    Introduction: La surinfection des lĂ©sions traumatiques par septicĂ©mie est rare. La contusion cĂ©rĂ©brale pourrait ĂȘtre un facteur de vulnĂ©rabilitĂ© au risque infectieux. Pourquoi cette surinfection est-elle relativement rare eu Ă©gard Ă  la frĂ©quence Ă©levĂ©e des infections nosocomiales ? Nous avons tentĂ© de rĂ©pondre Ă  cette question en rapportant un cas de surinfection de lĂ©sions traumatiques initialement indemne de tout facteur de risque infectieux encĂ©phalique.Observation: Il s’agissait d’un Ă©tudiant de 25 ans, admis pour traumatisme crĂąnien et de l’avant-bras gauche par accident de la voie publique. Le Glasgow initial Ă©tait Ă  12/15, sans signe de focalisation. Pas de plaie du cuir chevelu. On notait une plaie dĂ©labrante de l’avant-bras gauche avec perte de substance cutanĂ©e. La tomodensitomĂ©trie cĂ©rĂ©brale initiale avait objectivĂ© une lame d’hĂ©matome sous-dural aigu gauche et une contusion pariĂ©tale droite. Onze jours aprĂšs son admission, sont apparus une hĂ©miparĂ©sie droite, une aphasie dans un contexte fĂ©brile (Ø 39,4°). Un scanner de contrĂŽle Ă©tait en faveur d’un empyĂšme gauche associĂ© Ă  un abcĂšs pariĂ©tal droit. L’hĂ©moculture et le prĂ©lĂšvement de la plaie avaient isolĂ© un staphylocoque dorĂ©. Une triple antibiothĂ©rapie instituĂ©e avait permis une Ă©volution favorable.Conclusion: La surinfection des contusions cĂ©rĂ©brales par septicĂ©mie est rare. La rupture post-traumatique de la barriĂšre hĂ©mato-encĂ©phalique pouvait augmenter la vulnĂ©rabilitĂ© du cerveau en cas de septicĂ©mie. Mais cette rupture est contrebalancĂ©e par l’activation locale de la microglie qui limite l’action des agents pathogĂšnes.Mots clĂ©s: surinfection contusion cĂ©rĂ©brale, septicĂ©mieEnglish Title: Secondary infections of the brain contusions by septicemiaEnglish AbstractIntroduction: Secondary infections of brain contusions are rare. Brain contusion may be a factor of vulnerability to infectious risk, but it is uncommon despite the high incidence of nosocomial infections. We attempted to answer this question by reporting a case of secondary infections of brain contusions that was initially free from any local risk factor.Observation: This was a 25-year-old student admitted for head injury and left forearm accident by public road accident. The initial examination noted a glasgow score at 12/15 with no neurological deficit. No scalp wound. There was a debilitating wound in the left forearm with loss of skin substance. The initial cerebral CT scan showed an acute left subdural hematoma and right parietal contusion. Eleven days after admission, right hemiparesis, aphasia appeared, in a febrile context (Ø 39.4). A control scan showed a left empyema associated with a right parietal abscess. Blood culture and bacteriological sampling of wound isolated a staphylococcus aureus. A triple antibiotic had allowed a favorable evolution.Conclusion: The secondary infections of brain contusion by septicemia are rare. The traumatic rupture of the blood-brain barrier could suggest a vulnerability of the brain in case of sepsis. But this rupture is thwarted by the local activation of microglia, which limits the action of pathogens.Keywords: Secondary infections, brain contusion

    Hematome extradural spinal post traumatique: a propos d’un cas

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    L’hĂ©matome Ă©pidural spinal (HEDS) d’origine traumatique est une pathologie rare. Le scanner peut aider au diagnostic en l’absence d’IRM.Nous rapportons un cas d’HEDS de rĂ©solution spontanĂ©e. Et nous discutons les conditions difficiles de gestion des urgences au CHU Sylvanus OLYMPIO. Devant une telle urgence nĂ©cessitant un traitement chirurgical sans dĂ©lai, l’absence de ce traitement est liĂ©e Ă  l’insuffisance du systĂšme de couverture sociale. En attendant plus de 2 semaines sans que le patient puisse acheter les dispositifs mĂ©dicaux pour la chirurgie, nous avons alors observĂ© de façon alĂ©atoire une rĂ©cupĂ©ration neurologique progressive s’installer. Une rĂ©Ă©ducation fonctionnelle a Ă©tĂ© prescrite. A J22 la rĂ©cupĂ©ration neurologique Ă©tait complĂšte.Mots clĂ©s: HĂ©matome extradural, rachis cervical, traumatiqueEnglish Title: Posttraumatic epidural haematoma: a case reportEnglish AbstractPosttraumatic spinal epidural haematoma is a rare pathology. The diagnosis is easy on spinal CTScann if the MRI is not available. We report a case of spinal epidural hematoma with spontaneous resolution. We discuss the difficulties of managing emergency at CHU Sylvanus OLYMPIO. In front of this emergency case needing surgery immediately, the lack of surgery decompression was the consequence of our inadequate system of insurance.Waiting more than 2 weeks the patients and his family to buy the medical disposal for surgery, he start moving his legs. Physiotherapy was done. After 22 days he completely improved neurological status.Keywords: Traumatic, cervical spine, epidural haematom

