36 research outputs found

    Effectiveness of two cognitive training programs on the performance of older drivers with a cognitive self-assessment bias

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    Purpose: Depending on the calibration of their cognitive abilities, some older drivers (ODs) might stop driving prematurely (under-estimators, UEs) and others could expose themselves to risky situations (over-estimators, OEs). The aim of the study was to compare the effectiveness of two cognitive training (CT) programs intended for ODs presenting a cognitive calibration bias. We hypothesized that CT with feedback on performance can help ODs to correctly calibrate their abilities and consequently adapt their driving behavior.Method: One hundred and six ODs (≥70 years) were assigned to two CT groups (with or without a driving simulator experience, DS). These interventions lasted about 36 h and were distributed over a 3-month period. ODs completed objective and subjective cognitive evaluations and an on-road driving evaluation before and after training.Results: The first results on 67 participants (40 from the CT group, and 27 from the CT + DS group) showed an improvement of their visual processing speed, their divided attention and their selective attention after training. Participants from both groups also had an improved TRIP tactical sub-score (Test Ride for Investigating Practical fitness to drive), indicating a better driving behavioral adaptation. Finally, although both training programs seemed to be equally effective in correcting cognitive calibration bias, the results indicated that 21 UEs and 10 OEs were well calibrated and thus correctly self-assessed their cognitive abilities after training.Conclusion: Both CT programs (with or without DS experience) seem to improve the visual attention of ODs. UEs appeared to be more susceptible than OEs to this training and were better calibrated after it. Document type: Articl

    Apports conjoints de l’ergonome et de l’ergothérapeute pour la conception d’aides techniques

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    L’objectif de cet article est de démontrer l’intérêt d’une conception centrée sur les restrictions physiques et cognitives des utilisateurs d’aides techniques. Également, la plus-value d’une recherche effectuée par un binôme de recherche ergonome-ergothérapeute sera exposée. À partir de situations réellement vécues dans le cadre de notre étude, les bénéfices de cette démarche seront exposés ainsi que la nécessité d’adaptation que celle-ci impose par rapport à un mode de conception « classique ». En effet, donner de la voix aux personnes en situation de handicap à la fois sur les éléments constitutifs de l’interface et sur les directions que doit prendre le développement nécessite de s’adapter à leur rythme, à leur environnement et à leur grand niveau de fatigabilité.The objective of this article is to demonstrate the potential of design focused on the physical and cognitive restrictions of those who use technical aids. The advantages of research conducted by an ergonomist and an occupational therapist will be described. Using real-life situations as a starting point, we outline the benefits of this approach, as well as the need for adaptation that it imposes compared to a "classic" design mode. Indeed, giving voice to people with disabilities on both the elements of the interface but also on the directions that must take development, requires that we adjust to their rhythms, their environments and their great level of fatigability.El objetivo del articule es de demonstrar los interés de un concepción centrada en la restricciones físicas et cognitivas de los utilizadores de los ayudas técnicas. Igualmente, el valor agregado de una búsqueda efectuada por un binomio de investigación “ergnono-ergoterapeuta” será presentado. A partir de situaciones realmente vividas en el cuadro de nuestro estudio, los beneficios de ese enfoque serán esposados también así como la necesidad de adaptación que ella impone en comparación a une modo de concepción más “clásico”. En efecto, dar de la voz a las personas en situación de discapacidad à la vez sobre les elementos constitutivos de la interfaz pero también sobre la direcciones que debe tomar el desarrollo, necesidad de adaptarse a su ritmo, al medio ambiente et al gran nivel de cansancio

