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    Non-intégration et migrations temporaires dans les monarchies du Golfe: précurseur ou survivance dans le contexte de mondialisation?

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    Aujourd'hui, il ne fait mystĂšre pour personne que dans certains pays du Golfe -qui depuis leur crĂ©ation sont tous des importateurs nets de main d'Ɠuvre, la prĂ©sence Ă©trangĂšre l'emporte en nombre sur la population nationale. De fait, cette situation est le rĂ©sultat de politiques dĂ©libĂ©rĂ©es visant Ă  la non-intĂ©gration des populations immigrĂ©es. Pourtant, la montĂ©e en puissance du discours sur la mondialisation semble avoir opportunĂ©ment fourni des justifications, dans deux domaines au moins, Ă  des pratiques de sĂ©grĂ©gation qui commençaient Ă  ĂȘtre mise Ă  l'index. Tout d'abord, les pays du Conseil de CoopĂ©ration du Gplfe, l'Ă©mirat de DubaĂŻ en tĂȘte, se sont prĂ©sentĂ©s comme les champions de la mondialisation, avec leurs populations mĂȘlĂ©es et leur position de carrefour : partisans du vieil adage libĂ©ral du ‘laissez-faire, laissez-passer', ils ont tĂąchĂ©s –pour les plus libĂ©raux d'entre eux- de s'inscrire comme Ă©tape obligĂ©e dans les mouvements de circulation transcontinentale des Ă©lites, particuliĂšrement occidentales. En effet, la mobilitĂ© croissante de la main d'Ɠuvre qualifiĂ©e et l'internationalisation des carriĂšres semblent avoir fait passer au second plan la question de la non-intĂ©gration. DeuxiĂšmement, le pilier de la politique d'immigration des pays du CCG depuis les annĂ©es 1980 qui consiste Ă  accueillir la main d'Ɠuvre non qualifiĂ©e sur la base de contrats Ă  durĂ©e limitĂ©e, semble avoir Ă©galement gagnĂ© en acceptabilitĂ© avec la mise en place, pour adoucir les effets de la crise mondiale, par certains pays europĂ©ens et le Japon de ‘programmes de retour volontaire' des immigrants lĂ©gaux, -programmes qui attirent l'attention croissante des chercheurs. La question se pose de savoir: dans le contexte de mobilitĂ© accrue, la tendance est dĂ©sormais Ă  des migrations plus courtes des moins qualifiĂ©s, une rotation des Ă©lites, et une intĂ©gration sĂ©lective de certains immigrĂ©s triĂ©s sur le volet, assiste-t-on Ă  une relative convergence qui minimiserait la singularitĂ© du modĂšle golfien de non-intĂ©gration et le rendrait pionnier dans sa logique de dĂ©territorialisation? En analysant la perception des phĂ©nomĂšnes de migration et de mondialisation dans les discours et politiques des responsables du CCG, cette contribution tendra Ă  rĂ©pondre a cette question par la nĂ©gative. Elle proposera d'Ă©tudier, d'abord, les mĂ©canismes qui ont Ă©tĂ© mis en place au fil des annĂ©es 1970 et 80 pour assurer la non-intĂ©gration des Ă©trangers dans les pays du GCC ; elle montrera que c'est ce principe de non-intĂ©gration qui est Ă  la base du dĂ©ni officiel du phĂ©nomĂšne d'immigration par les autoritĂ©s, mais aussi de la structure compartimentĂ©e et hiĂ©rarchisĂ©e des sociĂ©tĂ©s de la rĂ©gion. Elle considĂ©rera, ensuite, l'effet de trompe l'Ɠil que le discours hĂ©gĂ©monique de la mondialisation a eu sur la justification et la rationalisation d'un modĂšle rĂ©sultant de politiques le plus souvent largement court-termistes. Elle tĂąchera enfin de fournir quelques pistes de rĂ©flexion sur sa viabilitĂ© Ă  long terme net les conditions de son Ă©volution

