217 research outputs found

    A new value of the period of the classical Cepheid RT Aur on the basis of 456 times of maximum, 1897-2023

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    The present study collects 456 new times of maximum light of the classical Cepheid RT Aur, covering the period from 1897 to 2022. The O-C diagram resulting from these observations shows that the period given by the GCVS has to be corrected. It results that no strong period variation is found. However, the observed O-C residuals show a long term periodic trend. In the hypothesis of RT Aur being in a binary system, an orbit cannot be deduced from the available astrophysical data.Comment: 8 pages; 6 figures ; links to download data on GEOS websit

    Photometric survey of the red giant V449 Cygni over half a century (1974 to 2022). A semi-regular variable star with a period of ~54 days

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    This study sums up a major part of the red giant V449 Cygni measurements for the years 1974 through 2022, obtained by visual and CCD GEOS observers, the Unione Astrofili Italiani, and various automatized telescopes. It appears that the light variations of V449 Cyg in the years 1970-1990 corresponded more to an L-type star according to the GCVS classification, with irregular amplitude variations, sometimes marked by a quasi-periodicity of about 100 days. Since the mid-1990s, these variations have become more regular, with an amplitude of about 0.7 magnitude in V, and a period of about 54,1 days, as shown by various period search routines applied to the best recent CCD series. A longer period of about 2000 days is possible to describe the long term variation of V449 Cyg. Therefore, V449 Cyg appears to be an SRB-type star.Comment: 14 pp.; 14 figures in colo

    Hervé Faye et Ernest Mouchez, ou l’astronomie française entre science et politique à la fin du xixe siècle

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    Les dernières années de la carrière d’Hervé Faye sont marquées par sa longue présidence au Bureau des longitudes et par ses relations avec l’officier de marine Ernest Mouchez, nommé directeur de l’Observatoire de Paris en 1878. Mouchez est le premier et unique officier de marine à avoir été nommé directeur de l’Observatoire de Paris, établissement scientifique alors traditionnellement aux mains des polytechniciens. Pressenti pour ce poste après la mort de Le Verrier en 1877, Hervé Faye est à ..

    La propriété intellectuelle des calculs astronomiques en question

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    En 1885, le Bureau des longitudes se voit contraint d’adapter les éphémérides de la Connaissance des temps aux besoins des navigateurs. En procédant à un audit sur les éphémérides en usage dans les ports, le Bureau redécouvre que depuis 1836 sont publiées à Saint-Brieuc des Éphémérides maritimes,véritables extraits de la CDT. Nous avons ainsi identifié une affaire de contrefaçon d’éphémérides nautiques. Les pièces de son jugement par un tribunal rennais posent la question cruciale de la propriété intellectuelle des calculs astronomiques. Au-delà de cette affaire concernant des imprimeurs-libraires briochins et parisiens, nous interrogeons aussi l’insuffisance de la réponse apportée par le Bureau des longitudes aux demandes répétées de simplification des éphémérides à destination des marins.In 1885, the Bureau des longitudes (i.e., the French Board of longitude) had to adapt the ephemerides of the Connaissance des temps in order to answer the needs of the sailors. By investigating the use of the ephemerides in the ports, the Bureau des longitudes discovered that another Ephemerides Maritimes (nautical ephemeris) had also been published for almost five decades. This second ephemeris was published in Saint-Brieuc and was based on the CDT. In other terms, we have a telling example of counterfeit, which was discussed in front of the Court of Rennes. This article shows that the judgment by this Court raised the crucial question of the intellectual property of the astronomical calculations. It also discusses the lack of an answer from the Bureau des longitudes to provide a simplified edition of the ephemerides for sailors despite the regular requests

    Diffusion et mutation des méthodes de l’astronomie nautique, 1749-1905: Accompagné du mémoire d’habilitation,« Une école pratique d’astronomie au service des marins et des explorateurs : l’observatoire de la Marine et du Bureau des longitudes au parc Montsouris, 1875-1914 »

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    Le volume 2 a été édité en 2010 sous le titre : "L'observatoire de la Marine et du Bureau des longitudes au parc Montsouris, 1785-1914", Paris, Edite/IMCCECe dossier scientifique se résume dans un premier temps, à tenter l’aventure d’une histoire totale sur quelques 160 années de développement d’une navigation astronomique et chronométrique de haut niveau, de 1749 à 1905 environ, envisagée sous les angles les plus variés et complémentaires, avec l’ambition de réécrire quelques grandes pages de l’histoire de l’astronomie et de l’histoire de la navigation, au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Ainsi, il y est question du développement et de la diffusion des méthodes de navigation astronomiques et chronométriques par les astronomes et les marins eux-mêmes ; des développements de la mécanique céleste lunaire (théories et tables des mouvements de la Lune) pour la diffusion de la méthode si délicate des distances lunaires et les besoins de la navigation ; de la conception et de la diffusion des tables astronomiques et nautiques jusqu’au début du XXe siècle (histoire des éphémérides de la Connaissance des temps) qui conduisent à s'intéresser au statut et aux conditions de travail des calculateurs en astronomie, aux conditions d'impression et de diffusion de ce genre d'ouvrage ; de l’étude de l’évolution des écoles d’hydrographie et des écoles navales jusqu’à la création des écoles nationales de la Marine marchande au cours du XXe siècle ; et enfin, de l’histoire des observatoires astronomiques de la Marine en France, histoire presque oubliée des historiens qu’Olivier Sauzereau et moi-même, au sein du Groupe d’histoire de l’astronomie du Centre François Viète (GHA CFV), contribuons à faire revivre sous des angles différents et néanmoins complémentaires, avec l'ambition de passer aux études sur le plan international dans un avenir très proche