    EFFETS RESIDUELS DES HYPNOTIQUES SUR LA CONDUITE AUTOMOBILE EN SITUATION SIMULEE

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    LE BUT ESSENTIEL DE CE TRAVAIL DOCTORAL ETAIT D'EVALUER LES EFFETS RESIDUELS DE TROIS HYPNOTIQUES, ZOLPIDEM, ZOPICLONE ET FLUNITRAZEPAM APRES UNE PRISE NOCTURNE UNIQUE, SUR LA CONDUITE AUTOMOBILE SIMULEE ET SUR LA MOTRICITE OCULAIRE. LES EFFETS DE CES TROIS HYPNOTIQUES SUR L'ACTIVITE MOTRICE NOCTURNE DE LA NUIT SOUS MEDICAMENT ET DES DEUX NUITS QUI SUIVENT LA PRISE UNIQUE ONT EGALEMENT ETE EVALUES. L'ACTIMETRIE, A MONTRE QUE ZOPICLONE ET FLUNITRAZEPAM MODIFIENT L'ACTIVITE MOTRICE NOCTURNE DE L'ENSEMBLE DE LA NUIT TANDIS QUE ZOLPIDEM NE LA PERTURBE QU'EN PREMIERE MOITIE DE NUIT. AU COURS DES NUITS DE RECUPERATION, DES EFFETS REBOND SE PRODUISENT LA PREMIERE NUIT APRES LA PRISE DE ZOLPIDEM ET LA SECONDE APRES CELLE DE ZOPICLONE. FLUNITRAZEPAM N'A PAS D'EFFETS REBOND AU COURS DES DEUX NUITS QUI SUIVENT LA PRISE MAIS CEUX-CI SONT PEUT ETRE PLUS TARDIFS. L'INTERPRETATION DES RESULTATS PAR RAPPORT AUX DONNEES DE LA POLYSOMNOGRAPHIE A REVELEE QUE L'ACTIMETRIE SERAIT UNE TECHNIQUE PLUS SENSIBLE QUE LA POLYSOMNOGRAPHIE POUR L'EVALUATION DE LA DIMINUTION DU SOMMEIL LEGER ET DE LA VEILLE INTRA-SOMMEIL APRES LA PRISE D'HYPNOTIQUES. SUR LA CONDUITE AUTOMOBILE, ZOPICLONE ET FLUNITRAZEPAM ONT DES EFFETS RESIDUELS EN DEBUT DE MATINEE QUI SE TRADUISENT PAR UNE AUGMENTATION DES ECARTS LATERAUX DU VEHICULE REVELANT UNE INCAPACITE A MAINTENIR LE VEHICULE SUR LA ROUTE. DES EFFETS RESIDUELS ONT ETE OBSERVES SUR DIFFERENTS PARAMETRES DES SACCADES ET DES ANTISACCADES, PERMETTANT D'AFFINER LA COMPREHENSION DES MECANISMES D'ACTION DE CES SUBSTANCES. LES EFFETS RESIDUELS DE FLUNITRAZEPAM SONT PROBABLEMENT SECONDAIRES A UNE DIMINUTION DE LA VIGILANCE. A L'INVERSE, ZOPICLONE ET ZOLPIDEM ONT DES EFFETS RESIDUELS SPECIFIQUES PROBABLEMENT INDEPENDANTS D'UNE DIMINUTION DE LA VIGILANCE : DEFICITS DU DESENGAGEMENT DE L'ATTENTION SPATIALE POUR ZOPICLONE ET/OU DE LA MEMOIRE ET DES MECANISMES DE REPROGRAMMATION VISUO-SPATIALE POUR ZOPICLONE ET ZOLPIDEM. LES EFFETS RESIDUELS SUR LA CONDUITE AUTOMOBILE ET LA MOTRICITE OCULAIRE SONT PROBABLEMENT SECONDAIRES A DES MODIFICATIONS DU SOMMEIL INDUITES PAR LES HYPNOTIQUES PLUTOT QU'UNE CONSEQUENCE DIRECTE DE L'ACTION DE CES MOLECULES. LES RESULTATS OBTENUS PEUVENT PROBABLEMENT ETRE EXTRAPOLES A UNE SITUATION DE CONDUITE REELLE.ORSAY-PARIS 11-BU Sciences (914712101) / SudocSudocFranceF

    Quels sont les impacts positifs et négatifs des nouvelles technologies sur notre sommeil ?