    Politiques de non-intégration dans les monarchies du Golfe

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    Si la majeure partie des Ă©tudes migratoires sont concentrĂ©es sur les migrations dites « Nord-Sud », celles-ci ne constituent pourtant, d’aprĂšs Peter Sutherland, reprĂ©sentant spĂ©cial des Nations Unies pour les migrations, qu’environ la moitiĂ© des flux migratoires mondiaux. MalgrĂ© les recherches poursuivies par les Ifre, qui notent que « certains pays d’émigration se sont transformĂ©s en terre d’immigration », ces migrations « Sud-Sud » restent moins documentĂ©es. Un « Sud » est assez particulier, Ă  savoir les pays du Conseil de coopĂ©ration du Golfe (Ccg), qui, s’ils ne sont ni industrialisĂ©s ni ne se qualifient comme appartenant Ă  une rĂ©gion avancĂ©e ou dĂ©veloppĂ©e, comptent parmi les pays les plus riches du monde en termes de PIB per capita. Ce dernier indicateur met au jour deux Ă©lĂ©ments socio-Ă©conomiques fondamentaux de la rĂ©gion : d’abord la grande richesse tirĂ©e des ressources en hydrocarbures, mais surtout, la population nationale de ces pays, peu nombreuse quand ils ont commencĂ© leur envol Ă©conomique, est restĂ©e proportionnellement faible, malgrĂ© les forts besoins en main d’Ɠuvre engendrĂ©s par leur dĂ©veloppement vertigineux et de leur forte natalitĂ©. Aujourd’hui, il ne fait mystĂšre pour personne que dans certains pays du Ccg qui, depuis leur crĂ©ation, sont tous des importateurs nets de main d’Ɠuvre, la prĂ©sence Ă©trangĂšre l’emporte en nombre sur la population nationale. Cette situation est le rĂ©sultat de politiques dĂ©libĂ©rĂ©es visant Ă  la non-intĂ©gration des populations immigrĂ©es. Cette logique de non-intĂ©gration dĂ©fie beaucoup de propositions quasi-axiomatiques des Ă©tudes migratoires, dont le fer de lance a Ă©tĂ© la sociologie amĂ©ricaine prĂ©occupĂ©e par les notions d’assimilation, de diversitĂ© ou multiculturalisme dĂ©coulant d’une immigration considĂ©rĂ©e comme durable. MĂȘme lorsque le centre d’intĂ©rĂȘt des Ă©tudes migratoires a Ă©tĂ© dĂ©placĂ© de l’analyse des consĂ©quences de l’immigration vers celle de ses causes, ces postulats n’ont pas fondamentalement Ă©tĂ© remis en question comme en tĂ©moigne la thĂ©orie des systĂšmes migratoires et plus tard la littĂ©rature sur le transnationalisme qui prĂ©supposent la possibilitĂ© d’intĂ©gration dans le pays d’accueil pour pouvoir tisser des rĂ©seaux sociaux transfrontaliers. MĂȘme au regard du cas particulier de l’immigration turque en Allemagne, les politiques des pays du Golfe de refus d’implantation des Ă©trangers alors mĂȘme que leur prĂ©sence est indispensable Ă  l’économie du pays apparaissent assez singuliĂšres ; pourtant, malgrĂ© leur singularitĂ© au sein de la communautĂ© internationale, elles ne semblent pas devoir changer pour des raisons structurelles comme l’a montrĂ© l’échec des politiques de nationalisation de la main d’Ɠuvre dans leur objectif de rĂ©duire le dĂ©sĂ©quilibre entre nationaux et Ă©trangers, et aussi du fait de la cĂ©lĂ©bration assez gĂ©nĂ©rale de la mobilitĂ© des personnes et de la main d’Ɠuvre dans le contexte de mondialisation. De fait, la montĂ©e en puissance du discours sur la mondialisation semble avoir opportunĂ©ment fourni des justifications, dans deux domaines au moins, Ă  des pratiques de sĂ©grĂ©gation qui commençaient Ă  ĂȘtre mise Ă  l’index. Tout d’abord, les pays du Ccg, l’émirat de DubaĂŻ en tĂȘte, se sont prĂ©sentĂ©s comme les champions de la mondialisation, avec leurs populations mĂȘlĂ©es et leur position de carrefour : partisans du vieil adage libĂ©ral du « laissez-faire, laissez-passer », ils ont tĂąchĂ©s — pour les plus libĂ©raux d’entre eux — de s’inscrire comme Ă©tape obligĂ©e dans les mouvements de circulation transcontinentale des Ă©lites, particuliĂšrement occidentales (envisagĂ©es ici sous l’angle de migrations de travail seulement). En effet, la mobilitĂ© croissante de la main d’Ɠuvre qualifiĂ©e et l’internationalisation des carriĂšres semblent avoir fait passer au second plan la question de la non-intĂ©gration. DeuxiĂšmement, le pilier de la politique d’immigration des pays du Ccg depuis les annĂ©es 1980 qui consiste Ă  accueillir la main d’Ɠuvre non qualifiĂ©e sur la base de contrats Ă  durĂ©e limitĂ©e, semble avoir Ă©galement gagnĂ© en acceptabilitĂ© avec la mise en place, pour adoucir les effets de la crise mondiale, par certains pays europĂ©ens et le Japon de ‘programmes de retour volontaire’ des immigrants lĂ©gaux, -programmes qui attirent l’attention croissante des chercheurs. Dans le contexte de mobilitĂ© accrue, la tendance est-elle dĂ©sormais Ă  des migrations plus courtes des moins qualifiĂ©s, une rotation des Ă©lites, et une intĂ©gration sĂ©lective de certains immigrĂ©s triĂ©s sur le volet ? Assiste-t-on Ă  une relative convergence qui minimiserait la singularitĂ© du modĂšle du Golfe de non-intĂ©gration et le rendrait pionnier dans sa logique de dĂ©territorialisation? L’analyse de la perception des phĂ©nomĂšnes de migration et de mondialisation dans les discours et politiques des responsables du Ccg, devrait nous permettre de rĂ©pondre par la nĂ©gative. Des mĂ©canismes ont Ă©tĂ© mis en place au fil des annĂ©es 1970 et 1980 pour assurer la non-intĂ©gration des Ă©trangers dans les pays du Ccg, depuis l’absence de naturalisation en dĂ©pit des lois, les politiques de rĂ©gulation rigide des mouvements d’entrĂ©e, jusqu’au choix d’origine des travailleurs Ă©trangers ; ce principe de non-intĂ©gration est Ă  la base du dĂ©ni officiel du phĂ©nomĂšne d’immigration par les autoritĂ©s, mais aussi de la structure