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    Determinants de la non vaccination et le taux eleve d’abandon vaccinal au district n°1 de Lome, (Togo)

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    Introduction : Le faible taux de couverture vaccinal et le taux élevé d’abandon vaccinal constituent un problème préoccupant à tous les niveaux du système de santé dans les pays en développement. Cette étude a été réalisée au Centre de santé de Lomé dans le but d’identifier les différentes facteurs qui favorisent « la non vaccination et le taux élevé d’abandon vaccinal» des enfants dans la région qui constitue un problème prioritaire de santé.Méthodologie de l’étude : Nous avons réalisé une étude transversale du 1er mars au 31 juillet 2012 au centre de santé de Lomé, hôpital de premier niveau du district sanitaire N°1 de Lomé - Commune. La technique de collecte des données utilisée était basée sur l’analyse du carnet de vaccination des enfants et une interview à l’aide d’un questionnaire structuré destiné aux mères d’enfants âgés de 0 semaine à 59 semaines. Elle a concerné 422 enfants et leurs mères ou tuteurs. Les données ont été analysées avec le logiciel Epi - info version 3.4.3. Le test de khi carré a été utilisé pour comparer les pourcentages avec un seuil de significativité de 5% (p < 0,05) ; le Risque Relatif (RR) a été calculé avec un intervalle de confiance à 95%.Résultats : Au total, 83,6% (353/422) des enfants de moins d’un an du centre de santé de Lomé ont eu un statut vaccinal correct répondant ainsi à toutes les indications d’une vaccination adéquate. La connaissance des mères d’enfants sur la vaccination (calendrier et âge de vaccination) a influé sur le statut vaccinal des enfants. Les occupations professionnelles et les coûts indirects liés à la vaccination ont été les principales raisons d’abandon et des occasions manquées des vaccinations. Les manifestations adverses post vaccinales (MAPI) n’ont pas été pour la majorité des mères enquêtées une cause d’abandon. Le statut vaccinal des enfants est plus complet quand les mères sont instruites et possèdent des connaissances sur la vaccination.Conclusion : Cette étude nous permis de constater que, malgré les couvertures actuellesacceptables, les formations sanitaires doivent fournir encore beaucoup d’efforts pour lapérennisation et la viabilité de l’acte vaccinal dans les centres de santé. C’est pourquoi il est nécessaire de s’investir davantage dans l’organisation et le management des systèmes de santé de prévention vaccinale, avec la participation de tous les acteurs.Mots clés : Enfants, déterminants, non vaccination, abandon vaccinal, Lomé, Togo

    Evaluation de la gestion des dechets issus des activites de vaccination de routine dans le district sanitaire n° 3 de Lome Commune, Togo