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    L’emploi des nouvelles technologies est croissant et particulièrement au cours de la dernière décennie. Nous utilisons notamment nos smartphones quotidiennement. Parmi les domaines de santé publique au cœur des préoccupations, le sommeil est concerné par ces nouvelles technologies. En effet, l’utilisation des smartphones au moment du coucher peut perturber le sommeil, comme l’ont montré de nombreuses études évaluant les effets de l’utilisation des téléphones mobiles sur le sommeil des enfants et adolescents (1–5). Ces effets restent toutefois à évaluer chez l’adulte car peu d’études se sont intéressées à cette tranche de la population. L’étude d’Exelmans et Van den Bulck (2016) traite de ce sujet et est commentée dans cette note. D’un autre côté, les nouvelles technologies et les smartphones peuvent également jouer un rôle bénéfique sur notre sommeil. Notamment, des applications ludiques de smartphones nous sont proposées afin de permettre de suivre l’évolution du sommeil, même si leur fiabilité reste encore mal évaluée à ce jour. La publication de Bhat et al. (2015) évalue de façon pertinente la fiabilité d’une application iPhone très populaire, appelée Sleep Time. Enfin, des applications développées en collaboration avec des cliniciens pourraient également être utilisées comme des outils de diagnostic médical et/ou de suivi dans le cadre des pathologies du sommeil ; cela est par exemple décrit et testé dans la publication d’Isetta et al. (2015)

    Residual effects of hypnotic drugs in aging drivers submitted to simulated accident scenarios: an exploratory study

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    Rationale: The effects of hypnotic drugs on driving performance are most often evaluated on young healthy subjects by using a monotonous motorway driving test. The effects of drugs in urban driving situations have not yet been evaluated in any age group. Our objectives were to assess residual effects of the most prescribed hypnotics, zolpidem and zopiclone, on older middle-age drivers' capacities in an urban situation. Materials and methods: Sixteen healthy subjects aged 55 to 65 years underwent this double-blind, balanced, cross-over study. Zopiclone (7.5 mg), zolpidem (10 mg), and flunitrazepam (1 mg; used as positive control) or a placebo were administered at each subject's home at 11:00 pm under the supervision of an investigator. The next morning, the subjects had to drive in a simulated urban environment where accident scenarios were introduced. Accident scenarios were implemented using data from real accident cases. Results: Hypnotics did not significantly increase the number of collisions. However, significantly higher speeds were found with zopiclone and flunitrazepam; moreover, zolpidem and zopiclone induced modifications of the lateral position of the car on the road. Conclusions: This study did not reveal any major residual effects of the hypnotics studied on driving performance in aging drivers. However, the urban driving situations used here for the first time in the evaluation of drugs revealed some modifications in driving habits which could lead to risky behavior. It thus appears that urban driving simulations are useful for gaining knowledge about the effects of drugs on driving behavior. Simulation - Urban scenarios - Aging drivers - Hypnotic drugs - Residual effect

    Efficacité d'un programme d'entraînement cognitif sur les habitudes de conduite et la qualité de vie des conducteurs seniors n'estimant pas correctement leurs capacités cognitives

