2,703 research outputs found

    Pays émergents : afflux de capitaux et envolée des prix des matières premières.

    Get PDF
    Les pays émergents ont vu leur croissance marquer une courte pause entre fin 2008 et fin 2009, au moment où les pays occidentaux entraient dans la pire crise de l’après-guerre. Depuis, la croissance est repartie en Asie et en Amérique latine où la plupart des pays ont traversé la crise financière et économique sans troubles majeurs et sans que leur capital de confiance n’ait été entamé. La crise économique s’est donc traduite par une divergence des trajectoires économiques des différentes zones. Un découplage, d’abord entre pays développés englués dans une crise encore inachevée et pays émergents dont un grand nombre a retrouvé sa trajectoire de croissance antérieure. Une divergence, ensuite, au sein des pays émergents, entre les pays d’Asie et d’Amérique latine qui ont tiré les leçons des crises passées et les pays d’Europe de l’Est qui ont subi les conséquences de leur exposition au risque lorsque les flux de financements mondiaux se sont taris. Dès lors que la confiance a permis le retour des capitaux en Asie et en Amérique latine, les moteurs de la demande, notamment internes, se sont remis en marche. Cette dynamique s’appuie sur l’industrialisation et la croissance de la productivité, qui permettent aux pays émergents de poursuivre leur rattrapage sur le sentier de croissance antérieur à la crise. À l’inverse, la correction des déséquilibres dans les pays d’Europe de l’Est pèsera sur la croissance dans les prochaines années. Pour autant, si la croissance est repartie très vite dans ces pays, elle pourrait être freinée en 2011 et 2012. D’abord, la perte d’activité de 2009 ayant été rattrapée, les rythmes de croissance vont se normaliser. Par ailleurs, un nombre croissant de pays est confronté à une surchauffe. La reprise de l’inflation, également alimentée par la hausse du prix de matières premières en 2010, se poursuivra vraisemblablement en 2011. Des mouvements de resserrement monétaire ont donc été enclenchés, accélérant les entrées de capitaux qui devront être contrôlées.

    Pays émergents : afflux de capitaux et envolée des prix des matières premières

    Get PDF
    Les pays émergents ont vu leur croissance marquer une courte pause entre fin 2008 et fin 2009, au moment où les pays occidentaux entraient dans la pire crise de l’après-guerre. Depuis, la croissance est repartie en Asie et en Amérique latine où la plupart des pays ont traversé la crise financière et économique sans troubles majeurs et sans que leur capital de confiance n’ait été entamé. La crise économique s’est donc traduite par une divergence des trajectoires économiques des différentes zones. Un découplage, d’abord entre pays développés englués dans une crise encore inachevée et pays émergents dont un grand nombre a retrouvé sa trajectoire de croissance antérieure. Une divergence, ensuite, au sein des pays émergents, entre les pays d’Asie et d’Amérique latine qui ont tiré les leçons des crises passées et les pays d’Europe de l’Est qui ont subi les conséquences de leur exposition au risque lorsque les flux de financements mondiaux se sont taris. Dès lors que la confiance a permis le retour des capitaux en Asie et en Amérique latine, les moteurs de la demande, notamment internes, se sont remis en marche. Cette dynamique s’appuie sur l’industrialisation et la croissance de la productivité, qui permettent aux pays émergents de poursuivre leur rattrapage sur le sentier de croissance antérieur à la crise. À l’inverse, la correction des déséquilibres dans les pays d’Europe de l’Est pèsera sur la croissance dans les prochaines années. Pour autant, si la croissance est repartie très vite dans ces pays, elle pourrait être freinée en 2011 et 2012. D’abord, la perte d’activité de 2009 ayant été rattrapée, les rythmes de croissance vont se normaliser. Par ailleurs, un nombre croissant de pays est confronté à une surchauffe. La reprise de l’inflation, également alimentée par la hausse du prix de matières premières en 2010, se poursuivra vraisemblablement en 2011. Des mouvements de resserrement monétaire ont donc été enclenchés, accélérant les entrées de capitaux qui devront être contrôlées