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    Introduction: La gestion des déchets biomédicaux est l'une des priorités sanitaires qui depuis la relance du PEV en 2006 est devenue un problème avec l'augmentation des déchets tranchants et piquants.Objectif: Evaluer la gestion du système de gestion des déchets issus des activités de vaccination dans le District Sanitaire N° 3 de Lomé-Commune.Patients et Méthodes: Nous avons réalisé du 1er juillet au 31 Août 2013 dans les 14 formations sanitaires du District Sanitaire N° 5 de Lomé-Commune une étude transversale à visée basée sur l'interview directe à base d’un questionnaire structuré de 53 agents de santé dans les unités de vaccination et d’une observation directe à l’aide d’un guide.Résultats: Au terme de notre étude, on constate que : un grand nombre de personnel chargé de la gestion (41,3%) n’ont jamais bénéficié d’une formation sur la gestion des déchets biomédicaux en général et vaccinaux en particulier. les étapes de la gestion des déchets vaccinaux ne sont pas respectées dans la plupart des cas. le tri est mal fait dans 70% des cas ; la collecte est réalisée juste à la fin des séances de vaccination dans seulement 30% des cas ; seul un centre sur cinq dispose une salle appropriée pour le stockage des déchets. Tous les centres connaissent le problème de rupture de boîtes de sécurité. Le moyen d’élimination des déchets utilisé est l’incinération. Tous les agents impliqués dans la vaccination ont une connaissance des risques de contamination liés aux déchets vaccinaux.La gestion des déchets reste un système global dont tous les aspects méritent d’être considérés. Chaque étape de l’élimination est capitale pour réduire les risques Des défaillances au niveau d’une étape peuvent remettre en cause la sécurité de l’ensemble du circuit.Conclusion: Cette étude montre clairement les insuffisances dans la gestion des déchets dans ces formations sanitaires. Des efforts sont nécessaires pour améliorer la gestion des déchets biomédicaux dans le pays en respectant tous les principes de sécurité des injections ; ceci passe par la formation du personnel soignant et l’assurance de la disponibilité du matériel adéquat dans toutes les unités de soins.Mots-clés: Gestion, déchets, boîtes de sécurité, vaccination, enfants, TogoEnglish Title: Assessment of management system of sharp and stingy waste in the vaccination units in the Lome – Commune Health District n°3, TogoEnglish AbstractBackground: The biomedical waste management is one of the health priorities which since the following up of the PEV has become a problem with increase of sharp and stingy waste.Objective: To value the management system of the sharp and stingy waste set during four years in the Lomé-Commune Health District N° 5.Method: We have carried out a transversal study based on health agents in the vaccination units and children healthcare with the help of questionnaires and an observation note to analyse the management supports in order to reach to a description. The study has been carried out the five health training centre of the said district.Results: In this study the following findings have been noticed A survey carried out on a total of 43 health agents, 14 (33 %) of then have been trained by the PEV and one over 3 in the vaccination units. In all the health training centres, one-usage syringes are used in 99 %.The stockage means of the sharp and stingy waste after the sorting out is a safe box used in all vaccination units which have never suffered from a lack of stock. Empty serum flasks are used up to 56% of cases as collecting box in the children healthcare units canal bites have been reported during these six last months by surveyed health agents (60%), in most cases in the children health cases in the children healthcare units. A team of the district given responsibility by the District Management is charge of transports and the elimination. The elimination means of safe boxes full used syringes and needles is the incineration at the level the only functional incinerator of Montfort type set at CHU-Campus.Conclusion: This study show clarity the insufficiency of the management of the sharp and stingy waste must be the priorities for the management system of biomedical waste draw the attention training centres. We must therefore make efforts to improve that management by respecting safety principles of injections and the management steps by ensuring the adequate availability of equipment in all care units.Keywords: Management, step, principles, vaccination, health training, Tog

    Facteurs de risque et causes de la prématurité au Centre Hospitalier Régional de Tsévié (Togo