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    Colloque Risques Routiers et Transports Durables, Angers, FRANCE, 08-/01/2015 - 09/01/2015Avec le vieillissement de la population, préserver l'autonomie et la mobilité des seniors dans des conditions sûres est un enjeu de santé publique. Les besoins en termes de formation à la conduite automobile sont différents selon l'état cognitif des séniors et la façon dont ils régulent leur conduite. Beaucoup de conducteurs séniors (CS) ont une conscience erronée de leurs capacités cognitives les empêchant de mettre au point des stratégies compensatoires conscientes venant pallier leurs difficultés. Dans notre étude nous distinguons les sur-estimateurs (SE) qui présenteraient un risque éleÎ d'accident, et les sous-estimateurs (SsE) qui pourraient cesser de conduire prématurément. En effet, l'autorégulation permettrait de maintenir une conduite sûre malgré le déclin cognitif lié un vieillissement. L'hypothèse de ce travail est que l'entrainement cognitif peut améliorer l'auto-estimation des capacités cognitives qui pourrait permettre de mieux réguler les comportements de conduite. L'objectif est de comparer l'efficacité, en termes de modification des habitudes de conduite et d'impact sur la qualité de vie, d'un entraînement cognitif pur à un entraînement cognitif couplé à une immersion sur simulateur. Cent participants âgés d'au moins 70 ans sont également répartis en deux groupes, équitablement répartis entre SE et SsE (réalisant un entraînement cognitif couplé ou non à une immersion sur simulateur) et un groupe contrôle (20 SE). L'entraînement, 36 heures de sollicitation réparties sur trois mois, est accompagné de feedbacks qui favorisent la conscience de ses propres capacités. Les bénéfices sont évalués au moyen de questionnaires, et le transfert des bénéfices est estimé au travers d'évaluations de conduite, sur simulateur et sur route, réalisés avant et après l'entraînement.Les résultats à venir permettront de statuer sur une efficacité du programme d'entraînement en termes d'autorégulation, ainsi que sur le transfert de bénéfices en conduite, notamment au travers de l'immersion sur simulateur

    L'entraînement cognitif permet-il d'accroître la sécurité des conducteurs de 70 ans et plus ?

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    5ème Colloque International du REIACTIS : Vieillissement et pouvoirs d'agir. Entre ressources et vulnérabilités, LAUSANNE, SUISSE, 10-/02/2016 - 12/02/2016L'efficacité d'un programme d'entraînement cognitif informatisé, associé ou non à une immersion sur simulateur de conduite, sur les performances cognitives et de conduite, sur la calibration des capacités cognitives et sur le bien-être des conducteurs âgés de 70 ans et plus a été exploré dans le cadre de la thèse de Marion Hay. L'objectif principal a été d'explorer, auprès de conducteurs présentant un biais d'auto-estimation cognitive, les effets de l'entrainement cognitif sur : les performances cognitives, la calibration cognitive (alignement entre les évaluations subjectives et objectives de ses propres habiletés cognitives), les performances de conduite (en explorant si une immersion sur simulateur améliore le transfert des compétences sur route), la satisfaction de vie et le bien-être. Cette présentation détaille les principaux résultats obtenus. De nouvelles pistes de recherche sont suggérées afin de de personnaliser les interventions selon les biais de calibration afin d'améliorer leur efficacité et ainsi promouvoir une conduite automobile sécuritaire

    Efficacité d'un programme d'entraînement cognitif sur les habitudes de conduite et la qualité de vie des conducteurs seniors n'estimant pas correctement leurs capacités cognitives