    Pays émergents : afflux de capitaux et envolée des prix des matières premières

    Get PDF
    Les pays émergents ont vu leur croissance marquer une courte pause entre fin 2008 et fin 2009, au moment où les pays occidentaux entraient dans la pire crise de l’après-guerre. Depuis, la croissance est repartie en Asie et en Amérique latine où la plupart des pays ont traversé la crise financière et économique sans troubles majeurs et sans que leur capital de confiance n’ait été entamé. La crise économique s’est donc traduite par une divergence des trajectoires économiques des différentes zones. Un découplage, d’abord entre pays développés englués dans une crise encore inachevée et pays émergents dont un grand nombre a retrouvé sa trajectoire de croissance antérieure. Une divergence, ensuite, au sein des pays émergents, entre les pays d’Asie et d’Amérique latine qui ont tiré les leçons des crises passées et les pays d’Europe de l’Est qui ont subi les conséquences de leur exposition au risque lorsque les flux de financements mondiaux se sont taris.Dès lors que la confiance a permis le retour des capitaux en Asie et en Amérique latine, les moteurs de la demande, notamment internes, se sont remis en marche. Cette dynamique s’appuie sur l’industrialisation et la croissance de la productivité, qui permettent aux pays émergents de poursuivre leur rattrapage sur le sentier de croissance antérieur à la crise. À l’inverse, la correction des déséquilibres dans les pays d’Europe de l’Est pèsera sur la croissance dans les prochaines années.Pour autant, si la croissance est repartie très vite dans ces pays, elle pourrait être freinée en 2011 et 2012. D’abord, la perte d’activité de 2009 ayant été rattrapée, les rythmes de croissance vont se normaliser. Par ailleurs, un nombre croissant de pays est confronté à une surchauffe. La reprise de l’inflation, également alimentée par la hausse du prix de matières premières en 2010, se poursuivra vraisemblablement en 2011. Des mouvements de resserrement monétaire ont donc été enclenchés, accélérant les entrées de capitaux qui devront être contrôlées

    Pays émergents : la fin de la Très Grande Illusion

    Get PDF
    Depuis 2013, la croissance mondiale est désynchronisée entre d'une part, les pays développés dont la situation s'améliore de plus en plus, et d'autre part, le reste du monde qui voit au contraire sa situation se dégrader, sous le poids de plusieurs facteurs. En Chine, la réorientation du modèle de développement vers le marché intérieur s'articule avec une croissance structurelle désormais plus modérée. Ce ralentissement pèse sur la demande de produits primaires et fait baisser les cours dont un nombre important de pays émergents et en développement sont exportateurs. Enfin, les conditions financières internationale s se resserrent depuis 2014 avec la normalisation de la politique monétaire américaine. Or, le recyclage des liquidités internationales avait donné lieu à une montée de l'endettement dans les pays émergents qui avait soutenu la croissance au moment où le pilier commercial s'affaiblissait.Ce durcissement de l'environnement international marque la fin d'une période exceptionnelle (croissance chinoise à deux chiffres, emballement des cours des matières premières, et enfin liquidités financières abondantes) qui devait prendre fin. Or, pendant les années 2000, la dépendance au commerce international s'est accrue pour tous les pays, et surtout pour les émergents, dont la Chine. Les pays riches en matières premières ont accru leur exposition à la volatilité des cours de ces produits. Aujourd'hui, si tous les pays sont exposés au choc d'un retournement du monde émergent, notamment chinois, les pays émergents le sont encore davantage, du fait de leur forte intégration commerciale et de leur dépendance accrue aux exportations de matières premières. Ils doivent en plus gérer un fort endettement. Les pays développés, eux, le sont moins car ils bénéficient à l'inverse de l'amélioration de leurs termes de l'échange