    "Nouvelle théorie des taches du Soleil", Esprit Pezenas (1692-1776) s.j. - Archives Départementales de l'Hérault, Ms. D.128 S.D., fol. 261-267

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    Edition commentée et annotée par Guy Boistel.Cette étude présente le manuscrit, en grande partie inédit, de la « Nouvelle théorie des taches du Soleil » écrit par l’astronome et professeur d’hydrographie jésuite marseillais, le père Esprit Pezenas (1692-1776), texte composé et revu entre les années 1766 et 1772. Dans ce manuscrit, dont nous allons étudier les conditions de sa composition, le P. Pezenas donne l’une des dernières méthodes géométriques, apparentées aux méthodes graphiques, permettant de déduire l’inclinaison de l’équateur du Soleil sur l’écliptique, à l’aide de trois observations d’une tache solaire, à des époques données, et en tenant compte du mouvement de la Terre par rapport au Soleil pendant la durée des observations. Ce texte comporte tous les éléments numériques permettant de suivre et de comprendre l’application des méthodes de traitement géométrique des observations et des techniques d’observations citées plus haut dans l’introduction : passages des bords et des taches du Soleil au méridien, emploi des micromètres objectifs et des micromètres à fils. Au détour de ses calculs, le P. Pezenas annonce une durée d’environ 26 jours et 9 heures pour la rotation du Soleil autour de son axe, commente et rectifie quelques données d’observations publiées dans l’Histoire céleste de Le Monnier. L’étude du P. Pezenas est donc éclairante à plus d’un titre. Elle illustre parfaitement la pratique d’un astronome des Lumières soucieux d’être compris de ses lecteurs et montre comment un astronome, connaissant parfaitement la littérature de sa discipline, tire le meilleur parti des recueils d’observations astronomiques

    L'astronomie nautique au XVIIIe siècle en France : tables de la Lune et longitudes en mer

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    ISBN : 2-284-03915-4Edition ANRT, 2003, 2 volumes, Lille-3, 1000 pages.This thesis is a huge and new survey ont the quest of longitudes at sea, from new archives in 18th-Century France. It deals with prizes and awards, and expertise within the french Académie royale des sciences (part I); astronomical and nautical ephemeris, with a new history of the CONNAISSANCE DES TEMPS in particular (part II); with the choice of the best method for seafarers and in particular, lunar distances method (part III); and with theoretical works and post-newtonian improvements on the theory of the Moon's motion led by Alexis CLAIRAUT (part IV).L'étude constitue une vaste remise à jour de l'histoire du développement de l'astronomie nautique au XVIIIe siècle sous ses aspects scientifiques, institutionnels et sociaux. La première partie s'intéresse aux prix et récompenses académiques qui motivent une production d'écrits de la part d'auteurs provenant d'écrits très variés ; l'Etat doit donc nommer des experts ; cette partie revient sur le Prix Rouillé de Meslay de navigation et fait un point sur le statut méconnu de "Préposé au perfectionnement de la navigation sous toutes ses formes", experts académiciens placés sous le contrôle du Ministre de la Marine et non de l'Académie royale des sciences. La seconde partie s'intéresse à la publication des éphémérides astronomiques et nautiques à destination de publics divers comme les astronomes et les navigateurs ; les premières tensions émergent. Cette partie contient une première histoire détaillée de la publication de la CONNAISSANCE DES TEMPS, de 1678 à 1795 environ et du rôle majeur joué par l'astronome Jérôme LALANDE dans cette histoire. La Troisième partie s'intéresse aux débats sur le choix de(s) la(les) meilleure(s) méthode(s) de navigation à destination des marins ; on y traite essentiellement de la méthode des distances lunaires; les rôles des astronomes l'abbé LACAILLE, du Chevalier de BORDA, de Pierre-Charles LE MONNIER, et du père jésuite Esprit PEZENAS sont particulièrement mis en lumière. Enfin, la quatrième partie porte de manière plus internaliste au développement post-newtonien de la théorie des mouvements de la Lune, et en particulier aux travaux du mathématicien Alexis-Claude CLAIRAUT dont on ne savait pas qu'il avait réclamé sa part du prix britannique des longitudes en 1765 et que les astronomes français avaient opté, au moins sur la période 1760-1780, pour ses tables de la Lune et non celles de Tobias MAYER, récompensées par les anglais. Chaque partie apporte donc des éléments nouveaux décisifs et originaux qui déplacent l'historiographie de la quête des longitudes en mer à l'époque du développement de la navigation savante

