243 research outputs found

    Egg and meat production performances of two varieties of the local Ardennaise poultry breed: silver black and golden black

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    peer reviewedThe Ardennaise breed is emblematic of the Belgian poultry diversity. We compared two varieties of the breed, the golden black and the silver black. The comparison encompassed: (i) the morphology of adult birds, (ii) the growth, carcass characteristics and meat quality of broilers 22 weeks old, (iii) the laying rate during 52 weeks and the egg quality. Significant differences were observed in the size of mature males and females: body weight, diameter and length of the tarsus, size of the comb and wattles. The two varieties did not differ concerning the carcass and meat quality traits. The golden black has a higher laying rate and a higher yolk / albumen ratio, but lays lighter eggs. It could be interesting to complete this study by molecular markers analysis to evaluate the degree of genetic diversity between the two varieties

    Evaluation morphométrique des chevaux pur-sang Arabe en Algérie: mensurations corporelles et proposition d’équations barymétriques

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    Cette étude vise à la caractérisation morphobiométrique des chevaux de course pur-sang arabe et à l’estimation d’équations barymétriques adaptées à cette race. La caractérisation a concerné 98 chevaux, dont 44 femelles et 54 mâles, tous âgés de trois ans et plus, auprès de 77 propriétaires-éleveurs dans 3 hippodromes d’Algérie (Zemmouri, Tiaret et Caroubier). Dix-neuf mensurations étaient relevées ainsi que le poids vif (PV). Le poids moyen est de 456,2 +/- 43,0 kg, variant de 335 kg à 545 kg. La sélection des variables à inclure dans les équations barymétriques a été réalisée à l’aide de la procédure stepwise du SAS. Quatre mensurations parmi les 19 réalisées ont été retenues pour la proposition d’équations d’estimation du poids vif des chevaux : le périmètre thoracique (PT), la hauteur à la croupe (HC), la longueur de l’encolure (LE) et le tour de l’encolure (TE). Ainsi, les équations proposées pour les mâles et pour les femelles sont respectivement de : PV= 7,024*PT - 787,119 (R²=0,99); PV=6,207*PT + 0,633*HC + 0,668*TE - 0,878*LE - 746,370 (R²=0,96). Les résultats de cette étude devraient permettre aux propriétaires-éleveurs et entraineurs de suivre aisément le poids de leurs chevaux. Ce suivi est nécessaire pour adapter l’activité et l’alimentation des chevaux et favoriser leur performance en course

    Les ressources génétiques ovines en Algérie

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    Avec un cheptel avoisinant les 19 millions de têtes, l'élevage ovin occupe une place importante en Algérie. Outre sa contribution de plus de 50 % dans la production nationale de viandes rouges et de 10 à 15% dans le produit intérieur brut agricole, l’élevage ovin joue un rôle socioculturel important. Il se pratique dans toutes les zones climatiques, depuis la côte méditerranéenne jusqu'aux oasis du grand Sahara. Cette diversité pédoclimatique du plus grand pays africain offre à l’Algérie une extraordinaire diversité de races ovines, avec huit races caractérisées par une rusticité remarquable, adaptées à leurs milieux respectifs. Avec 63% du cheptel ovin total, la race Ouled Djellal, aussi appelée la race Blanche, est la plus importante race ovine algérienne. Elle est exploitée principalement pour la production de viande. La race Berbère représentant un quart du cheptel ovin national, est considérée comme la plus ancienne race algérienne. Elle est menacée par les croisements non-contrôlés avec d’autres races pour l’amélioration de son potentiel productif. La troisième race ovine très importante est la Rmbi avec 11,1% du cheptel national, considérée comme la plus lourde race ovine en Algérie avec des poids avoisinants les 90 kg chez le bélier et 60kg chez la brebis. Les races Hamra, Barbarine, D'man, Sidahou et Tazegzawt représentent ensemble moins de 1% du cheptel ovin algérien. Le déclin de ces populations illustre l’érosion dramatique que subit cette richesse exceptionnelle, appelant à la mise en place d’un plan national de gestion et de conservation des ressources génétiques

    The value chain approach in one health: Conceptual framing and focus on present applications and challenges

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    The value chain (VC) is a major operational concept for socioeconomic analysis at meso level. Widely mobilized in development practice, it is still undergoing conceptual and practical refining, e.g., to take account of environmental and social sustainability. Briefly, VC refers to a system of value creation through the full set of actors, links, technical and commercial activities and flows involved in the provision of a good or service on a market. In the past decade, this concept has been promoted in the management of animal health. In particular, the emergence of highly pathogenic avian influenza (HPAI) has triggered an interdisciplinary dynamic including VC analysis as a central tool. These efforts promoted participatory investigation methods in the analysis of health systems. Using qualitative and quantitative data, these methods acknowledge the usefulness of actors' involvement and knowledge, hence facilitating the transdisciplinarity needed for effective action. They fit into adaptive and action-oriented strategies, fostering stakeholders' participation. Recent research on HPAI surveillance in South-East Asia merged VC and participatory approaches to develop innovative tools for analyzing constraints to information flow. On-going interventions for HPAI prevention and control as well as the prevention of other emerging zoonotic risks in Africa are presently building on this VC framework to develop strategies for its application at national and regional scales. Based on the latter experiences, this article proposes a field-based perspective on VC applications to animal and public health systems, within a One Health approach responding to the overall challenge of complexity

    A Systematic Scoping Study of the Socio-Economic Impact of Rift Valley Fever: Research Gaps and Needs