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    Introduction: Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, 12,9 millions d'enfants naissent prématurément, soit 9,6% de naissances. Les taux de prématurité sont plus élevés dans les pays en développement. Elle constitue l'une des premières causes de mortalité néonatale et est un problème de santé publique. L'objectif de ce travail était de décrire les facteurs de risque et les causes de la prématurité au Centre Hospitalier Régional de Tsévié.Matériel et méthodes: Une étude rétrospective a été réalisée de janvier 2016 à septembre 2016 à la maternité du centre hospitalier régional de Tsévié. Les cas qui étaient de 100 correspondaient aux accouchées dont l'âge gestationnel était inférieur à 37 Semaines d’Aménorrhée. Les données ont été recueillies à partir des registres d'admission et des dossiers. Il s'agissait de l'âge à l'admission, le terme de la grossesse, les caractéristiques sociodémographiques et obstétricales de leurs mères. L'analyse des données a été faite avec le logiciel Epi info version 7.2.0.1Résultats: 100 accouchements prématurés ont été enregistrés sur 1212 accouchements soit une fréquence de 8,25%. Nous avons identifié comme facteurs de risque maternels le célibat, le nombre de consultations prénatales < 3. Les pathologies maternelles influençant significativement la prématurité étaient le paludisme (15%), la pré éclampsie/éclampsie (11%), les ruptures prématurée et chorioamniotite (14% et 2%), les infections cervico-vaginales (8%) et la menace d'accouchement prématuré (7%). Chez 7% aucun facteur n’a été identifié. Les grossesses multiples et les malformations congénitales étaient les facteurs de risque de prématurité liés au foetus.Conclusion: La fréquence de la prématurité était de 8,25%. Les facteurs de risque de la prématurité sont autant maternels que foetaux. Le célibat, le non suivi de la grossesse et les pathologies durant la grossesse étaient des facteurs maternels prédisposant à la prématurité, alors que les grossesses multiples et les anomalies congénitales étaient les principaux facteurs foetaux prédisposant.Mots clés: Causes ; Facteurs ; Accouchement ; PrématuréEnglish Title: Risk factors and causes of prematurity at the Tsévié Regional Hospital Center (Togo)English AbstractIntroduction: According to the World Health Organization, 12.9 million children are born prematurely, or 9.6% of births. Prematurity rates are higher in developing countries. It is one of the leading causes of neonatal mortality and is a public health problem. The objective of this work was to describe the risk factors and causes of prematurity at the Tsévié Regional Hospital Center.Methods: A retrospective study was carried out from January 2016 to September 2016 at the maternity hospital of the Tsévié regional hospital. Cases that were 100 corresponded to women who had gestational age less than 37 Amenorrhea weeks. Data were collected from admissions records and records. These were the age at admission, the term of pregnancy, the socio-demographic and obstetric characteristics of their mothers. The analysis of the data was done with the software Epi info version 7.2.0.1Results: 100 premature deliveries were recorded in 1212 deliveries, or a frequency of 8.25%. Maternal risk factors were defined as celibacy, the number of prenatal consultations <3. Maternal diseases significantly influencing prematurity were malaria (15%), preeclampsia / eclampsia (11%), premature ruptures and chorioamnionitis (14 % And 2%), cervico-vaginal infections (8%) and the threat of premature delivery (7%). In 7% no factor was identified. Multiple pregnancies and congenital malformations were the risk factors for prematurity associated with the fetus.Conclusion: The frequency of prematurity was 8.25%. Risk factors for prematurity are both maternal and fetal. Pregnancy, non-pregnancy and pregnancy were maternal factors predisposing to prematurity, while multiple pregnancies and congenital abnormalities were the main predisposing fetal factors.Keywords: Causes; Factors; Childbirth; Prematur

    Prevalence du VIH chez les enfants denutris de moins de 5 ans a l’hopital de Kpalime (Togo)

