130 research outputs found

    The Panthera gombaszogensis story: the contribution of the Château Breccia (Saône-et-Loire, Burgundy, France)

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    International audienceAt present, numerous sites from Europe and Asia have yielded up remains of Panthera gombaszogensis. It is without doubt the one felid most similar to Panthera onca but it is an ancestor, not the present day jaguar. Palaeogenetics estimates the divergence between the lion and the jaguar to 2 Myrs. Obviously, jaguars originate from Africa and they spread in Europe between 1.95 et 1.77 Myrs during the time of Olduvai polarity subchron. Recently Hemmer et al. (2010) demonstrated that the semi-mandible of dmanissi (Georgia) corresponds with a new taxon Panthera onca georgica ssp. nov., the earliest known Asian member of the species. This taxon spread out through Asia and got to North America during a glacial period between 0.99 and 0.78 Myrs (between the Jaramillo polarity subchron and the end of the Matuyama magnetochron), and finally reached South America not before the Rancho-labrean. The Château Breccia (Saône-et-Loire, france) has given an abundant paleontological material of Panthera gombaszogensis (about 400 remains, with a minimum of 6 individuals). It is the mid Middle Pleistocene European form. The pollen analysis indicates temperate climatic conditions but cooler than today and sometimes even quite cold. The landscape was open with grasses spread over the uplands, while woodlands of pine and fir, but also some broadleaved trees were found in the valley. The Château Breccia largely contributes to the story of Panthera gombaszogensis. It demonstrates that the species was at least adapted to a cold temperate climate and to a biotope highly different from that of the today's jaguar. It shows also the replacement of Panthera gombaszogensis by Panthera spelaea fossilis about 0.6 Myrs ago, after a period of coexistence of these two felids. RÉSUMÉ L'HISTOIRE dE PANTHERA GOMBASZOGENSIS : CONTRIBuTION dE LA BRèCHE dE CHÂTEAu (SAôNE-ET-LOIRE, BOuRGOGNE, fRANCE) de nombreux sites d'Europe et d'Asie ont livré des restes de Panthera gombaszogensis. C'est sans doute le félidé le plus proche de Panthera onca, mais il s'agit d'un ancêtre, distinct du jaguar actuel. La divergence entre le lion et le jaguar est estimée par la paléogénétique à 2 Ma. Les jaguars sont clairement originaires d'Afrique et se sont répandus en Europe entre 1,95 et 1,77 Ma, pendant le subchron Oldowai. Récemment, Hemmer et al. (2010) ont prouvé que l'hémi-mandibule de dmanissi (Géorgie) correspond à un nouveau taxon Panthera onca georgica ssp. nov., le premier membre de cette espèce connu en Asie, à l'origine de la dispersion dans tout ce continent, puis du passage en Amérique du nord pendant une période glaciaire entre 0,99 et 0,78 Ma (entre le subchron Jaramillo et la fin du magnétochron Matuyama), sans atteindre l'Amérique du sud avant le Rancholabréen. La Brèche de Château (Saône-et-Loire, france) a livré un abondant matériel paléontologique de Panthera gombaszogensis (environ 400 restes, minimum de 6 individus). C'est la forme européenne du Pléistocène moyen médian. L'analyse pollinique indique des conditions climatiques tempérées mais plus fraîches qu'aujourd'hui et parfois même froides. Le paysage était ouvert avec des herbacées sur les hauteurs, tandis qu'un boisement de pins et sapins, mais aussi de quelques feuillus, occupait la vallée. La Brèche de Château contribue largement à l'histoire de Panthera gombaszogensis. Elle apporte la preuve de l'adaptabilité de l'espèce à un climat tempéré froid et son adaptation à un biotope bien différent de la ripisylve de grands cours d'eau qu'on connaît pour le jaguar actuel. Le gisement enregistre également le remplacement, vers 0.6 Ma, de Panthera gombaszogensis par Panthera spelaea fossilis, après une période de coexistence de ces deux grands félins. Mots-clés : félidés, Panthera gombaszogensis, Pléistocène, Brèche de Château, paléoenvironnement. PREFACE In relation to spelling, we will respect J. Wagner's clarification (this volume) recommending Panthera gombaszogensis

