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    Regards méthodologiques sur l’échantillonnage des coléoptères saproxyliques au moyen des pièges-vitres

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    Saproxylic beetles are species-rich, mostly small and cryptic, and difficult to sample. Different methods are traditionally used to collect saproxylic beetles. These are (i) direct active collection techniques, (ii) rearing techniques and (iii) mass trapping methods. Window-flight trapping is currently the most frequently used technique for catching flying active saproxylic beetles. Thanks to the combination of different trap principles, window-fl ight trap devices may differ by a large number of intrinsic parameters. This paper offers further insight into the infl uence of 3 trap factors on the catches of dead wood associated beetles, by comparing (i) cross-vanes or single-plane WFT (shape effect), (ii) black or transparent CWFT (silhouette effect), (iii) low or high CWFT (height effect). Six ecological data sets from French upland or lowland, deciduous or coniferous forests, with paired freely hanging window traps on each plot, were compiled in this study and analysed with a methodological point of view to compare the efficiency of sampling methods. Trap shape had a signifi cant and strong effect on the abundance and species richness of saproxylic beetles. The single-plane traps caught a higher number of individuals and species. Nevertheless, given time/cost constraints, cross-vanes traps are recommended. Our study shows that black and transparent cross-vanes traps yielded similar saproxylic samples in terms of abundance, richness and overall composition. Our results confirm the vertical differentiation of saproxylic beetle assemblage. They suggest that low cross-vanes window traps yield more species-rich and individual-rich samples than canopy traps. Except Melyrids, no abundant species showed a strong association with top traps. Further optimisation analyses based on larger datasets are required to make sampling methods more reliableLes coléoptères saproxyliques constituent un groupe riche en espèces, souvent petites et cryptiques, et difficiles à échantillonner. Différentes méthodes sont traditionnellement utilisées pour les collecter: les techniques (i) de collecte active, (ii) d'élevage et (iii) de piégeage. Le piège-vitre est actuellement la méthode la plus fréquemment utilisée pour la capture des coléoptères saproxyliques aériens mobiles. Grâce à la combinaison de différents principes, les pièges-vitres comportent de multiples modèles. Cette étude concerne l'influence de 3 facteurs sur les captures de coléoptères saproxyliques, en comparant (i) des pièges plans bidirectionnels ou multidirectionnels en croix (effet de forme), (ii) des pièges transparents ou noirs (effet silhouette), (iii) des pièges suspendus à faible hauteur ou dans la canopée. Six jeux de données écologiques de plaine ou d'altitude, de forêts françaises feuillues ou résineuses, et comportant deux pièges différents appariés parplacette, ont été compilés et analysés pour comparer l'efficacité respective des méthodes. La forme du piège a un fort effet significatif sur l'abondance et la richesse spécifique, à l'avantage des pièges plans. Néanmoins, en raison de contraintes pratiques ou financières, les pièges-croix sont recommandés. Les pièges noirs ou transparents fournissent des échantillons comparables en termes d'abondance, de richesse et de composition. Nos résultats confirment la différenciation verticale des assemblages de coléoptères saproxyliques, les pièges bas capturant davantage d'individus et d'espèces que les pièges de la canopée. A l'exception des Melyridae, aucune espèce n'est associée aux strates hautes. Des analyses complémentaires fondées sur de plus amples jeux de données sont requises pour optimiser les méthodes d'échantillonnage

    Gender-based violence against women in contemporary France: domestic violence and forced marriage policy since the Istanbul Convention

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    ABSTRACT: In 2014, France ratified the Council of Europe’s Convention on Preventing and Combating Violence against Women and Domestic Violence (the Istanbul Convention) and passed the Law for Equality between Women and Men to bring French law into line with it. The Law for Equality between Women and Men situates the fight against violence against women within a broader context of the need to address inequalities between women and men. This is not new at the international level, but it is new to France. When the structural, transformative understandings of violence against women found in international texts are translated into national laws, policy documents and implementation on the ground, they might challenge widespread ideas about gender relations, or they might be diluted in order to achieve consensus. To what extent has French violence against women policy moved into line with UN and Council of Europe initiatives which present violence against women as both a cause and a consequence of gendered power relations? Have internationally accepted concepts of gender and gender-based violence been incorporated into French policy debates and, if so, how? What implications, if any, does all this have for the continued struggle in France and elsewhere to eliminate violence a gainst women? RÉSUMÉ: En 2014, la France a ratifié la Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique (dite Convention d’Istanbul) et a adopté dans la foulée la loi pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes afin de mettre en conformité la législation française. Cette loi place la lutte contre la violence à l’égard des femmes dans un contexte de lutte contre les inégalités de genre. Si cela est loin d’être une nouveauté à l’échelle internationale, cela l’est en France. Lorsque les conceptions structurelles et transformatrices de la violence à l’égard des femmes présentes dans les textes internationaux sont traduites à l’échelle nationale en lois, documents d’orientation et mesures de mise en œuvre sur le terrain, elles peuvent alors remettre en question des idées largement répandues sur les rapports de genre, ou au contraire être édulcorées afin d’aboutir à un consensus. Dans quelle mesure la politique de la France relative à la violence à l’égard des femmes s’est-elle alignée sur les initiatives de l’ONU et du Conseil de l’Europe qui présentent ce type de violence comme étant à la fois une cause et une conséquence des rapports de force liés au genre? Le genre et la violence fondée sur le genre, qui sont des concepts internationalement reconnus, ont-ils été intégrés dans les débats politiques français, et si oui, de quelle manière? Quelles en sont les implications le cas échéant sur la poursuite, en France et ailleurs, de la lutte pour éliminer la violence à l’égard des femmes

    Bark beetles and pinhole borers recently or newly introduced to France (Coleoptera: Curculionidae, Scolytinae and Platypodinae)

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    We present an annotated list of 11 Scolytinae and Platypodinae species newly or recently introduced to France. Four species are recorded for the first time as interceptions: Euplatypus hintzi (Schaufuss), Euplatypus parallelus (Fabricius), Xyleborus affinis Eichhoff and Xyleborus ferrugineus (Fabricius). Two are possibly naturalised: Xyleborus bispinatus Eichhoff and Cryphalus dilutus Eichhoff, while Cyclorhipidion distinguendum (Eggers) and Xyloterinus politus (Say) are confirmed as species newly established in Europe. Moreover, an unidentified species of Amasa Lea, collected previously in Spain, is recorded for the first time in France: Amasa sp. near truncata (Erichson). We point out that literature references to Amasa truncata as an invasive species in New Zealand and South America are incorrect, as the photographs of these non-native populations do not match the holotype of A. truncata. For each species we have updated its global distribution, detailed all French records, and summarized biology, ecology, host trees and potential risks as pests
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