49 research outputs found

    In Situ Detection of HY-Specific T Cells in Acute Graft-versus-Host Disease–Affected Male Skin after Sex-Mismatched Stem Cell Transplantation

    Get PDF
    HY-specific T cells are presumed to play a role in acute graft-versus-host disease (aGVHD) after female-to-male stem cell transplantation (SCT). However, infiltrates of these T cells in aGVHD-affected tissues have not yet been reported. We evaluated the application of HLA-A2/HY dextramers for the in situ detection of HY-specific T cells in cryopreserved skin biopsy specimens. We applied the HLA-A2/HY dextramers on cryopreserved skin biopsy specimens from seven male HLA-A2+ pediatric patients who underwent stem cell transplantation with confirmed aGVHD involving the skin. The dextramers demonstrated the presence of HY-specific T cells. In skin biopsy specimens of three male recipients of female grafts, 68% to 78% of all skin-infiltrating CD8+ T cells were HY-specific, whereas these cells were absent in biopsy specimens collected from sex-matched patient–donor pairs. Although this study involved a small and heterogeneous patient group, our results strongly support the hypothesis that HY-specific T cells are actively involved in the pathophysiology of aGVHD after sex-mismatched stem cell transplantation

    Indication et évitabilité des fluoroquinolones en médecine générale (étude d'un an de prescriptions dans un cabinet de Loire-Atlantique)

    No full text
    Indication et évitabilité des fluoroquinolones en médecine générale : étude d'un an de prescriptions dans un cabinet de Loire-Atlantique. Objectif : Evaluer les motifs de prescription de fluoroquinolone en médecine générale, et la fréquence des prescriptions évitables. Méthodes: Nous avons revu rétrospectivement toutes les prescriptions de fluoroquinolone faites entre décembre 2009 et novembre 2010 dans un cabinet de 5 médecins généralistes. Les prescriptions ont été considérées évitables dans les cas suivants : absence d'AMM ; traitement empirique d'une cystite chez une femme sans allergie à la nitrofurantoïne ; pyélonéphrite documentée sans contre-indication clinique ou bactériologique à l'amoxicilline, l'amoxicilline-acide clavulanique et au cotrimoxazole ; infection urinaire documentée chez un homme sans contre-indication clinique ou bactériologique au cotrimoxazole ; cystite documentée chez une femme sans contre-indication clinique ou bactériologique à l'amoxicilline, l'amoxicilline-acide clavulanique, au cotrimoxazole et à la nitrofurantoine ; pneumonie, exacerbation aiguë de BPCO, sinusite ou otite moyenne sans aucun des critères suivants : allergie aux beta-lactamines, échec d'un traitement par beta-lactamine ou macrolide, suspicion d'infection urinaire associée. Résultats: Chez 654 patients (418 femmes, 236 hommes) âgés de 44.1 +- 16.8 années, 787 prescriptions ont été réalisées en un an. Au moins un diagnostic était indiqué pour 742 prescriptions. Huit cent deux diagnostics ont été recueillis : infections respiratoires 56.2% , infections urinaires 34.7% , autres diagnostics 9.1%. Sur 661 prescriptions analysables, 558 prescriptions (84.4% [81.4%-87.0%]) ont été considérées évitables. Perspectives: Une majorité des prescriptions de fluoroquinolone semble évitable. Ces données doivent être confirmées par une étude multicentrique.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    CONTRIBUTION A L'ETUDE DE L'ACTIVITE BACTERICIDE DE LA VANCOMYCINE,IN VITRO ET IN VIVO (A PROPOS DE DEUX SOUCHES DE STAPHYLOCOCCUS AUREUS)

    No full text
    NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Évolution de l'antibiothérapie administrée aux urgences du CHU de Nantes en traitement des pneumopathies des patients hospitalisés de 2002 à 2012

    No full text
    Contexte : La surconsommation d'antibiotiques est une cause de l'émergence des bactéries multi-résistantes. Surtout pour les antibiotiques à large spectre (C3G et FQ). L'objectif de l'étude est de voir si les antibiothérapies à large spectre prescrites aux urgences sont relayées par une antibiothérapie à spectre plus étroit dans les services de médecine sachant que plus de 80% des prescriptions de C3G et de FQ sont évitables ou non conformes. Méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective, unicentrique, réalisée aux Urgences du CHU de Nantes sur la période 2002 à 2012. Les patients inclus, sont les patients de plus de 18ans atteints d'une pneumopathie et qui sont hospitalisés en service de médecine après un passage aux Urgences. L'analyse a porté sur le type de modification à J7 de l'antibiothérapie initiale, l'évolution de ces modifications au cours du temps et la durée de traitement. Les types de modification peuvent être l'arrêt de toute antibiothérapie, la poursuite, l'extension ou la limitation de spectre de l'antibiothérapie initiale. La durée totale de l'antibiothérapie était aussi étudiée. Résultats : De 2002 à 2012, 732 patients ont été inclus. 45% des patients recevant une C3G et 40% des patients recevant une FQAP aux urgences ont à J7 un arrêt de l'antibiothérapie ou une diminution du spectre. La durée médiane globale de traitement est de 11 jours (9-14). Conclusion : Malgré les prescriptions injustifiées ou non conformes des C3G et des FQ aux urgences, la simplification de spectre au cours de l'hospitalisation est insuffisante. De plus, la durée de traitement est très longue. Le respect des recommandations dans une politique d'économie des antibiotiques doit-être une priorité pour le clinicien.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Les pyélonéphrites obstructives aux urgences (une étude rétrospective sur cinquante deux dossiers)