    CARNIVORES PLEISTOCENES EN MÂCONNAIS. EXCuRSION du 16e SYMPOSIUM INTERNATIONAL DE L’OuRS ETDU LION DES CAVERNES (Azé, 2011)

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    International audienceThe excursion day of the 16th ICBLS provided participants with the opportunity to visit three major palaeontological sites of the Mâconnais: the Azé and Blanot Caves, and the Breccia site of Château, especially rich in big Carnivores, mainly ursids and felids

    Hommage

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    Aujourd’hui que les sciences de la Terre sont devenues des compagnes fidèles de l’archéologie, il est bon de saluer la mémoire des aînés qui ont œuvré pour le dialogue entre les disciplines. Danielle Santallier a été, durant vingt ans, une artisane modeste mais marquante de la pétrographie appliquée à la Préhistoire. Le parcours scientifique de D. Santallier débute dans son Limousin natal, où, comme nombre d’étudiants de sa génération, elle finance ses études grâce aux vacations du Bureau des..

    Marcel Jeannet (1935-2017)

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    (Photo J.-Ph. Brugal, avril 2014) Quelques Témoignages et éléments biographiques Marcel Jeannet faisait partie de ces chercheurs qui ont défriché la Paléontologie du Quaternaire en France ; spécialiste des micromammifères, il a permis aux études ultérieures d’émerger. Pour donner une idée de l’importance accordée dans les années 1960-1970 à l’étude des faunes quaternaires, je ferai référence à mon histoire personnelle : le Professeur Jean Piveteau, mon Directeur de thèse, m’avait demandé de t..

    L’architecture et les occupations du Bronze final 1 et du Bronze final 2b du site du Gournier, secteur de Fortuneau, à Montélimar (Drôme)

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    International audienceThe rescue excavation of the site of Fortuneau, though still in progress, has provided an opportunity to apply precise excavation and sedimentary analysis methods to large surfaces of a habitat occupied two times during the Final Bronze Age. This double methodology compensates for the limits imposed by the instability of anthropogenic structures and post-depositional processes. The chronological distinction is based on stratigraphic data, pottery reference assemblages and radiocarbon dates. In BF1 and BF2b, we find architectural structures with supporting posts, which are still poorly known in the south-east. These constructions are associated with various anthropogenic sedimentary forms that suggest the possibility of horticultural practices nearby. An isolated building found in the Final Bronze Age 1 corresponds well to similar finds in the Prealps. The cultural components of the pottery assemblage correlates, with a few differences in two excavation zones, with the Rhône Basin, and more broadly, the Rhône-Saône-Jura zone, as well as the Midi and Alps zones. At the scale of the vast site of Gournier, different scattered installations that could correspond to a series of farms were discovered. In the Final Bronze Age 2, a town expanded to cover a large surface, though its true extension remains unknown. Its organization corresponds to that often observed in the Rhône Bronze Age. In particular, we find the coexistence of several architectural ensembles composed of a habitation building associated with one or two possible agricultural buildings. A series of granaries on posts is concentrated at the junction between a sector in which we observe rather isolated and close architectural groups and a sector in which the spaces between buildings clearly tend to become smaller. This configuration corresponds to the evolutionary scheme of land habitats in the north-east Alpine zone during the Final Bronze Age, with a trend toward the grouping together of houses and the concentrationdensification of the town, but whose extension toward the Midi is a new element that raises new questions. This phenomenon, which concerned the Jurassian zone of the eastern Rhine-Switzerland-France culture, contradicts the hypothesis of a Rhône and Languedoc cultural group whose limits would be suggested by the recurrent presence of numerous pottery types. It would thus appear that these architectural choices were related to symbolic – and political ? – constraints with a greater geographic extension, rather than to cultural expression. The future necessary development of research on the Bronze Age in southern France will allow us to test this hypothesis.L’opération de sauvetage du site de Fortuneau, bien qu’inaboutie, a été l’occasion d’appliquer sur de grandes surfaces de terrasse alluviale des méthodes de fouille fine et de caractérisation sédimentaire d’un habitat occupé à deux reprises au Bronze final. Cette double méthodologie permet de compenser les limites imposées par la labilité des structures d’origine anthropique, comme par les phénomènes postdépositionnels. La distinction chronologique repose sur des données stratigraphiques, sur des séries céramiques de référence et sur des datations radiocarbone. Au Bronze final 1 comme au Bronze final 2b, nous avons affaire à des architectures à poteaux porteurs, encore très mal connues dans le Sud-Est. Ces constructions sont associées à différentes formes sédimentaires d’origine anthropique qui évoquent la possibilité d’une pratique horticole de proximité. Au Bronze final 1, un bâtiment isolé trouve d’excellents parallèles dans les Préalpes. Les composantes culturelles du corpus céramique renvoient, avec quelques nuances suivant deux zones de fouille, au Bassin rhodanien, et plus largement à la zone Rhône-Saône-Jura, ainsi qu’au Midi et aux Alpes. À l’échelle du vaste site du Gournier, différentes implantations ont été découvertes en un semis discontinu pouvant correspondre à une série de fermes. Au Bronze final 2b, une agglomération se développe sur une surface importante, mais d’extension réelle inconnue. Son organisation suit des constantes souvent observées pour l’âge du Bronze rhodanien, notamment la coexistence de plusieurs ensembles architecturaux composés d’un bâtiment d’habitation associé à une ou deux structures à vocation agricole possible. Une série de greniers sur poteaux se concentre à la jonction entre un secteur où l’on observe des groupes architecturaux plutôt isolés, enclos, et un secteur où les espaces interédifices tendent nettement à se réduire. Cette configuration est conforme au schéma d’évolution de l’habitat terrestre nord-ouest alpin au long du Bronze final, avec une tendance au regroupement des maisons et à la concentration-densification de l’agglomération, mais dont l’extension vers le Midi est une nouveauté qui ouvre sur quelques interrogations. Ce phénomène, qui concerne la zone jurassienne de la culture Rhin-Suisse-France orientale, entre en contradiction avec l’hypothèse d’un groupe culturel rhodanien et languedocien dont les contours sont suggérés par la présence récurrente de nombreux types céramiques. Il faudrait alors admettre que les choix architecturaux relèvent de contraintes symboliques – et politiques ? – de portée géographique plus étendue, qui pourraient l’emporter sur l’expression culturelle, hypothèse et problématique qu’un nécessaire développement des recherches sur l’âge du Bronze du sud de la France devrait permettre de tester

