59 research outputs found

    Let It Be Me: Je t\u27appartiens

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    The Day The Rains Came : Le Jour Ou La Pluie Viendra

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    Back Track! : Passe Ton Chemin

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    What Now My Love

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    Le renouvellement des faunes d'ammonites à la limite Toarcien moyen – Toarcien supérieur dans les domaines du nord-ouest de l'Europe et de la Téthys occidentale

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    International audience– La division du Toarcien en sous-étages fait l'objet de plusieurs interprétations. Une première proposition adopte une nomenclature ternaire, le Toarcien moyen recouvrant les zones à Bifrons et à Variabilis, selon la définition originelle de Monestier [1921]. En revanche, d'autres propositions divisent le Toarcien en deux parties, mais la limite entre Toarcien inférieur et Toarcien supérieur (ou Whitbien –Yeovilien), est diversement placée, soit entre les zones à Bifrons et à Variabilis, soit entre les zones à Variabilis et à Thouarsense, soit même au sein de la zone à Variabilis. Ces divergences proviennent en partie de l'instabilité sédimentaire et dynamique qui règne alors. Contemporainement, les faunes d'ammonites subissent des renouvellements importants et des ségrégations paléobiogéographiques qui provoquent une ségrégation presque totale. En Europe du NW, ce relais faunique se place au sein même de la zone à Variabilis. Il a été particulièrement signalé par Gabilly [1973, 1976a], dans les gisements stratotypiques du Centre-Ouest et par Guex [1972, 1975], dans les Causses. Ces deux secteurs restent encore actuellement des lieux privilégiés pour l'étude des faunes du sommet du Toarcien moyen, mais celles-ci ont depuis fait l'objet d'autres publications portant aussi bien sur le domaine NW européen que sur les marges du domaine téthysien (Portugal, Bétiques, Maroc, Algérie, Apennins). Des observations encore inédites ont également pu être faites dans les Causses, la région lyonnaise et le Centre-Ouest. La synthèse de ces travaux aboutit à une meilleure connaissance des conditions dans lesquelles ont eu lieu le relais faunique et l'apparition de nouvelles sous-familles d'ammonites. Il se confirme que c'est, non pas au sommet du Toarcien moyen tel qu'il est traditionnellement compris (sommet de la zone à Variabilis), mais dès le début de la sous-zone à Illustris, que se mettent en place les faunes d'ammonites qui domineront le début du Toarcien supérieur (Grammoceratinae) ou qui donneront naissance à la plupart des lignées postérieures (Hammatoceratoidea). La richesse de certains gîtes en Phymatoceratinae et Grammoceratinae permet d'affiner les relations qui existent entre eux, ainsi que les modalités de leur évolution. Certaines des espèces apparues à cette époque [« Pseudogrammoceras » aratum BUCK., « Pseudogrammoceras » subregale PINNA, « Geczyceras » costatum (GAB.), Osperleioceras (Pseudopolyplectus) bicarinatum (ZIET.)] ont également une importance paléogéographique, car elles facilitent les corrélations entre les grands domaines fauniques. Les différences d'interprétation de la limite Toarcien moyen–Toarcien supérieur sont donc étroitement liées aux perturbations sédimentaires qui affectent alors l'Europe jusqu'au secteur euro-caucasien et toute la Téthys occidentale

    La borréliose européenne à tique, acrodermatite chronique atrophiante précoce (à propos d'un cas)

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    POITIERS-BU MĂ©decine pharmacie (861942103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Propagation of melting cooperativity along the phosphodiester backbone of DNA

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    The role of the DNA phosphodiester backbone in the transfer of melting cooperativity between two helical domains was experimentally addressed with a helix-bulge-helix DNA model, in which the bulge consisted of a varying number of either conformationally flexible propanediol or conformationally constrained bicyclic anucleosidic phosphodiester backbone units. We found that structural communication between two double helical domains is transferred along the DNA backbone over the equivalent of ca. 12-20 backbone units, depending on whether there is a symmetric or asymmetric distribution of the anucleosidic units on both strands. We observed that extension of anucleosidic units on one strand only suffices to disrupt cooperativity transfer in a similar way as if extension occurs on both strands, indicating that the length of the longest anucleosidic inset determines cooperativity transfer. Furthermore, conformational rigidity of the sugar unit increases the distance of coopertivity transfer along the phosphodiester backbone. This is especially the case when the units are asymmetrically distributed in both strand

    Salvia divinorum, hallucinogène d aujourd hui, outil thérapeutique de demain ?

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    La sauge divinatoire ou Salvia divinorum qui appartient à la famille des Lamiacées est une plante consommée depuis plusieurs siècles par les indiens mazatèques lors de rituels chamaniques. En raison de ses effets hallucinogènes et de sa présence sur internet, les feuilles de Salvia divinorum ou la poudre de salvinorine A sont de plus en plus consommées en tant que drogue. Salvia divinorum est la première plante hallucinogène dont le principe actif, la salvinorine A, est non azoté. Cette molécule représente le premier agoniste non azoté des récepteurs kappa opioïdes. Par pharmacomodulation, il est possible d obtenir des agonistes des récepteurs muopioïdes. Ses effets hallucinogènes dépendent de la dose ou du mode de consommation utilisée. D un point de vue réglementaire, Salvia divinorum n est pas internationalement classée comme un stupéfiant selon la convention internationale de 1961. En France, elle est classée sur la liste I des substances vénéneuses depuis l arrêté du 2/08/2010. Le processus d uniformisation de sa législation risque d être difficile. Son affinité pour les récepteurs opioïdes ouvre la voie à de nouvelles recherches scientifiques mais ses effets hallucinogènes doivent rendre prudent quant aux possibilités d usage thérapeutique ultérieur. Le pharmacien doit avoir un rôle de prévention pour réduire l usage de plante à des fins hallucinogènes et pour informer le grand public de leurs risques.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF
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