37 research outputs found

    Suicide by Skull Stab Wounds: A Case of Drug-Induced Psychosis

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    Suicide by stabbing to the head and/or driving sharp objects into the skull is of extreme rarity. This article reports the case of a 27-year-old man, who committed suicide by multiple knife stabs and cuts to the head, the torso, one shoulder and the forearms. Autopsy showed a perforating wound of the skull and the 10-cm long broken blade of the knife being still embedded in the right temporal lobe of the brain. The deceased had no history of psychiatric illness but was currently treated by mefloquine, a quinine derivative associated with a high rate of psychiatric adverse effects. Toxicological examination confirmed a recent intake of mefloquine together with chloroquine, another antimalarial drug. To our knowledge, this is the first report of a completed suicide with very strong evidence of mefloquine implication. Discussion focuses upon mefloquine-induced psychiatric disorders and highlights the importance of performing toxicological investigations in cases of unusual suicides

    Response shift in patient-reported outcomes:definition, theory, and a revised model

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    International audiencePurpose The extant response shift definitions and theoretical response shift models, while helpful, also introduce predicaments and theoretical debates continue. To address these predicaments and stimulate empirical research, we propose a more specific formal definition of response shift and a revised theoretical model. Methods This work is an international collaborative effort and involved a critical assessment of the literature. Results Three main predicaments were identified. First, the formal definitions of response shift need further specification and clarification. Second, previous models were focused on explaining change in the construct intended to be measured rather than explaining the construct at multiple time points and neglected the importance of using at least two time points to investigate response shift. Third, extant models do not explicitly distinguish the measure from the construct. Here we define response shift as an effect occurring whenever observed change (e.g., change in patient-reported outcome measures (PROM) scores) is not fully explained by target change (i.e., change in the construct intended to be measured). The revised model distinguishes the measure (e.g., PROM) from the underlying target construct (e.g., quality of life) at two time points. The major plausible paths are delineated, and the underlying assumptions of this model are explicated. Conclusion It is our hope that this refined definition and model are useful in the further development of response shift theory. The model with its explicit list of assumptions and hypothesized relationships lends itself for critical, empirical examination. Future studies are needed to empirically test the assumptions and hypothesized relationships

    Comorbidités mentales et sclérose en plaques : étude française à partir des données de l’Assurance maladie

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    National audienceIntroductionLes comorbidités mentales sont davantage fréquentes chez les patients atteints de la sclérose en plaques (SEP) qu’en population générale. En France, aucune donnée n’est disponible pour appuyer ce constat. Notre étude vise à estimer leur fréquence chez les patients atteints de SEP comparée à celles de groupes témoins (« sain » ou avec une affection longue durée [ALD] pour polyarthrite rhumatoïde [PR]), en France, à partir des données de l’Assurance maladie.MéthodesUne étude cas–contrôle a été réalisée sur la période 2011–2015 à partir de l’échantillon généraliste des bénéficiaires (EGB). Les individus étaient considérés atteints d’une SEP si l’un des critères suivants était identifié : présence d’une ALD pour SEP, au moins une prescription d’un traitement spécifique de la SEP, au moins une hospitalisation avec un diagnostic SEP. Les contrôles (cinq en population générale et 1 PR par cas de SEP) étaient appariés sur l’âge, le sexe, le régime de rattachement et le département de résidence. La présence de comorbidité mentale était identifiée si au moins un des critères suivants était rempli en 2015 : présence d’une ALD pour affection psychiatrique, au moins deux remboursements d’un traitement associé à un trouble mental, au moins une hospitalisation avec un diagnostic en lien avec un trouble mental.RésultatsAu total, 1145 cas de SEP ont été identifiés avec un âge médian de 50 ans et 72 % de femmes. Les comorbidités mentales étaient plus fréquentes dans la SEP que chez les contrôles de la population générale (rapport de prévalence : 3,5, IC 95 % : 3,0–4,1) et les contrôles PR (rapport de prévalence : 1,9, IC 95 % : 1,5–2,3). Les cas SEP avaient plus de prescriptions de traitements en lien avec un trouble mental (27,8 %) que les contrôles « sains » (10,2 %) et les contrôles PR (16,5 %).Discussion/ConclusionCette étude conforte l’hypothèse que les comorbidités mentales sont plus fréquentes dans la SEP qu’en population générale, à âge et sexe égal, et également plus que dans d’autres maladies chroniques

    Réactivité des petites particules métalliques de Ni° hautement dispersées sur zéolithes X échangées par des ions Ce

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    La composition du support zéolithique dans les systèmes Ni2+zéolithe X (acidité, présence d'autres cations) a une importance déterminante dans l'obtention d'un état métallique de nickel bien dispersé. Selon la taille des particules métalliques obtenues, le nickel présente des propriétés hydrogénolysantes, hydrogénantes et de chimisorption considérablement modifiées. Au dessous d'une certaine taille (d ≤ 12 Å), le nickel perd ses propriétés catalytiques et chimisorptives. Une étude par thermodésorption programmée de ces systèmes a mis en évidence une phase constituée "d'espèces hydrogènes" fortement chimisorbées à la surface des particules, formées lors du processus de réduction, qui inhibent tout contact entre les sites actifs du nickel et les réactifs
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