    Datations et environnement des ours de la Balme Ă  Collomb (Entremont-le-Vieux, Savoie, France)

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    The Balme à Collomb cave opens at an altitude of 1700 m, at the foot of the urgonian cliff of Mont Granier, in the Chartreuse massif. A great number of bones of Ursus spelaeus has been discovered there in a vergin gallery. 14C -AMS datings and biochronolo-gy (Rabeder method) tend to indicate a population of bears belonging to the Group 3 and to place it in the isotopic stage 3 (Middle Wurm). Paleoenvironmental data are given by palynology and some microfaunal remains. They both point to climatic periods of warming, however colder than today. An attempt of correlation with the GRIP 8 180 curve allows to wonder wether there had been a single occupation during the relatively long isotopic interstadial 8, or successive reconquest of the cave by the bears at every long enough climatic warming, during a long period (24 160 to > 45200 BP).La Balme à Collomb est une grotte s'ouvrant à 1700 m d'altitude au pied de la falaise urgonienne du Mont Granier en Chartreuse. Elle a livré une grande quantité de restes d' Ursus spelaeus dans une galerie encore vierge. Les datations 14C -AMS et la biochronologie (méthode de Rabeder) indiquent une population du Groupe 3 occupant la grotte principalement au stade isotopique 3, au Wiirm moyen. Les données paléoenvironnementales de la palynologie, confirmées par un peu de microfaune traduisent une période d'amélioration climatique tempérée mais plus froide que l'actuelle. Une tentative de corrélation avec la courbe du 8 180 GRIP permet de poser la question d'une unique occupation sur la période suffisamment longue de l'interstade isotopique 8, ou d'une répétition de reconquête du milieu par les ours à chaque période d'amélioration climatique suffisante sur une très longue durée (24 160 à > 45200 BP).Argant Alain, Argant Jacqueline. Datations et environnement des ours de la Balme à Collomb (Entremont-le-Vieux, Savoie, France). In: Cahiers scientifiques du Muséum d'histoire naturelle de Lyon. Hors-série, tome 2, 2004. Actes du 9e symposium international sur l'ours des cavernes