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    Introduction : La dĂ©nutrition et le VIH chez les enfants constituent un problème majeur de santĂ© publique en Afrique subsaharienne. L’objectif de cette Ă©tude Ă©tait de dĂ©terminer la prĂ©valence du VIH chez les enfants dĂ©nutris de moins de 5 ans Ă  l’hĂ´pital de KpalimĂ©.MatĂ©riel et mĂ©thode : Une Ă©tude rĂ©trospective descriptive sur une pĂ©riode de 6 ans (2013 Ă  2018) a Ă©tĂ© menĂ©e dans le service de pĂ©diatrie de l’hĂ´pital de KpalimĂ©. Ont Ă©tĂ© inclus, les dossiers des enfants de moins de 5 ans, dĂ©nutris et positif au VIH (Polymerase Chain Reaction chez les moins de 18 mois et sĂ©rologie rĂ©trovirale au VIH chez les plus de 18 mois). Les paramètres Ă©tudiĂ©s ont concernĂ© : l’âge, le sexe, les paramètres anthropomĂ©triques rapportĂ©s aux standards de croissance de l’Organisation Mondiale de la SantĂ© (poids/âge, taille/âge, poids/taille, Indice de Masse Corporelle/âge et pĂ©rimètre brachial/âge), le type de malnutrition, le mode diagnostic du VIH et l’évolution sous traitement (protocole nutritionnel de l’Organisation Mondiale de la SantĂ© et protocole national de traitement antirĂ©troviral du Togo).RĂ©sultats : Au total 190 enfants dĂ©nutris de moins de 5 ans ont Ă©tĂ© hospitalisĂ©s dans le service. La prĂ©valence du VIH Ă©tait de 17,37% (N=33). Tous les enfants Ă©taient positifs au VIH1 dont 22 enfants par sĂ©rologie rĂ©trovirale au VIH. La sex-ratio des enfants VIH positif Ă©tait 0.65. L’âge moyen Ă©tait de 23 mois (extrĂŞme : 4 Ă  59 mois). Le marasme Ă©tait retrouvĂ© dans 90,90% des cas (N=30) et le kwashiorkor dans 9,10% des cas (N=3) des cas. Le gain pondĂ©ral moyen journalier sous traitement nutritionnel Ă©tait respectivement de 2g/kg, 5g/kg et 5g/kg au cours de la première, deuxième et troisième semaine. Le nombre total de dĂ©cès Ă©tait de 9 (27,27%) dont 5 (55,56%) au cours de la première semaine, 3 (33,33%) au cours de la deuxième semaine et 1 (11,11%) au cours de la troisième. Le sĂ©jour moyen en hospitalisation Ă©tait de 12 jours et celui en ambulatoire Ă©tait de 18 jours.Conclusion : Le VIH constituait une cause majeure de dĂ©nutrition chez les enfants. Une prise en charge prĂ©coce et adĂ©quate du VIH chez ces enfants est un moyen efficace de prĂ©vention de la dĂ©nutrition. Mots clĂ©s : Malnutrition, Enfants, VIH, KpalimĂ©   English Title: HIV prevalence among undernourished children under 5 years of age at Kpalime hospital (Togo) Introduction: Undernutrition and HIV among children is a major public health problem in sub-Saharan Africa. The objective of this study was to assess the prevalence of HIV in malnourished children under 5 years of age at KpalimĂ© Hospital. Material and method: A retrospective descriptive study over a period of 6 years (2013 to 2018) was conducted in the pediatric service of KpalimĂ© Hospital. Cases of children under 5, malnourished and HIV-positive (PCR in children less than 18 months of age and retroviral HIV serology among children over 18 months of age) were included. The studied parameters concerned: age, sex, anthropometric parameters related to WHO growth standards (weight / age, height / age, weight / height, BMI / age and MUAC / age), type malnutrition, the HIV diagnosis mode and the evolution with treatment (WHO nutritional protocol and national ARV treatment protocol of Togo). Results: A total of 190 undernourished children under 5 were hospitalized in the ward. The prevalence of HIV was 17.37% (N = 33). All children were HIV1positive including 22 children by retroviral HIV serology. The sex ratio of HIV positive children was 0,65. The average age was 23 months  (extreme: 4 to 59 months). Marasmus was found in 90.90% of cases (N = 30) and kwashiorkor in 9.10% of cases (N = 3) of cases. The average daily weight gain with nutritional treatment was 2g / kg, 5g / kg and 5g / kg, respectively, during the first, second and third week. The total number of deaths was 9 (27.27%) of which 5 (55.56%) in the first week, 3 (33.33%) in the second week, and 1 (11.11%) in the third week. The average stay in hospital was 12 days and the outpatient stay was 18 days. Conclusion: HIV is a major cause of undernutrition among children. Early and adequate HIV care for these children is an effective way to prevent undernutrition. Keywords: Malnutrition, Children, HIV, Kpalim

    Mortalite hospitaliere dans le service de Pediatrie du Centre Hospitalier Regional de Sokode (Togo) en 2015

