Intérêt du Rituximab dans le Purpura Thrombopénique immunologique réfractaire (à propos de douze observations)

BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

Ostéotomies tibiales hautes de valgisation par ouverture médiale sans comblement (à propos de 51 cas)

LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

La confiance du patient en son médicament (poids du médecin traitant et influence des médias dans cette relation)

la confiance du patient en son médicament : poids du médecin traitant et influence des médias dans cette relation. De nos jours, les récentes affaires autour des médicaments, largement diffusées dans les médias comme celle du Médiator, ou plus récemment du Furosemide Teva, mettent la confiance des patients dans leurs médicaments à rude épreuve. Le médecin traitant a un rôle prépondérant à jouer dans l'établissement et le maintien de cette relation de confiance entre le patient et son traitement. L'objectif de cette thèse a été d'étudier l'image qu'a le médicament chez les patients, la confiance qu'ils y accordent, les éventuelles recherches d'informations réalisées par les patients sur celui-ci, et le poids respectif que peuvent avoir le médecin généraliste et les médias dans cette relation au médicament. En mars et avril 2013, un questionnaire anonyme a été distribué en fin de consultation aux patients de trois cabinets de médecine générale en milieu rural en nord-Vendée, à La Gaubretière et aux Herbiers. Les critères d'inclusion étaient le fait d'être patients du cabinet et l'âge supérieur à 18 ans. Au total, 250 questionnaires ont été analysés, et il est apparu que 92,8% des patients avaient tout à fait ou plutôt confiance dans le médicament en général, et ils étaient 97,2% à avoir tout à fait ou plutôt confiance en un médicament prescrit. Il n'existait donc pas de différence selon que le médicament était obtenu sur ordonnance ou non. Le médecin généraliste, de par l'excellente image dont il jouit auprès de ses patients, joue un rôle primordial dans cette confiance, malgré l'influence certaine que peuvent avoir les médias qui pointent largement du doigt actuellement les effets négatifs des médicaments, à grand renfort de sujets télévisuels, et d'ouvrages littéraires à succès. Les patients sont sensibles aux messages véhiculés via la télévision, internet, la presse, mais leur premier interlocuteur et personne de confiance reste leur médecin traitant, dont ils écoutent les conseils et explications et qui garde le dernier mot malgré tout. La confiance envers le médicament est fragile, devant être sans cesse entretenue, et le développement grandissant des médias mérite une attention de tous les instants de la part du soignant, afin que le médicament garde cette image positive auprès de sa patientèle, et qu'il puisse continuer à s'y appuyer dans sa pratique quotidienne.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

La confiance du patient en son médicament (poids du médecin traitant et influence des médias dans cette relation)

la confiance du patient en son médicament : poids du médecin traitant et influence des médias dans cette relation. De nos jours, les récentes affaires autour des médicaments, largement diffusées dans les médias comme celle du Médiator, ou plus récemment du Furosemide Teva, mettent la confiance des patients dans leurs médicaments à rude épreuve. Le médecin traitant a un rôle prépondérant à jouer dans l'établissement et le maintien de cette relation de confiance entre le patient et son traitement. L'objectif de cette thèse a été d'étudier l'image qu'a le médicament chez les patients, la confiance qu'ils y accordent, les éventuelles recherches d'informations réalisées par les patients sur celui-ci, et le poids respectif que peuvent avoir le médecin généraliste et les médias dans cette relation au médicament. En mars et avril 2013, un questionnaire anonyme a été distribué en fin de consultation aux patients de trois cabinets de médecine générale en milieu rural en nord-Vendée, à La Gaubretière et aux Herbiers. Les critères d'inclusion étaient le fait d'être patients du cabinet et l'âge supérieur à 18 ans. Au total, 250 questionnaires ont été analysés, et il est apparu que 92,8% des patients avaient tout à fait ou plutôt confiance dans le médicament en général, et ils étaient 97,2% à avoir tout à fait ou plutôt confiance en un médicament prescrit. Il n'existait donc pas de différence selon que le médicament était obtenu sur ordonnance ou non. Le médecin généraliste, de par l'excellente image dont il jouit auprès de ses patients, joue un rôle primordial dans cette confiance, malgré l'influence certaine que peuvent avoir les médias qui pointent largement du doigt actuellement les effets négatifs des médicaments, à grand renfort de sujets télévisuels, et d'ouvrages littéraires à succès. Les patients sont sensibles aux messages véhiculés via la télévision, internet, la presse, mais leur premier interlocuteur et personne de confiance reste leur médecin traitant, dont ils écoutent les conseils et explications et qui garde le dernier mot malgré tout. La confiance envers le médicament est fragile, devant être sans cesse entretenue, et le développement grandissant des médias mérite une attention de tous les instants de la part du soignant, afin que le médicament garde cette image positive auprès de sa patientèle, et qu'il puisse continuer à s'y appuyer dans sa pratique quotidienne.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