    Gestion de l’infection sur materiel d’osteosynthese dans la chirurgie du rachis lombaire : Notre experience au Togo.

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    Objectif : Rapporter notre expĂ©rience de management d’infections post-ostĂ©osynthĂšses de rachis lombaire Ă  partir deux observations cliniques.MĂ©thodologie : Il s’agit d’une analyse de nos deux premiers cas d’infections rachidiennes post opĂ©ratoires aprĂšs deux annĂ©es de pratique neurochirurgicale post-rĂ©sidanat en clientĂšle privĂ©e. Nous insistons sur les modes de rĂ©vĂ©lation, la prise en charge et le rĂ©sultat.Cas cliniques : Sur une sĂ©rie de dix-huit (18) rachis dorso-lombaires ostĂ©osynthĂ©sĂ©s en deux ans, nous avons enregistrĂ© deux (02) cas d’infections postopĂ©ratoires. Les germes isolĂ©s Ă©taient EschĂ©richia coli multirĂ©sistant et Proteus vulgaris. Les deux patientes avaient respectivement 61 et 44 ans et nous rĂ©alisons pour chacune une laminectomie, une ostĂ©osynthĂšse avec implant en titane et une greffe osseuse pour des lĂ©sions dĂ©gĂ©nĂ©ratives. Elles avaient toutes deux eu des infiltrations lombaires sans amĂ©lioration de leur symptomatologie. L’infection du site opĂ©ratoire Ă©tait descellĂ©e respectivement Ă  J4 et J30. Les deux patientes Ă©taient apyrĂ©tiques. Pour la 1Ăšre, le matĂ©riel d’ostĂ©osynthĂšse a Ă©tĂ© laissĂ© en place. Pour la 2Ăšme, la persistance du syndrome infectieux biologique et le suintement chronique du site opĂ©ratoire ont motivĂ© l’ablation du matĂ©riel Ă  3 mois. Pour cette derniĂšre la guĂ©rison clinique et biologique a Ă©tĂ© obtenue au bout de 6 mois L’évolution ultĂ©rieure est bonne chez les deux patients Ă  un recul respectif de 28 mois et 15 mois.Conclusion : En cas d’infection profonde descellĂ©e prĂ©cocement, une attitude conservatrice de l’implant est justifiĂ©e pour les rachis dĂ©gĂ©nĂ©ratifs ostĂ©osynthĂ©sĂ©s. A dĂ©faut, on tiendra compte notamment de la CRP et du risque d’instabilitĂ© rachidienne. Mots clĂ©s : Infection, MatĂ©riel d’ostĂ©osynthĂšse, Rachis lombaire, Togo. English Abstract Management of infections in lumbar spine surgery with instrumentation: Our experience at Togo.  Objective: Report our experience of infections management after lumbar spine synthesis about two recent cases.Methods: It is an analysis of our first post operative’s lumbar spine infections during two years of neurosurgical practice in private office when we came back to Togo after our residency. We insist on the modalities of detection, the caring and the results.Case report: Among the 18th synthesis on thoracic and lumbar spine during the twice years, we detect two cases of post operative’s infections. The agents responsible were Escherichia coli multi resistant and Proteus vulgaris. The two female patients were respectively 61 and 44 years old and we perform for each patient a laminectomy, synthesis with titanium implant and bone graft for degenerative diseases. Previously the patients had had lumbar infiltration of corticosteroid without releasing their pain and disabilities. The infection processes were detected the 4th and 30th days postoperative. There was no fever. For the first patient, synthesis implant stays in place. For the second patient, the implant was retired through a thirds’ surgery after 3 months, due to persistence of biologic sign of infection and sweating from the operative site. The clinical and biological healing for this patient, were obtained 6 months after the first surgery. Till today, the both patients had none symptoms at respectively 28- and 15-months outcome.Conclusion: When post-operative infection is detected earlier, a conservative attitude of the implant is justified for degenerative spine instrumented. Otherwise, the CRP and the risk of spinal instability will be taken into account. Keys words: Infection, Lumbar spine, Synthesis Implant, Tog