compartimentĂ©e et hiĂ©rarchisĂ©e des sociĂ©tĂ©s de la rĂ©gion. Le discours hĂ©gĂ©monique de la mondialisation a eu un effet de trompe l’Ɠil sur la justification et la rationalisation d’un modĂšle rĂ©sultant de politiques le plus souvent Ă  court terme. Sa viabilitĂ© Ă  long terme et les conditions de son Ă©volution sont Ă©tudiĂ©es Ă  travers le cas de BahreĂŻn qui, parent pauvre du Ccg, a commencĂ© timidement Ă  revenir sur certaines rigiditĂ©s du systĂšme en termes de nationalitĂ© et de sponsorship.Most migratory studies focus on “North-South” migration. However, according to Peter Sutherland, the United Nations’ Special Representative on migration, these migrants only account for around half of global flows. Despite research carried out by the French Research Institutes Abroad (Instituts français de recherche Ă  l'Ă©tranger or IFRE) indicating that “some emigrant countries have now become host countries,” there is much less information on “South-South” migration. One “Southern” country stands out: the Cooperation Council for the Arab States of the Gulf (GCC). Even though they are industrialised and do not belong to advanced or developed regions, they are some of the richest countries in the world in terms of GDP per capita. This highlights two socio-economic factors unique to the region: firstly, the wealth generated by oil resources and, secondly, the fact that these countries, which had small populations when their economies began taking off, have remained relatively unpopulated despite their booming economies, strong demand for labour and high birth rates. It is no surprise that in some GCC countries, which have been net importers of labour since the GCC’s creation, there are more foreigners than citizens. This is because of policies deliberately aiming at the non-integration of immigrant populations. This non-integration goes against many near axiomatic conclusions from migratory studies, in particular American sociology, which has focused on the concepts of assimilation, diversity, and multiculturalism as a result of enduring immigration. Even when migratory studies began emphasizing the causes of immigration rather than its consequences, these fundamental ideas were never seriously called into question. This can be seen in the migrations system theory and work on transnationalism, which assumed that immigrants could integrate host countries and build cross-border social networks. Even compared to the unusual situation of Turkish immigrants in Germany, the fact that Gulf countries have adopted policies preventing foreigners from settling in the region – despite they fact are essential to the economy – can seem strange. However, even though these policies are unique in the international community, they do not seem to require modification for structural reasons including the failure of policies nationalising labour to reduce the imbalance between citizens and foreigners, and the generalised position encouraging personal and labour mobility as a result of globalisation. In fact, the increasing importance of arguments in favour of globalisation seems to have justified segregationist practices in at least two fields that were beginning to be frowned upon. Firstly, the GCC and Dubai in particular set themselves up as the champions of globalisation, with their mixed populations and strategic geographic locations. As supporters of the old “laissez-faire, laissez-passer” saying, the most liberal countries attempted to become key ports of call in the movement of a transnational – especially Western – elite (considered solely in the context of labour migration). Indeed, the increasing mobility of qualified labour and the internationalisation of careers seem to have pushed the issue of non-integration into the background. Secondly, the foundation of the GCC’s immigration policy since the 1980s – fixed term contracts – seems to have become more acceptable, with the implementation of “voluntary return programmes” for legal immigrants in Japan and some European countries. Introduced to mitigate the effects of the economic crisis, these programmes are attracting the attention of researchers. Given this increased mobility, what are the current migratory trends: shorter migration periods for less qualified workers, a rotating elite and the selective integration of a few handpicked immigrants? Are we currently witnessing a situation where different situations converge to minimise the peculiarity of Gulf countries’ non-integration models and make them pioneers in the de-territorialisation field? An analysis of the description of migration and globalisation in GCC speeches and policies indicates this is not the case. In the 1970s and 1980s, the GCC put in place several measures preventing the integration of foreigners. This included the non-naturalisation of foreigners despite laws to the contrary, strict policies controlling foreign admission to the country, and accepting foreign workers from selected countries only. The non-integration principle underlies the authorities’ official position denying immigration, but also the compartmentalised and hierarchical structure of societies in the region. The hegemonic discourse on globalisation has had an illusory effect on the justifications and rationalisations for a model resulting from what are mostly short-term policies. Its long term viability and possible evolutions are examined by taking the example of Bahrain, one of the GCC’s poor relations, which has begun to timidly revise some of its strict provisions on nationality and sponsorship

