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    Biological and psychological predictors of posttraumatic stress disorder onset and chronicity. A one-year prospective study

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    Background: Few studies have prospectively examined risk factors for posttraumatic stress disorder (PTSD) in the aftermath of a traumatic exposure. The aim of this study is to identify the concurrent influence of psychological and biological diatheses on PTSD onset and maintenance, taking into account socio-demographic factors and psychiatric antecedents. Methods: A total of 123 civilians (61.8% of women) recruited in emergency units, were assessed using validated instruments during the first week and then at 1, 4, and 12 months post-trauma. Baseline assessment included evaluation of the psychological diathesis (i.e. psychiatric history and peritraumatic distress and dissociation), and the biological diathesis [i.e. cortisol, norepinephrine, epinephrine, c-reactive protein, total cholesterol, HDL cholesterol, glycosylated haemoglobin, waist-to-hip ratio (WHR), body mass index, diastolic and systolic blood pressure (SBP), and heart rate]. Results: Multivariate logistic regression analyses demonstrated both psychological and biological diatheses to be independent risk factors for PTSD. Peritraumatic distress and dissociation predicted onset (1-month) and mid-term PTSD (4-months), respectively. PTSD risk was associated positively with SBP and negatively with WHR, throughout the follow-up. In addition, a higher level of 12 h-overnight urinary norepinephrine independently predicted mid-term PTSD (4-months). Conclusions: This prospective study shows that peritraumatic psychological and biological markers are independent predictors of PTSD onset with specificities according to the stage of PTSD development; the psychological diathesis, i.e. peritraumatic distress and dissociation, being a better predictor of short-term dysfunction whereas biological diathesis was also predictive of development and maintenance of PTSD

    Effets d'un leadership dynamique sur la revitalisation d'une zone de santé en situation post-conflits armés : cas des Zones de santé de Ituri - Est de la RD Congo

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    Introduction : En dépit de la guerre en Ituri (1999-2006), certaines Zones de Santé (ZS), ont maintenu un niveau de fonctionnalité satisfaisant, offrant à leurs populations des soins de santé primaires de qualité tandis que d’autres ont été nettement moins performantes. Méthodologie : La méthodologie est axée essentiellement sur la revue documentaire portant sur les comptes-rendus des réunions des équipes cadres des ZS, les rapports annuels, les rapports des supervisions des ZS, les rapports des revues annuelles 2007, 2008 et 2009 dans les ZS de Bunia, Logo, Aru et Ariwara. La cohérence de l’équipe cadre est assurée lorsque les plans de travail de chacun des membres de l’équipe corrobore le plan opérationnel de la ZS. Résultats : La zone de Logo, dotée d’une équipe cadre cohérente, est celle qui a réalisé les meilleures performances pour la période analysée. En effet, entre juillet 2006 et mars 2009, le taux de supervision des centres de santé de cette zone est passé de 45% à 80 % ; l’analyse régulière de la qualité du paquet minimum d’activités et du système d’information sanitaire a amélioré le processus décisionnel au niveau de l’équipe de pilotage de la ZS et la proportion des comités de santé fonctionnels est passé de 65 à 84 %. De plus, contrairement aux autres zones de santé, le taux de référence des cas est passé de 2 à 18 %, celui de la mortalité maternelle intra-hospitalière de 0,20 à 0,08 %. Leçons à tirer : Une équipe cadre cohérente et motivée, dotée d’un leadership fort est un atout majeur de la performance d’une zone de santé. Conclusion : La revitalisation d’une Zone de santé passant par un diagnostic situationnel de départ et par la mise en place d’un plan de développement ne peut s’exécuter que si l’équipe de pilotage de la zone de santé possède un leadership dynamique
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