    The Panthera gombaszogensis story: the contribution of the Château Breccia (Saône-et-Loire, Burgundy, France)

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    International audienceAt present, numerous sites from Europe and Asia have yielded up remains of Panthera gombaszogensis. It is without doubt the one felid most similar to Panthera onca but it is an ancestor, not the present day jaguar. Palaeogenetics estimates the divergence between the lion and the jaguar to 2 Myrs. Obviously, jaguars originate from Africa and they spread in Europe between 1.95 et 1.77 Myrs during the time of Olduvai polarity subchron. Recently Hemmer et al. (2010) demonstrated that the semi-mandible of dmanissi (Georgia) corresponds with a new taxon Panthera onca georgica ssp. nov., the earliest known Asian member of the species. This taxon spread out through Asia and got to North America during a glacial period between 0.99 and 0.78 Myrs (between the Jaramillo polarity subchron and the end of the Matuyama magnetochron), and finally reached South America not before the Rancho-labrean. The Château Breccia (Saône-et-Loire, france) has given an abundant paleontological material of Panthera gombaszogensis (about 400 remains, with a minimum of 6 individuals). It is the mid Middle Pleistocene European form. The pollen analysis indicates temperate climatic conditions but cooler than today and sometimes even quite cold. The landscape was open with grasses spread over the uplands, while woodlands of pine and fir, but also some broadleaved trees were found in the valley. The Château Breccia largely contributes to the story of Panthera gombaszogensis. It demonstrates that the species was at least adapted to a cold temperate climate and to a biotope highly different from that of the today's jaguar. It shows also the replacement of Panthera gombaszogensis by Panthera spelaea fossilis about 0.6 Myrs ago, after a period of coexistence of these two felids. RÉSUMÉ L'HISTOIRE dE PANTHERA GOMBASZOGENSIS : CONTRIBuTION dE LA BRèCHE dE CHÂTEAu (SAôNE-ET-LOIRE, BOuRGOGNE, fRANCE) de nombreux sites d'Europe et d'Asie ont livré des restes de Panthera gombaszogensis. C'est sans doute le félidé le plus proche de Panthera onca, mais il s'agit d'un ancêtre, distinct du jaguar actuel. La divergence entre le lion et le jaguar est estimée par la paléogénétique à 2 Ma. Les jaguars sont clairement originaires d'Afrique et se sont répandus en Europe entre 1,95 et 1,77 Ma, pendant le subchron Oldowai. Récemment, Hemmer et al. (2010) ont prouvé que l'hémi-mandibule de dmanissi (Géorgie) correspond à un nouveau taxon Panthera onca georgica ssp. nov., le premier membre de cette espèce connu en Asie, à l'origine de la dispersion dans tout ce continent, puis du passage en Amérique du nord pendant une période glaciaire entre 0,99 et 0,78 Ma (entre le subchron Jaramillo et la fin du magnétochron Matuyama), sans atteindre l'Amérique du sud avant le Rancholabréen. La Brèche de Château (Saône-et-Loire, france) a livré un abondant matériel paléontologique de Panthera gombaszogensis (environ 400 restes, minimum de 6 individus). C'est la forme européenne du Pléistocène moyen médian. L'analyse pollinique indique des conditions climatiques tempérées mais plus fraîches qu'aujourd'hui et parfois même froides. Le paysage était ouvert avec des herbacées sur les hauteurs, tandis qu'un boisement de pins et sapins, mais aussi de quelques feuillus, occupait la vallée. La Brèche de Château contribue largement à l'histoire de Panthera gombaszogensis. Elle apporte la preuve de l'adaptabilité de l'espèce à un climat tempéré froid et son adaptation à un biotope bien différent de la ripisylve de grands cours d'eau qu'on connaît pour le jaguar actuel. Le gisement enregistre également le remplacement, vers 0.6 Ma, de Panthera gombaszogensis par Panthera spelaea fossilis, après une période de coexistence de ces deux grands félins. Mots-clés : félidés, Panthera gombaszogensis, Pléistocène, Brèche de Château, paléoenvironnement. PREFACE In relation to spelling, we will respect J. Wagner's clarification (this volume) recommending Panthera gombaszogensis