    Global Patterns of Bacterial Beta-Diversity in Seafloor and Seawater Ecosystems

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    Background Marine microbial communities have been essential contributors to global biomass, nutrient cycling, and biodiversity since the early history of Earth, but so far their community distribution patterns remain unknown in most marine ecosystems. Methodology/Principal Findings The synthesis of 9.6 million bacterial V6-rRNA amplicons for 509 samples that span the global ocean's surface to the deep-sea floor shows that pelagic and benthic communities greatly differ, at all taxonomic levels, and share <10% bacterial types defined at 3% sequence similarity level. Surface and deep water, coastal and open ocean, and anoxic and oxic ecosystems host distinct communities that reflect productivity, land influences and other environmental constraints such as oxygen availability. The high variability of bacterial community composition specific to vent and coastal ecosystems reflects the heterogeneity and dynamic nature of these habitats. Both pelagic and benthic bacterial community distributions correlate with surface water productivity, reflecting the coupling between both realms by particle export. Also, differences in physical mixing may play a fundamental role in the distribution patterns of marine bacteria, as benthic communities showed a higher dissimilarity with increasing distance than pelagic communities. Conclusions/Significance This first synthesis of global bacterial distribution across different ecosystems of the World's oceans shows remarkable horizontal and vertical large-scale patterns in bacterial communities. This opens interesting perspectives for the definition of biogeographical biomes for bacteria of ocean waters and the seabed