    Évaluation de la prime de risque de change dans un contexte régional : une analyse multi-variée du MEDAFI

    Get PDF
    In this paper, we use the segmented conditional ICAPM (International Capital Asset Pricing Model) to study the emerging stock markets integration. To address this issue, we apply the asymmetric multivariate version of GARCH-BEKK with structural break of the variance. It allows to specify the dynamics of conditional second moments and determinates the contribution of each risk factor in establishing the total premium. The model is estimated for the period March 1996-June 2008, simultaneously for five markets: the world market and four emerging markets. Our results support the partial segmentation of the market studied. In fact, local risk factors contribute significantly in explaining stock market returns.International asset pricing, equity risk premium, financial integration, Emerging Markets, Asymmetric Multivariate GARCH.

    Les effets ambigus de la libéralisation financière dans les pays en développement Croissance économique ou instabilité financière ?

    Get PDF
    Ce papier tente de comprendre la coexistence d'une littérature favorable à la libéralisation financière et une approche nettement plus critique et tente de concilier les deux courants. Les effets favorables de la libéralisation financière sur la croissance économique et les effets défavorables des crises financières et notamment bancaires sont souvent intiment liées à travers l'existence de cycle financier. L'hypothèse centrale est que la libéralisation accroît l'instabilité financière et que c'est cette relation négative entre les deux phénomènes qui réduit l'apport favorable de la libéralisation sur la croissance. Plusieurs arguments théoriques sont présentés à l'appui de ces relations liant la libéralisation financière, l'instabilité et la croissance, qui sont ensuite testés avec succès sur un échantillon d'une vingtaine de pays « en développement » durant la période (1980-2002). Cette analyse montre qu'une politique de libéralisation financière, destinée à promouvoir le développement financier et la croissance, ne doit pas se faire dans n'importe quel environnement économique et institutionnel et que par delà le respect de ces règles, rarement effectif, ne garantissent pas de pouvoir assurer un contrôle complet de la libéralisation financière ce qui explique a priori la supériorité des effets négatifs de la libéralisation financière dans ce travail.Libéralisation financière, croissance, instabilité financière, pays en développement, panel, GMM

    Couplage ou découplage ? Une analyse de la corrélation des cycles entre pays.

    Get PDF
    Un fort ralentissement de la croissance américaine affecterait la zone euro car la croissance économique de cette dernière reste assez largement corrélée avec celle des États-Unis.Synchronisation des cycles internationaux, modèles à facteurs.

    Agriculture mondiale et européenne : défis du XXIe siècle

    Get PDF
    L’agriculture mondiale est parvenue, au cours des décennies passées, à nourrir une population mondiale en forte croissance ; elle a également fourni des quantités croissantes de matières premières industrielles. Mais, alors même que l’essor de la population mondiale ralentit, l’augmentation de la production agricole soulève, dans la plupart des régions du monde, des difficultés, liées à la manière dont les hausses des volumes ont été obtenues – mise en culture de terres nouvelles prises sur les milieux naturels sauvages, notamment la forêt, intensification de l’usage des intrants (eau, engrais minéraux, pesticides), et des prélèvements sur les ressources halieutiques, etc. Dans un contexte dominé par le changement climatique, la dégradation de l’environnement naturel, la perte de biodiversité, et la raréfaction de certaines ressources, notamment fossiles, l’agriculture mondiale est confrontée à de nombreux défis. Elle devra, au cours des prochaines décennies, améliorer, en quantité et en qualité, l’offre alimentaire, tout en fournissant des matières premières industrielles, et en réduisant sa pression sur l’environnement naturel. Les politiques agricoles doivent, pour ce faire, être infléchies partout dans le monde, qu’il s’agisse de celles menées dans les pays en développement, des politiques de libéralisation des échanges internationaux au sein de l’OMC, ou de la Politique agricole commune (PAC), dont la réforme est actuellement discutée
    • …
    corecore