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    Rift Valley fever (RVF) is a severe mosquito-borne disease affecting humans and domestic ruminants. RVF virus has been reported in most African countries, as well as in the Arabic Peninsula. This paper reviews the different types of socio-eco- nomic impact induced by RVF disease and the attempts to evaluate them. Of the 52 papers selected for this review, 13 types of socio-economic impact were identi- fied according to the sector impacted, the level and temporal scale of the impact. RVF has a dramatic impact on producers and livestock industries, affecting public and animal health, food security and the livelihood of the pastoralist communities. RVF also has an impact on international trade and other agro-industries. The risk of introducing RVF into disease-free countries via the importation of an infected animal or mosquito is real, and the consequent restriction of access to export mar- kets may induce dramatic economic consequences for national and local econo- mies. Despite the important threat of RVF, few studies have been conducted to assess the socio-economic impact of the disease. The 17 studies identified for quantitative analysis in this review relied only on partial cost analysis, with limited reference to mid- and long-term impact, public health or risk mitigation mea- sures. However, the estimated impacts were high (ranging from 5to5 to 470 mil- lion USD losses). To reduce the impact of RVF, early detection and rapid response should be implemented. Comprehensive disease impact studies are required to provide decision-makers with science-based information on the best intervention measure to implement ensuring efficient resource allocation. Through the analysis of RVF socio-economic impact, this scoping study proposes insights into the mechanisms underpinning its often-underestimated importance. This study high- lights the need for comparative socio-economic studies to help decision-makers with their choices related to RVF disease management

    L’élevage caprin dans la région montagneuse d’Ath Waghlis dans la wilaya de Bejaia: typologie et caractérisation morpho-biométrique

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    Le cheptel caprin algérien est estimé à 3,8 millions de têtes dont 2,2 millions de femelles adultes. Comptant 400000 têtes, la race caprine kabyle représente un dixième du cheptel national. Afin de caractériser cette race et son élevage dans la région d’Ath Waghlis, une enquête a été menée auprès de 69 éleveurs (dont 22 femmes) de chèvres répartis sur les communes d’Akfadou, Chemini, Souk Oufella et Tibane. Les questionnaires portaient sur le profil socio-économique du ménage et ses activités agricoles, ainsi que les données techniques se rapportant à la production de chèvres. Il a également été procédé à la caractérisation morpho-biométrique des chèvres (18 mensurations corporelles, 3 variables qualitatives). L’analyse des structures d’élevage par classification hiérarchique ascendante (CHA) a permis de retenir quatre groupes d’élevages conservant 55,7% de la variabilité totale. Les variables considérées étaient le nombre d’animaux par espèce (chèvre, bovin, ovin, lapin, poule, dinde, ruches) et le nombre d’arbres (oliviers et figuiers) détenus. Le nombre moyen de chèvres pour chaque groupe est de 7,2±2,8, 11,1±3,5, 22,3±1,4 et 3,4±1,0. Le groupe 3, démontrant les plus grands effectifs caprins, est composé de personnes âgées en moyenne de 67 ans et ne pratiquant pas l’arboriculture. Ils possèdent également les plus importants effectifs d’ovins (48,67), de lapins (50,83), de poules (48,33) et de dindes (42). Le groupe 4, qui a les effectifs caprins les plus faibles, représente le groupe des jeunes éleveurs (moyenne ~39 ans), orientés vers l’élevage bovin (~52 têtes) et la production d’oliviers (~207 oliviers) et de figuiers (~47 figuiers). Les 18 variables morpho-biométriques étaient significativement plus élevées chez les mâles que chez les femelles (p<0,05). La chèvre kabyle est de petite taille (mâle : 68,23 cm vs femelle : 65,41 cm) et à poil long (mâle : 12 cm vs femelle 9 cm). Ses oreilles sont tombantes, le profil convexe à cassure nasale peu accentuée et sa robe va du brun foncé au noir. La riche diversité génétique des caprins locaux à Ath Waghlis souffre du manque de coordination des efforts de sélection des éleveurs, notamment du fait de l’absence de standard de la race et par l’introduction de races exotiques. Cette richesse devrait représenter un vivier utile où puiser les gènes d’intérêt pour la valorisation de la production locale, basée sur un engagement fort des éleveurs dans la production d’individus correspondant à un idéal collectivement déterminé

    Ressources génétiques animales en Kabylie (Algérie)

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    La Kabylie est une région côtière montagneuse du nord-est algérien. Ce poster présente les principales espèces et races élevées dans cette région. Les ovins sont représentés par la race Tazegzawt, répertoriée récemment. Elle est reconnaissable à ses tâches noires à reflets bleuâtres, son nom kabyle signifiant bleu. Son poids peut dépasser 30 kg à 6 mois. La population locale de chèvres n’a pas fait l’objet de descriptions. Toutefois, la chèvre locale est adaptée aux massifs montagneux. Elle est de petite taille avec un poids vif d’environ 25 kg. Elle présente de longs poils et différentes couleurs de robe. La race bovine locale est issue de l’adaptation de la race brune de l’Atlas à un climat tempéré. Elle possède un petit gabarit (de 250 à 300 kg) et une robe grise ou allant du fauve brunâtre au rouge-brun. Par l’industrialisation de la production de volailles, les poules locales ont subi une érosion génétique sévère. Elles présentent ainsi une grande variabilité phénotypique et sont de taille moyenne (autour de 1,5kg). Le lapin local connaît une situation similaire et présente un poids de 2 à 3 kg. Il existe une tradition apicole importante en Kabylie. Les types d’abeilles exploitées ne sont toutefois pas encore caractérisés. Toutes les races citées ici sont menacées par le croisement ou l’abandon. Leur caractérisation génétique et zootechnique est nécessaire pour l’amélioration des systèmes de production familiaux, plus particulièrement en régions montagneuses, et la conservation de la biodiversité
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