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    Colloque Risques Routiers et Transports Durables, Angers, FRANCE, 08-/01/2015 - 09/01/2015Avec le vieillissement de la population, préserver l'autonomie et la mobilité des seniors dans des conditions sûres est un enjeu de santé publique. Les besoins en termes de formation à la conduite automobile sont différents selon l'état cognitif des séniors et la façon dont ils régulent leur conduite. Beaucoup de conducteurs séniors (CS) ont une conscience erronée de leurs capacités cognitives les empêchant de mettre au point des stratégies compensatoires conscientes venant pallier leurs difficultés. Dans notre étude nous distinguons les sur-estimateurs (SE) qui présenteraient un risque éleÎ d'accident, et les sous-estimateurs (SsE) qui pourraient cesser de conduire prématurément. En effet, l'autorégulation permettrait de maintenir une conduite sûre malgré le déclin cognitif lié un vieillissement. L'hypothèse de ce travail est que l'entrainement cognitif peut améliorer l'auto-estimation des capacités cognitives qui pourrait permettre de mieux réguler les comportements de conduite. L'objectif est de comparer l'efficacité, en termes de modification des habitudes de conduite et d'impact sur la qualité de vie, d'un entraînement cognitif pur à un entraînement cognitif couplé à une immersion sur simulateur. Cent participants âgés d'au moins 70 ans sont également répartis en deux groupes, équitablement répartis entre SE et SsE (réalisant un entraînement cognitif couplé ou non à une immersion sur simulateur) et un groupe contrôle (20 SE). L'entraînement, 36 heures de sollicitation réparties sur trois mois, est accompagné de feedbacks qui favorisent la conscience de ses propres capacités. Les bénéfices sont évalués au moyen de questionnaires, et le transfert des bénéfices est estimé au travers d'évaluations de conduite, sur simulateur et sur route, réalisés avant et après l'entraînement.Les résultats à venir permettront de statuer sur une efficacité du programme d'entraînement en termes d'autorégulation, ainsi que sur le transfert de bénéfices en conduite, notamment au travers de l'immersion sur simulateur

    L'entraînement cognitif permet-il d'accroître la sécurité des conducteurs de 70 ans et plus ?

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    5ème Colloque International du REIACTIS : Vieillissement et pouvoirs d'agir. Entre ressources et vulnérabilités, LAUSANNE, SUISSE, 10-/02/2016 - 12/02/2016L'efficacité d'un programme d'entraînement cognitif informatisé, associé ou non à une immersion sur simulateur de conduite, sur les performances cognitives et de conduite, sur la calibration des capacités cognitives et sur le bien-être des conducteurs âgés de 70 ans et plus a été exploré dans le cadre de la thèse de Marion Hay. L'objectif principal a été d'explorer, auprès de conducteurs présentant un biais d'auto-estimation cognitive, les effets de l'entrainement cognitif sur : les performances cognitives, la calibration cognitive (alignement entre les évaluations subjectives et objectives de ses propres habiletés cognitives), les performances de conduite (en explorant si une immersion sur simulateur améliore le transfert des compétences sur route), la satisfaction de vie et le bien-être. Cette présentation détaille les principaux résultats obtenus. De nouvelles pistes de recherche sont suggérées afin de de personnaliser les interventions selon les biais de calibration afin d'améliorer leur efficacité et ainsi promouvoir une conduite automobile sécuritaire

    Primary insomnia patients' performances during simulated car following and urban driving in the afternoon

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    According to epidemiological studies, insomnia is associated with an increase in risk of traffic accidents. Recent investigations revealed that patients with insomnia had driving performance impairment under monotonous conditions. However, it is unclear whether other driving abilities may be impacted by insomnia, especially those needing more attentional resources than those involved in monotonous driving. Other findings revealed that impaired performances are more likely to occur with the increase of cognitive demands. However, such tests did not reflect difficulties in situations of everyday life expressed by patients with insomnia, such as driving in an urban environment with traffic and critical situations. Therefore, behaviour in situations encountered in everyday life has to be explored. The aim of the present study was to assess driving performances of patients with insomnia in daily routine tasks such as urban and carfollowing tests. For this purpose, 15 patients with insomnia and 16 good sleepers performed an urban test of driving with original risk scenarios and a carfollowing test during the middle afternoon. No significant behavioural difference between patients with insomnia and good sleepers has been found in both the urban test and the carfollowing test, showing that patients with insomnia have no impairment in behaviour implicated in daily contexts driving tasks of short period of time performed in the late afternoon. Although our results provide a first step towards knowledge of behavioural performance during daily routine driving tasks in patients with insomnia, future studies are needed using ontheroad driving tests and/or different population of patients with insomnia before generalisation
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