9 research outputs found

    Répartition et gestion des pinèdes sylvestres dans les forêts publiques de la région méditerranéenne.

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    Les formations à pin sylvestre couvrent 90 000 ha de forêt publique des régions méditerranéennes françaises. Les peuplements présentent des faciès et une qualité très variable selon ces régions. Les produits sont valorisés dans la trituration, les palettes et parfois les sciages. Selon la fertilité locale, la sylviculture est plus ou moins intensive, privilégiant la possibilité de mise en marché des coupes d'éclaircie

    Etude de la régénération naturelle du chêne pubescent à partir d'un taillis simple

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    L'essai mis en place par la Section technique interrégionale de l'ONF en forêt domaniale de Montdenier (Alpes de Haute Provence) vise à étudier la phase d'apparition des semis de chêne pubescent consécutive à la réalisation de la coupe préparatoire à l'ensemencement dans un peuplement de chêne traité en taillis simple

    Essais d'adaptation et peuplements de référence de sapins méditerranéens mis en place par l'Office national des forêts

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    Pour améliorer la réussite des reboisements en sapins méditerranéens (adéquation station , espèce, matériel génétique adapté, maîtrise des techniques), l'ONF a mis en place deux types d'essais décrits dans cet article : - 3 essais d'adaptation en Corse, - des peuplements de référence

    Amélioration des techniques de reconstitution en espèces feuillues de la forêt méditerranéenne

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    Le reboisement est une des techniques de reconstitution possible de la forêt méditerranéenne, notamment après incendie. Si les techniques d'installation des résineux sont aujourd'hui bien maîtrisées, celles concernant les feuillus sont moins connues. Cette étude, à partir de dispositifs expérimentaux mis en place au début des années 1990, permet de tirer les premiers enseignements sur l'installation des plants feuillus

    Anticorps anti-annexines et calcifications artérielles au cours du lupus érythémateux systémique : étude transversale

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    International audienceLa maladie cardiovasculaire due à une athérosclérose précoce et accélérée représente une cause majeure de morbi-mortalité au cours du lupus érythémateux systémique (LES). Une augmentation significative de la prévalence des calcifications artérielles au cours du LES a été rapportée. Les calcifications cardiovasculaires sont reconnues comme étant associées à un risque cardiovasculaire élevé. Les facteurs de risque cardiovasculaire traditionnels n’expliquent pas totalement la majoration du risque cardiovasculaire au cours du LES. D’autres facteurs inhérents au LES sont impliqués tels que l’activité de la maladie, certains traitements ou encore l’auto-immunité. Il a été montré que l’annexine A2 et l’annexine A5 pouvaient avoir des effets athéroprotecteurs. L’objectif de notre étude est de rechercher une association entre les anticorps anti-annexines et les calcifications artérielles chez des patientes lupiques. Les patientes présentant un LES répondant aux critères de classification du lupus de l’American College of Rheumatology (1997) et suivies dans 2 centres hospitaliers universitaires français ont participé à cette étude, après information et recueil de leur consentement écrit. Des données démographiques et cliniques ont été colligées telles que l’âge et les facteurs de risque cardiovasculaire traditionnels (HTA, dyslipidémie, tabagisme actif, diabète, obésité). Les patientes lupiques ont bénéficié de différents examens radiologiques afin de rechercher la présence de calcifications cardiovasculaires : échographie cardiaque, scanner coronarien et aortique, échographie doppler des troncs supra-aortiques, de l’aorte abdominale et des artères des membres inférieurs. Nous avons recherché différents auto-anticorps d’isotype IgG et IgM : anticardiolipine (ACL), anticorps anti-b2 glycoprotéine I (aB2GPI), anticorps anti-annexine A2 (aANXA2) et anticorps anti-annexine A5 (aANXA5). Nous avons inclus 69 patientes d’avril 2011 à mai 2015. L’âge médian à l’inclusion était de 43,3 [22–74] ans. La prévalence des facteurs de risque cardiovasculaire « classiques » était : HTA (21,4 %), tabagisme actif (23,5 %), dyslipidémie (14,4 %), diabète (1,4 %), obésité (27,9 %). Nous avons observé au moins une calcification vasculaire chez 47,8 % des patientes. La prévalence des différentes calcifications cardiovasculaires selon leur localisation était : calcifications coronariennes (26 %), calcifications de l’aorte thoracique (33,3 %), calcifications de l’aorte abdominale (26 %), calcifications valvulaires (14,4 %), calcifications des artères des membres inférieurs (7,2 %), calcifications des troncs supra-aortiques (7,3 %). La positivité des anticorps antiphospholipides « conventionnels » (ACL et/ou aB2GPI) était observée chez 22,3 % des patientes. La présence des aANXA2 et des aANXA5 était observée respectivement chez 10,4 % et 6 % des patientes. Aucune association n’a été retrouvée entre la positivité des aANXA5 et la présence de calcifications artérielles. Cependant, nous avons observé une association entre la présence d’aANXA2 et les calcifications coronariennes (p = 0,0095). Nous avons observé une prévalence élevée des calcifications cardiovasculaires au cours du LES. L’association observée entre la présence d’anticorps dirigés contre l’annexine A2 et les calcifications coronariennes laisse supposer que ces anticorps pourraient avoir un rôle pro-athérogène. D’autres études seront nécessaires afin de confirmer ces données
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