Trace elements in marine birds, arctic hare and ringed seals breeding near Qikiqtarjuaq, Nunavut, Canada

International audienceObjective: To evaluate a specific workplace intervention for the management of chronic lower back pain among employees working in assembly positions in the automotive industry. Design: Randomized controlled trial. Setting: On site at the workplace of a French automotive manufacturer. Participants: Subjects (N!75 volunteers) were recruited on site and randomly assigned to either an experimental group(n!37) or a control group (n!38). Intervention: The experimental group followed a supervised 60-minute session, 3 times per week, of muscle strengthening, flexibility, and endurance training during 2 months. The control group received no direct intervention. Evaluation took place at baseline, 2 months, and 6 months. Main Outcome Measures: Pain related parameters were evaluated using validated questionnaires and scales translated into French (Quebec Back Pain Disability Scale, Rolan Morris Disability Questionnaire, Dallas Pain Questionnaire, and the Tampa Scale for Kinesiophobia). Perceived pain intensity wasevaluated using the numerical rating scale, and physical outcome measures were evaluated using specific indicators (flexibility, Biering-Sorensen Test, Shirado test). The multivariate analysis of variance, t test, and Wilcoxon signed-rank test were used for statistical analysis. Results: We observed a significant beneficial effect (P".025) for the experimental group at 2 and 6 months in pain parameters, specific flexibility, and in back functions, and a significant improvement at 6 months in the control group for the perceived pain intensity, anterior flexion, flexibility of quadriceps, and Dallas Pain Questionnaire’s work recreational score. An increase in the practice of physical activity outside the workplace was noted in both groups at 2 months but persisted at 6 months for the experimental group. Conclusions: This study reinforces the multiple health benefitsof physical activity and physical therapy modalities in theworkplace by assisting individuals at risk who have chronicLBP

Direct genotyping of cytomegalovirus envelope glycoproteins from toddler's saliva samples

Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Limoges, Centre National de Reference du CMV, Laboratoire de Bactériologie-Virologie-Hygiène, Limoges, FranceInternational audienceBACKGROUND: The polymorphism of genes encoding CMV envelope protein is used for strain classification and may influence pathogenesis and/or infectivity. CMV genotyping is usually based on sequencing or acrylamide gel-RFLP, but these methods are not suited to rapid screening of large populations. OBJECTIVES: We developed a high-throughput method to analyze CMV strains diversity and to detect multiple-strain infection in a large population of toddlers (six daycare centers (DCC) and an emergency unit (EU)). METHODS: We developed a new PCR-RFLP method coupled with capillary electrophoresis fragment detection for UL55-gB, UL75-gH and UL73-gN genotyping. To detect gB recombinants, gpUL55 typing was applied to two variable zones (NTerminal and central). We applied this method to 212 CMV-positive saliva samples and controlled the results by direct sequencing of PCR products. RESULTS: We identified 112 strains, that fell into eight groups in UL55-gB, two groups in UL75-gH, and seven groups in UL73-gN. The 79 samples from the emergency unit contained 30 strains, 28 children harboring 2 strains. The samples (n=133) from the six daycare centers contained respectively 4, 1, 6, 1 and 11 strains. Fifteen percent of strains were UL55-gB recombinants. CONCLUSION: Our new method can simultaneously determine gB, gH and gN genotypes and offers more precise classification of CMV strains than previous RFLP-based methods. This could constitute the basis for a new classification, particularly in UL55-gB. Easy direct identification of multiple strains and recombinants in pathological samples could facilitate large epidemiologic studies