    Hematome sous dural, complication du traitement chirurgical des hydrocephalies. Notre experience a Dakar

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    Introduction L\'hématome sous dural est une complication observée lors du traitement chirurgical de l\'hydrocéphalie. Avant l\'avÚnement de la tomodensitométrie à Dakar, une incidence de 0,8 % était trouvée. Objectif L\'objectif de notre travail est de réévaluer cette incidence à la lumiÚre de cet examen et de déterminer les divers facteurs étiologiques. Patients et Methode Nos patients ont été opérés par dérivation ventriculo-péritonéale et sont ùgés de 8 à 30 ans au moment du diagnostic. Quatre sont de sexe féminin. Le signe le plus fréquent est l\'hypertension intra-cranienne. La tomodensitométrie a établi le diagnostic dans tous les cas. Elle montrait dans 4 cas, un hématome unilatéral et dans deux cas, une forme bilatérale. D\'importantes calcifications sont retrouvées dans deux cas. Cinq patients ont été opérés et nous notons deux décÚs. Les valves utilisées sont à débit de drainage fixe. Resultat Il existe une augmentation de l\'incidence par rapport à notre premiÚre série datant de 12 ans. Par rapport aux autres systÚmes de drainage, nous ne notons pas de différence significative. Aucun facteur étiologique déterminant n\'est retrouvé. Conclusion Cette complication pouvant pauci-symptomatique, la réalisation d\'examens tomodensitométriques systématiques permettrait de constater une plus grande fréquence de cette complication Introduction Subdural hematoma is a complication which can occur seen after setting a shunt for hydrocephalus. Prior to CT scan installation in Dakar, the incidence was 0,8%. Objective Our aim is to consider twelve years later this complication and others causal factors. Six patients were observed, between 8 and 30 years. Four of them were female. The main sign is increased intra cranial pressure. CT scan shows the hematoma : two bilateral and two calcified.Two patients deceased after surgical treatment. Results The frequency is not due to shunt type or any specific cause. Conclusion The complication may occur without clinical complain and CT scan for all surgically treated patient is mandatory Keywords: Afrique, dérivation ventriculo-péritonéal, hématome sous dural, hydrocéphalie, valve, Sénégal, Africa, subdural hematoma, hydrocephalus, shunt, Senegal African Journal of Neurological Sciences Vol. 24 (2) 2005: pp. 28-3

    Epilepsie refractaire secondaire generalisee revelatrice d’un meningiome frontobasal : a propos d’un cas clinique et revue de la litterature: Generalized secondary refractory epilepsy revealing fronto-basal meningioma: a clinical case study and literature review

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    Etaient considĂ©rĂ©s strictement comme rĂ©pondant aux critĂšres d’épilepsie rĂ©fractaire les patients ayant reçu au moins 2 antiĂ©pileptiques et suivis sur une durĂ©e d’au moins 24 mois. Les auteurs rapportent un cas d’épilepsie secondaire gĂ©nĂ©ralisĂ©e rĂ©fractaire rĂ©vĂ©latrice d’un mĂ©ningiome fronto-basal. L’intĂ©rĂȘt de notre observation rĂ©side surtout sur le caractĂšre rĂ©fractaire de l’épilepsie qui ne cĂšde pas malgrĂ© la chirurgie avec une revue de la littĂ©rature internationale. Le patient est toujours sous antiĂ©pileptiques 5 ans aprĂšs le diagnostic et l’intervention chirurgicale. Le diagnostic est Ă©lectro-clinique et scanographique. Un abord transcrĂąnien a permis la cure complĂšte du mĂ©ningiome. L’évolution est favorable avec rĂ©solution Ă  80% des troubles Ă©pileptiques, une amĂ©lioration trĂšs sensible de la qualitĂ© de vie du patient.SUMMARYWere considered strictly as meeting the criteria for refractory epilepsy, patients having received at least two (2) antiepileptic drugs and followed for a period of at least 24 months. The authors report a case of generalized secondary refractory epilepsy indicative of a fronto-basal meningioma. The target of our observation lies above all in the refractory character of epilepsy, which still occurs despite surgery with international literature review. The patient is still on antiepileptic drugs 5 years after diagnosis and surgery. The diagnosis is electro-clinical and CT. A transcranial approach allowed the complete cure of the meningioma. The evolution is favorable with 80% resolution of seizure disorders, a very noticeable improvement in the patient's quality of life
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