345 research outputs found

    The localization sequence for the algebraic K-theory of topological K-theory

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    We prove a conjecture of Rognes by establishing a localization cofiber sequence of spectra, K(Z) to K(ku) to K(KU) to Sigma K(Z), for the algebraic K-theory of topological K-theory. We deduce the existence of this sequence as a consequence of a devissage theorem identifying the K-theory of the Waldhausen category of Postnikov towers of modules over a connective A-infinity ring spectrum R with the Quillen K-theory of the abelian category of finitely generated pi_0(R)-modules.Comment: Updated final version. Small change in definition of S' construction and correction to the proof of 2.

    Algebraic K-theory of the first Morava K-theory

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    We compute the algebraic K-theory modulo p and v_1 of the S-algebra ell/p = k(1), using topological cyclic homology.Comment: Revised version, to appear in J. Eur. Math. Soc. (JEMS

    Quand Vassilis Alexakis tricote le moi translingue

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    Le français a d'abord été la langue de choix de Vassilis Alexakis. Mais dès la publication de Tαλγό (1980), son premier roman composé d'abord en grec, sa langue maternelle, l'écriture de chacun de ses textes a été soumise au dilemme du choix de la langue. En réaction aux réserves, rares mais bouleversantes, suscitées en France par sa pratique littéraire translingue, Alexakis a décidé d'écrire, en français, un texte autobiographique intitulé Paris-Athènes (1989). Afin d'entrelacer l'histoire de l'écriture du texte et le récit rétrospectif de sa singulière trajectoire littéraire, Alexakis a dû dépasser la "diglossie littéraire" - le grec étant la langue de la mémoire et le français celle, ludique, du présent - qui caractérisait jusque-là ses écrits. La réussite de son "explication avec la langue française" a été déterminante pour la suite de son parcours d'écrivain. Elle témoigne également du rôle central de l'autobiographie dans le phénomène du translinguisme littéraire

    Et l’autotraduction dans l’écriture de soi ? Remarques à partir de Quant à je (kantaje) de Katalin Molnár

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    La francophonie translingue s’est largement construite à coup de textes autobiographiques. Traduits du français ou vers le français par des auteurs comme comme Nancy Huston, Vassilis Alexakis ou Georges-Arthur Goldschmidt, certains de ces textes existent en deux langues. D’autres textes autobiographiques d’auteurs non-natifs n’existent qu’en français mais contiennent des passages autotraduits. C’est le cas de Quant à je (kantaje) (1995) de l’autoproclamée « écrivain français de souche hongroise » Katalin Molnár. Comme nous l’apprend la longue note explicative finale de ce livre singulier, le dire de soi y prend la forme particulière d’un agrégat de textes dont certains sont des autotraductions d’extraits écrits par Molnár dans d’autres langues que le français. Si l’autobiographie littéraire vise aussi à démontrer comment s’est imposé le métier d’écrire, ce procédé permet à Molnár de donner à lire qui elle est comme écrivain malgré l’absence de traduction de ses textes hongrois en français. Il rend aussi manifeste le fait que les archives d’une vie existent en langues et contribue à marquer la rupture énonciative propre à la pratique de l’écriture de soi

    En d'autres mots : écriture translingue et autobiographie

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    Dans ce chapitre, je propose une exploration de l'écriture translingue de soi dans la littérature contemporaine en français

    Integral cohomology and chern classes of the special linear group over the ring of integers

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    This paper is devoted to the complete calculation of the additive structure of the 2-torsion of the integral cohomology of the innite special linear group SL(Z) over the ring of integers Z. This enables us to determine the best upper bound for the order of the Chern classes of all integral and rational representations of discrete groups.</p

    La langue qui s'impose

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