7 research outputs found

    Nicole Boireau, Jean-Frédéric Chevalier, Pierre Degott, éds, Réécriture des sources biographiques et construction du personnage de théâtre

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    Les 16 textes réunis par Nicole Boireau, Jean-Frédéric Chevalier et Pierre Degott révèlent la très grande richesse d’un domaine dramatique trop rapidement jugé réducteur ou restrictif, le théâtre biographique. La problématique retenue, le traitement de la source biographique et son rapport à la construction du personnage sont explorés à partir d’un corpus d’œuvres contemporaines des XXe et du XXIe siècles, auxquelles s’ajoutent quelques pièces du XIXe siècle. Majoritairement européennes et am..

    Les Amours, d’Ovide à Brassens

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    Personne n’ignore la prédilection de Brassens pour Villon, sa dette envers les poètes symbolistes ainsi que son goût pour Rabelais, La Fontaine, ou Hugo. Rares par contre sont les mentions de son intérêt pour la littérature antique et notamment pour Ovide. Seule Sylvie Laigneau a saisi la richesse de ce rapprochement, esquissé dans un ouvrage consacré aux Amours et à L’Art d’aimer. Et pourtant Brassens en valide toute la pertinence, dans l’entretien littéraire qu’il mène, en 1967, avec René F..

    Marie-Madeleine, figure du Sublime

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    Beck-Chauvard Laurence. Marie-Madeleine, figure du Sublime. In: Bulletin de l'Association Guillaume Budé, n°1, mars 2001. pp. 110-116

    Histoire du couvent royal des Minimes français de la très Sainte Trinité sur le Mont Pincius à Rome / Père Charles-Pierre Martin [édition critique]

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    Édition critique par Maria Giovanna Canzanella-Quintaluce ; regestes des actes latin par Benoît Schmitz ; coordination éditoriale de Jean-François Chauvard ; avec la collaboration de Laurence Beck, Sophie Conte, Sebastiano Roberto... [et al.]International audienc

    Chanson et intertextualité

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    Contrafacta, fricassées, timbres ou reprises, du Moyen Âge au xxe siècle, la chanson a toujours goûté le plaisir de la création seconde, pour mieux enchanter l’auditeur. Mais sont-ce seulement quelques récréations que ces compositions entées ? En montrant comment elles sont éclairées par et éclairent à leur tour la poétique de l’intertextualité, l’objet de cet ouvrage est de montrer la portée re-créatrice de ces oeuvres entées. Ce parcours à travers les âges et les domaines linguistiques expose à la fois la vitalité des recherches cantologiques actuelles et celles des travaux sur la théorie de l’intertexte. Comme espace du topos et de la parole mémorielle, la chanson est, entre autres manifestations de la poésie orale, particulièrement perméable aux procédés d’emprunt, réemplois et réfections diverses qui caractérisent la poétique de l’intertextualité. Elle l’est même doublement : comme oeuvre, elle est formellement fondée sur les figures de récurrence ; comme espace générique, elle est le lieu privilégié de la tradition, comprise comme mode de transmission d’un message culturel dans un temps donné. Au-delà du seul texte, le tissage sémiologique singulier du genre chanson fonctionne comme réceptacle particulier du discours autre et du discours de l’Autre : non seulement la chanson cite, réécrit, voire plagie textes et musiques, mais, chaque performance étant une autre oeuvre, elle investit le champ de la recréation par le jeu des réinterprétations. On a voulu questionner ici l’articulation entre ces présences « autres » et la corporéité de la voix transmise qui reste la visée du discours chansonnier
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