    La brèche à carnivores du Pléistocène moyen de Château (Saône-et-Loire, France) 

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    À Château (Saône-et-Loire, France), en 1863, à l’occasion de l’élargissement de la route D165 fut découverte une « prodigieuse quantité d’os d’ours et de lion des cavernes » dans un réseau karstique très ancien démantelé par l’érosion puis par les travaux de carrière du 19ème siècle. A l’époque aucune étude n’a été réalisée. Nous redécouvrons le site en 1968 et pratiquons des fouilles jusqu’en 2008. L’ours (Ursus deningeri) domine largement la faune de Château, mais la particularité de ce site est l’abondance de grands félins (Panthera gombaszogensis et Panthera spelaea fossilis). Un Canidé (Canis mosbachensis) et Arvicola cantiana pour la microfaune complètent la liste de faune pour l’Ensemble Nord. L’analyse pollinique indique un milieu tempéré froid pour les deux brèches et un paysage ouvert. Jusqu’ici, aucune datation absolue n’a pu être obtenue pour cet Ensemble Nord. La biochronologie permet cependant de dater la Brèche 4, la plus ancienne, du Pléistocène moyen ancien et les Brèches 2 et 3, les plus fossilifères, du Pléistocène moyen médian. Dans l’Ensemble Sud, plus récent, trois datations U/Th indiquent le MIS 6. L’Ensemble Sud correspond à un puits à cannelures vertical. Une ouverture latérale par érosion de la pente a permis la formation d’un éboulis de type aven enregistrant la présence d’une tanière d’hyène des cavernes. A la fin du Pléistocène moyen, plusieurs effondrements ont amené des coulées boueuses fossilifères comblant les vides du karst.In 1863, at Château (Saône-et-Loire, France) a widening of part of the D165 road revealed an enormous amount of bear and lion bones in an old karstic system completely destroyed, primarily by erosion, and later by quarrying in the 19th century. No study of the bones was done at the time of this discovery. We rediscovered the site in 1968 and new excavations were carried out there until 2008. Bear remains largely dominate the Château Breccia fossil assemblage, but the singularity of this site is the abundance of big cats (Panthera gombaszogensis et Panthera spelaea fossilis). A canid (Canis mosbachensis) and Arvicola cantiana for the microfauna complete the fauna list in the Ensemble Nord. A study of the fossil pollen indicates a cold temperate environment for the two breccias and suggests an open landscape. So far, no absolute dating could be obtained for the Ensemble Nord. Only the biochronology allows us to suggest a date of the Early Middle Pleistocene age for Breccia 4, the most ancient, and Median Middle Pleistocene for Breccia 2 and 3, the most fossiliferous. In the Ensemble Sud, more recent, three U/Th datings match with MIS 6. The Ensemble Sud corresponds to a vertical “puits à cannelures”. The lateral opening of the “puits” by erosion allowed the formation of an aven type scree that reveals the presence of a hyaena den. A series of underground rockslides enabled mud flows with fossils to fill the holes at the end of the Middle Pleistocene

    Perreux-Pont de Rhins. Analyse palynologique

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    Une analyse palynologique a été tentée sur des sédiments ayant livré des macrorestes végétaux. Ils peuvent être datés du Boréal.Argant Alain, Argant Jacqueline. Perreux-Pont de Rhins. Analyse palynologique. In: Comptes rendus d'activités annuelles. Association régionale pour le développement des recherches de paléontologie et de préhistoire et des Amis du Muséum, tome 22, 1984. pp. 17-20

    La faune de la grotte de la Gueule de Loup à Bissy-la-Mâconnaise (Saône-et-Loire)

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    Une fissure du Mâconnais a fait l'objet d'une fouille de sauvetage. La faune recueillie comprend Canis lupus, Crocuta crocuta spelaea, Cervus elaphus, Equus caballus germanicus, Bison priscus. Quelques preuves attestent de la présence de l'homme. Ce matériel peut être rapporté au Wurm ancien.Argant Alain, Argant Jacqueline. La faune de la grotte de la Gueule de Loup à Bissy-la-Mâconnaise (Saône-et-Loire). In: Comptes rendus d'activités annuelles. Association régionale pour le développement des recherches de paléontologie et de préhistoire et des Amis du Muséum, tome 21, 1983. pp. 15-27
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