    No full text
    Evaluer la qualité de la prise en charge des pyélonéphrites obstructives (PO) dans un service d urgences, décrire les caractéristiques cliniques et paracliniques des PO, établir des facteurs de risque de retard diagnostique ou de retard dans la prise en charge. Matériel et méthode : Analyse rétrospective sur 52 dossiers de patients passés dans le SAU de Nantes en 2005 puis pris en charge par les urologues pour désobstruction dans le cadre d une PO. Résultats : Les PO touchent majoritairement des femmes, les présentations clinique et paraclinique sont volontiers atypiques, ce qui peut rendre le diagnostic difficile. Du point de vue de la qualité de la prise en charge, il conviendrait de mieux prioriser les patients algiques et les patients hypotendus et tachycardes. L utilisation stricte des référentiels concernant les infections urinaires et les coliques néphrétiques devraient permettre d éviter certaines erreurs diagnostiques. Le recours au scanner doit être favorisé si on se base sur ces textes de référence. Conclusion : la PO est une pathologie peu fréquente et dont la présentation peut être frustre. La qualité de prise en charge aux urgences doit encore être améliorée.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Délai de prise en charge des infections à méningocoque dans un service d'accueil et d'urgence (étude de 46 cas)

    No full text
    Nous avons tenté d'évaluer la capacité d'un service d'urgences à repérer et traiter les infections à méningocoque. Pour cela, nous avons rapporté dans cette étude 46 cas d'infections chez l'adulte répertoriés au SAU de Nantes entre 1995 et 2003 et en particulier les différents délais (attente, PL, traitement) durant leur passage aux urgences. Après avoir établi le profil clinique des patients, nous avons évalué les différents paramètres qui modifient ces délais très variables d'un patient à l'autre afin de mettre en évidence les facteurs de risque de retard diagnostique et donc thérapeutique. Il en ressort que le diagnostic de ces infections n'est pas toujours simple et que certains signes doivent alerter les soignants mais aussi que l'on peut agir sur d'autres paramètres que la rapidité du diagnostic pour d'améliorer la prise en charge de ces patients.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Évaluation de la pratique de la désescalade antibiotique dans les infections urinaires communautaires traitées en milieu hospitalier

    No full text
    Objet - Les fluoroquinolones et les céphalosporines de 3ème génération sont largement prescrites à l'hôpital (environ 20% des prescriptions d'antibiotiques) et de nombreuses résistances bactériennes apparaissent. Le but de cette étude rétrospective est d'étudier la pratique de la désescalade antibiotique au CHU de Nantes, dans le traitement des infections urinaires communautaires, dans un projet de sauvegarde des fluoroquinolones et des céphalosporines de 3ème génération. Méthodes - L'évaluation de ces pratiques a porté sur une période d'un an en 2010. Le recrutement des patients issus de 12 services différents s'est fait par le biais des ECBU. Un questionnaire a été rempli pour chaque patient, permettant d'obtenir des informations sur le diagnostic posé, les complications éventuelles, le traitement empirique, l'adaptation à l'antibiogramme, les raisons de non désescalade et la durée de traitement entre autres. Résultats - La moyenne d'âge des patients était de 70 +- 22,5 ans. Sur 80 patients inclus la désescalade n'a été faite que pour 32 patients (soit 40%). Elle aurait pu être réalisée pour 11 patients supplémentaires (pour qui il n'y avait pas de bonne raison de ne pas désescalader) et chez 20 autres personnes (pour lesquelles la désescalade a été oubliée). Nous n'avons pas retrouvé de facteurs influençant la désescalade : ainsi, il n'y avait pas de différence significative en fonction du sexe, du service d'hospitalisation ou du diagnostic retenu. Conclusion - Cette étude a mis en avant le fait que la désescalade antibiotique n'était pas encore entrée dans toutes les pratiques. Pourtant une économie des fluoroquinolones est nécessaire. Une clarification des recommandations associées à la diffusion d'un guide régional de bonne pratique antibiotique, ainsi que l'informatisation des prescriptions, mise en place depuis peu, permettraient d'optimiser la prise en charge antibiotique en cas d'infection urinaire.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF
    corecore