39 research outputs found

    Ipilimumab/nivolumab/prednisone

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    Etude de l'impact de l'interféron alpha 2B à hautes doses sur les caractéristiques cliniques, histologiques et immunologiques des naevus atypiques chez des malades porteurs de mélanome à fort risque de rechute

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    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocPARIS-Académie Médecine (751065201) / SudocSudocFranceF

    A refractory case of scleromyxedema

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    Utilisation de la dermoscopie (enquête parmi les centres hospitaliers français)

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    La dermoscopie est reconnu pour améliorer la précision du diagnostic de mélanome par plusieurs méta-analyses. Cependant, la Haute Autorité de Santé considère le niveau de preuve de la dermoscopie comme faible. Pourtant, comme le montre des études australiennes, américaines et française, la dermoscopie est utilisée par la plupart des dermatologues en pratique libérale. Objectifs: Analyser l'utilisation, les croyances, l'enseignement dispensé et la recherche sur la dermoscopie dans les services de dermatologie des hôpitaux français. Méthode: Un questionnaire interrogeant sur ces différents domaines a été envoyé à tous les chefs de service de dermatologie dans les centres hospitaliers français, universitaires ou non. Résultats: Soixante-seize des 110 questionnaires envoyés ont été retournés. La majorité des centres utilise la dermoscopie (97,5%), la proportion des non utilisateurs est associée à la hiérarchie et l'âge du praticien. L'utilisation de la dermoscopie est 4 fois plus élevé dans les centres non universitaires (p = 0,015). Les centres situés dans le sud-est de la France sont de plus grands utilisateurs comparativement aux autres centres (p = 0,004). La détection précoce du mélanome est le principal avantage rapporté, le temps d'entraînement est le principal inconvénient. Peu de centres (14,5%) ont des programmes d'enseignement sur la dermoscopie. La plupart des centres (74,7%) déclare une utilisation de la dermoscopie dans le diagnostic des maladies non tumorales. Conclusions: Il s'agit de la première étude européenne évaluant l'utilisation de la dermoscopie parmi les centres hospitaliers. Malgré une large utilisation rapportée, l'enseignement et la recherche dans ce domaine semblent insuffisants.LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Pelade sous ipilimumab

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    Ineffective anti PD-1 therapy after BRAF inhibitor failure in advanced melanoma

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    Abstract Background Anti-PD-1 and BRAF-inhibitors (BRAFi) have been approved as first-line treatments in advanced melanoma. To date, no prospective data are available to give the best sequence of treatment. The objective of this study was to evaluate in real-life the efficacy of anti-PD-1 after BRAFi, ipilimumab, or chemotherapy failure. Methods This was a single institution cohort analysis in patients treated with anti-PD-1 right after BRAFi, ipilimumab, or chemotherapy failure. Melanoma evolution after anti-PD-1 initiation was analyzed in BRAF-mutated and BRAF wild-type patients. The efficacy of treatment was evaluated by Objective Response Rate (ORR), Disease Control Rate (DCR), Progression-Free Survival (PFS), and Overall Survival (OS). Results Seventy-four patients were included: 33 wild-type and 41 BRAF-mutated melanoma. ORR to anti-PD-1 was significantly lower in BRAF-mutated patients (12.2% vs. 45.5%, p = 0.002). After anti-PD-1 initiation, the median PFS and OS was significantly shorter in the BRAF mutated group (2 vs. 5 months and 7 vs. 20 months, p = 0.001). The hazard ratio for disease progression was of 2.3 (95%CI:1.3–3.9; p = 0.003) and 2.5 (95%CI:1.3–4.5; p = 0.005) for death. Thirty-nine percent of BRAF-mutated-patients died within 3 months after anti-PD-1 initiation. Rapid death (≤3 months) was significantly higher in BRAF-mutated patients (55.2% vs. 20.0%, p = 0.014). Discussion This is the largest series of unselected patients treated in real-life with anti-PD-1 as second-or-higher line of treatment. Anti-PD-1 was less effective in BRAF-mutated cases as a majority of patients presented aggressive tumor evolution after BRAFi discontinuation. These data are consistent with previous studies suggesting a negative impact of BRAFi prior to immunotherapy
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