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    Objectif: Déterminer les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des d’enfants décédés au Centre Hospitalier Régional (CHR) de Sokodé en 2015.Méthodologie: Il s’agit d’une étude rétrospective qui a concerné la période du 1er Février au 31 Juillet 2015 dans le service de pédiatrie du CHR - Sokodé, hôpital de référence de la Région Centrale au Togo. Les dossiers cliniques d’enfants décédés au cours de leurs hospitalisations ont été explorés.Résultat: Le taux de mortalité hospitalière dans le service de Pédiatrie au CHR –Sokodé était de 72,7‰ avec un sexe ratio M/F de 1,06. L’âge moyen des enfants décédés était de 38,1 mois (écart type 42,327). Neuf décès sur dix (87,9%) ont touché les enfants de moins de 5 ans et concernaient les références (90,9%). Les diagnostics étaient dominés par le paludisme grave (58,5%), dont la moitié de forme anémique (51,5%) et les affections du nouveau-né (36,6%). Les médications les plus utilisées étaient la quinine (45,5%), les antibiotiques (42,4%), la transfusion (33,3%), et l’Artesunate (24,2%). Près de la moitié (45,5%) des décès sont survenus dans les 24 heures et ¾ (75,8%) dans les 48 heures d’hospitalisation.Conclusion: Le taux de mortalité hospitalière reste élevé au CHR – Sokodé, affectant principalement les moins de 5 ans, et lié surtout au paludisme grave et aux affections du nouveau-né.Mots-clés: Mortalité, enfant, TogoEnglish Title: Mortality in the Pediatric Unit of Sokode Regional Hospital, Togo, 2015English AbstractObjective: Determine epidemiological, clinical and therapeutic features of children dead at the Regional Hospital of Sokode in 2015.Materials and method: This retrospective study conducted from 1st February to 31st July, 2015 in the pediatric unit of the Regional Hospital of Sokode (Togo) was based on clinical files of dead children.Results: The mortality rate in the pediatric unit was 72.7‰ and the sex ratio M/F 1.06. The mean age was 38.1 months. 9/10 deaths (87.9%) have occurred among under 5 years children. Most of them were transferred (90.9%) from peripheral facilities. Severe malaria (58.5%) with 51.5% of anemia and neonatal affections (36.6%) were the most frequent causes. Half of dead children (45.5%) were observed in the first 24 hours and ¾ (75.8%) in the 48 hours after admission.Conclusion: The mortality rate remains high in the Regional hospital of Sokode. The child aged 0-5 years were the most affected. Severe malaria and neonatal diseases are still the most lethal causes.Keywords: Mortality, children, Tog

    Paludisme grave chez l’enfant a l’hopital d’enfants yendoube de dapaong au Togo

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    Objectif: Analyser les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives des enfants hospitalisés pour paludisme grave à Dapaong.Matériels et méthode: Il s’agit d’une étude rétrospective menée du 01 juillet au 31 décembre 2007 à l’hôpital d’enfants Yendoubé de Dapaong. Etait inclus dans l’étude, tout enfant âgé de moins de 15 ans, ayant présenté une goutte épaisse (GE) positive associée à un signe de gravité du paludisme. Les données ont été recueillies à partir de 587 dossiers cliniques.Résultats: La fréquence hospitalière du paludisme grave était de 29,4% avec une sexe ratio de 0,89. Les enfants de 6 à 59 mois étaient les plus représentés (90%). La moyenne d’âge était de 5 ans 9 mois (1 mois - 15 ans). ). Une recrudescence des cas de juillet à octobre avec un pic de décès en septembre a été observée. Les principaux signes de gravité retrouvés à l’examen physique étaient l’anémie (71,6%) et les convulsions (14,0%). La dénutrition aigue constituait la principale pathologie associée (10,9%). Le traitement curatif le plus utilisé était l’Artemether (96,0%). Le taux de létalité était de 10,9%.Conclusion: Le paludisme demeure le premier problème de santé publique à Dapaong et au Togo. La distribution des moustiquaires imprégnées d’insecticides à longue durée d’action et la chimioprévention saisonnière du paludisme pourraient produire un impact positif.Mots-clés: Paludisme grave, enfant, TogoEnglish Title: Severe malaria among children at Yendoube child hospital in Dapaong, TogoEnglish AbstractAim: To investigate the morbidity and the mortality among children hospitalized for severe malaria at the Yendoube child hospital in Dapaong.Materials and method: This retrospective study was conducted from 1st July to 31st December, 2007 at Yendoube Child Hospital of Dapaong. Children with a clinical sign of severe malaria and a positive malaria blood test, aged from 0 to 15 years old were included. Data were collected from 587 medical files.Results: 29.4% of hospitalized children were suffering from severe malaria. The sex ratio M/F was 0.89. Most of child were 6-59 months old (90%) with a mean age of 5 years and 9 months (1 month - 15 years). The majority of the patients were registered in the period from July to September. Anemia (71.6%) and convulsions (14.0%) was the main complications. Severe acute malnutrition has been observed in 10.9% cases. Medicine used were often Artemether (96.0%). The lethality rate was about 10.9%.Conclusion: Malaria’s still the major public health disease in Dapaong such as in the whole Togo, especially among 0-5 years children.Keywords: severe malaria, child, Tog
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