    Nationality & Migrations Control in the Gulf countries

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    This article argues that in the Gulf, contrary to other regions of the world, the necessity to control mass migrations preceded the official establishment of definitive borders and state structures. It then shows that this very sequencing, compounded with the issue of oil revenues' distribution, affected the forms of movement control that were opted for, as well as the types of nationality issues that derived from it

    Amélie Le Renard, Le PrivilÚge occidental. Travail, intimité et hiérarchies postcoloniales à Dubaï

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    L’ouvrage d’AmĂ©lie Le Renard propose une rĂ©flexion critique sur la prĂ©sence des rĂ©sidentes et rĂ©sidents occidentaux Ă  DubaĂŻ et le rĂŽle qu’ils jouent dans « les transformations transnationales des hiĂ©rarchies sociales » (p. 15). L’autrice de Femmes et espaces publics en Arabie Saoudite, qui a, par la suite, analysĂ© les stĂ©rĂ©otypes genrĂ©s (les “locaux”, les “Saoudiennes”) prĂ©valant dans la vision du monde du travail des expatriĂ©s en Arabie Saoudite, interroge ici les conditions structurelles, Ă©..

    Les vacances en Europe Univers familial, univers familier des " Golfiens "

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    Pour la plupart des jeunes issus des familles fortunĂ©es ou des classes moyennes su- pĂ©rieures des monarchies du Golfe, l'Europe n'est pas, contrairement Ă  l'image d'Épinal, la destination estivale de toutes les tentations, ni de toutes les perditions. Loin des clichĂ©s sur la frĂ©nĂ©sie de shopping de marque des jeunes filles, ou la consommation immodĂ©rĂ©e d'alcool, de " filles " et de produits de luxe des jeunes hommes, les vacances reproduisent le plus souvent, trĂšs prosaĂŻquement, des pratiques de loisir et des comportements qui existent dans les pays du Golfe le reste de l'annĂ©

    Koweït : paralysie institutionnelle, marchandage politique et lassitude populaire

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    Alors que le KoweĂŻt a longtemps fait figure dans le Golfe de pionnier en matiĂšre de participation politique et d'expĂ©rience dĂ©mocratique, la derniĂšre dĂ©cennie a vu un grippage progressif de son fonctionnement institutionnel avec des dissolutions Ă  rĂ©pĂ©tition du Parlement Ă©lu. La volontĂ© des Ă©lecteurs de renouer avec le progrĂšs et la conciliation politiques s'est clairement exprimĂ©e par l'Ă©lection historique, le 16 mai 2009, de quatre femmes au Parlement. Pourtant, les facteurs de blocages entre l'exĂ©cutif et le Parlement qui relaye traditionnellement une partie des griefs de la sociĂ©tĂ© sont loin d'ĂȘtre rĂ©solus, de sorte que c'est la crĂ©dibilitĂ© de l'ensemble du systĂšme participatif qui, Ă  l'intĂ©rieur du pays comme dans le reste du Golfe, en pĂątit

    Fred Halliday, Britain’s First Muslims: Portrait of an Arab Community

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    Britain’s First Muslims est la rĂ©Ă©dition, sous un nouveau titre et avec une nouvelle introduction, du livre intitulĂ© Arabs in Exile: Yemeni Migrants in Urban Britain que Fred Halliday publia en 1992. Contrairement Ă  ce que pourrait laisser penser ce changement de titre, il ne s’agit nullement d’une manƓuvre Ă©ditoriale destinĂ©e Ă  tirer profit de la gĂ©nĂ©ralisation constatĂ©e par l’auteur (p. xi) des termes de « communautĂ© musulmane de Grande Bretagne » ou de « musulmans britanniques » dans le la..

    Globalization and the Gulf

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