    Diffusion et mutation des méthodes de l’astronomie nautique, 1749-1905: Accompagné du mémoire d’habilitation,« Une école pratique d’astronomie au service des marins et des explorateurs : l’observatoire de la Marine et du Bureau des longitudes au parc Montsouris, 1875-1914 »

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    Le volume 2 a été édité en 2010 sous le titre : "L'observatoire de la Marine et du Bureau des longitudes au parc Montsouris, 1785-1914", Paris, Edite/IMCCECe dossier scientifique se résume dans un premier temps, à tenter l’aventure d’une histoire totale sur quelques 160 années de développement d’une navigation astronomique et chronométrique de haut niveau, de 1749 à 1905 environ, envisagée sous les angles les plus variés et complémentaires, avec l’ambition de réécrire quelques grandes pages de l’histoire de l’astronomie et de l’histoire de la navigation, au cours des XVIIIe et XIXe siècles. Ainsi, il y est question du développement et de la diffusion des méthodes de navigation astronomiques et chronométriques par les astronomes et les marins eux-mêmes ; des développements de la mécanique céleste lunaire (théories et tables des mouvements de la Lune) pour la diffusion de la méthode si délicate des distances lunaires et les besoins de la navigation ; de la conception et de la diffusion des tables astronomiques et nautiques jusqu’au début du XXe siècle (histoire des éphémérides de la Connaissance des temps) qui conduisent à s'intéresser au statut et aux conditions de travail des calculateurs en astronomie, aux conditions d'impression et de diffusion de ce genre d'ouvrage ; de l’étude de l’évolution des écoles d’hydrographie et des écoles navales jusqu’à la création des écoles nationales de la Marine marchande au cours du XXe siècle ; et enfin, de l’histoire des observatoires astronomiques de la Marine en France, histoire presque oubliée des historiens qu’Olivier Sauzereau et moi-même, au sein du Groupe d’histoire de l’astronomie du Centre François Viète (GHA CFV), contribuons à faire revivre sous des angles différents et néanmoins complémentaires, avec l'ambition de passer aux études sur le plan international dans un avenir très proche

    De quelle précision a-t-on réellement besoin en mer ?

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    Au cours des xviiie et xixe siècles, les méthodes de l'astronomie nautique évoluent nettement, offrant aux navigateurs deux méthodes complémentaires de détermination des longitudes en mer, les distances lunaires et les méthodes horlogères. à la méthode graphique développée par l'abbé Nicolas-Louis de Lacaille en 1759, qui permet aux marins d'atteindre rapidement un degré de précision raisonnable sur les longitudes, répond une méthode mathématique plus ambitieuse, développée par le Chevalier de Borda pour les élites, et qui conduit à une plus grande exactitude des calculs. Un siècle plus tard, l'officier Ernest Mouchez et l'astronome Antoine Yvon-Villarceau s'opposent en des termes semblables sur les mathématiques mises en œuvre dans les méthodes employées pour le contrôle de la dérive thermique des chronomètres de marine. Cette étude aborde sous un nouvel angle, les questions de la transmission des savoirs et des pratiques, de la formation professionnelle, celle des cadres navigants de la marine militaire, celle des officiers et pilotes de la marine marchande. On tente ainsi de démontrer comment il est possible d'envisager d'un seul et même élan, l'histoire de quelque cent cinquante années de navigation astronomique savante, entre les années 1750 et la fin du xixe siècle.During the 18th and 19th centuries, the methods and the instruments of nautical astronomy evolved clearly, offering to seafarers two complementary sets of methods for the detetmination of the longitudes at sea: the lunar distances and methods using timekeepers. When abbot Nicolas-Louis de Lacaille developed a graphic method in 1759, which allowed the seafarers to reach quickly one degree of reasonable precision on the longitudes, a few years later, the Chevalier de Borda answered with a more ambitious mathematical method, developed for the elites, which led to a higher accuracy of the computations. One century later, the officer Ernest Mouchez and the astronomer Antoine Yvon-Villarceau opposed in similar terms on the degree of the mathematics implemented in the methods employed for the control of the thermal drift of the timekeepers. Thus, it is possible to consider in a same run up, the history of some hundred fifty years of high astronomical navigation, between the 1750s and the end of the 19th century. This study also approaches a new view, the questions of the dissemination of the knowledges, and of the vocational training of both the naval officers and the captains and pilots of the merchant marine
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