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    METAROUTE - Gestion de la qualité des données du repérage spatial et de la géométrie des axes routiers

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    Le système d’information de la route, anciennement appelé banque de données routières, repose principalement sur un système de repérage linéaire : le système de repérage spatial de base (SRB). Alors que la plupart des systèmes d’information géographique (SIG) reposent sur un système de repérage planaire, basé sur des coordonnées nationales, il est indispensable de faire cohabiter ces deux vues de l’espace. Les projets SYRROU et AGRAM ont montré la complémentarité des deux systèmes de repérage et recommandé une meilleure intégration des différentes méthodes d’acquisition de données spatiales et des différentes sources d’information géographique. Face à la multitude des sources d’information géographique et à la nature intrinsèque des deux modes de repérage, il s’est avéré nécessaire de mieux documenter les données routières de façon à connaître leur origine et leur qualité. Cette documentation s’appuie sur le principe des métadonnées qui sont littéralement des données relatives à des données. Elles permettent ainsi à l’utilisateur d’avoir un aperçu sur le contenu d’un jeu de données. Le projet METAROUTE a donc défini les types d’information nécessaires à la description de l’origine et de la qualité des données du repérage spatial et de la géométrie des axes de route. Il comprend en particulier une analyse des besoins en matière de métadonnées pour la gestion de la qualité du repérage spatial des données routières. Il propose un catalogue de métadonnées spécifique pour la documentation des caractéristiques du repérage spatial des données routières, et en particulier de la géométrie des axes de route. Parmi les éléments de qualité du repérage spatial, la précision de la position est la caractéristique principale et elle fait l’objet d’une définition plus détaillée. Par analogie à la mensuration officielle, on propose des classes de précision (planimétrique et altimétrique) ou niveaux de tolérance. L’avantage de cette classification réside dans une interprétation facilitée pour l’utilisateur et permet aisément de comparer des jeux de données de sources différentes. L’évaluation de la qualité est faite par les niveaux de tolérance du repérage des objets de la route et du système de repérage spatial. Lors de la combinaison d’informations de qualités différentes, on propose de qualifier le résultat de la transformation en prenant le niveau de tolérance le plus bas

    Mise en oeuvre d'un catalogue de données géographiques

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    Le développement des SIG induit un développement des échanges de données géographiques, soit en interne aux services (au sein d'une même DDE, par exemple), soit entre différents services sur un même territoire. Dans le cadre de ces échanges, le besoin de disposer d'un catalogue des données disponibles se fait jour.Le présent document vise à aider à la mise en oeuvre d'un catalogue, dans les services déconcentrés de l'Equipement. Il ne prétend pas donner La Solution à tous les problèmes que pose la mise en oeuvre d'un catalogue de données géographique (le manque de recul sur ce thème étant un élément d'excuse), mais devrait plus modestement aider dans cette démarche

    Qualité d'une base de données géographique : concepts et terminologie

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    Bulletin d'information de l'IGN N°67Ce rapport définit les concepts et la terminologie utilisés pour décrire la qualité d'une base de données géographique vectorielle (BDG) . Il a été rédigé pour les BDG produites par I'IGN (principalement la BDTOPO®, la BDCARTO® et GÉOROUTE®) , mais peut s'appliquer à d'autres BDG similaires. Il a été rédigé à I ' IGN dans le cadre du projet Qualité des Bases de Données entre 1994 et 199

    Ouverture et standardisation des données spatiales publiques Pratiques, tendances et enjeux

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    International audienc

    Eléments pour une définition des séries cartographiques

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    International audienceEven though they constitute the largest proportion of map production since the mid-19th century, map series have been seriously neglected by libraries for several decades. In recent years, technological progress has allowed us to develop data bases that can satisfactorily handle these documents. However, cataloging is not an easy task in that a description of all sheets in a series does not suffice for describing the series itself. Without attempting to exhaust this topic, the article offers some indications to help with defining map series.A pesar de que las series cartográficas constituyen la mayor parte de la producción cartográfica desde mediados del siglo XIX, la biblioteconomía dejó de utilizarlas durante numerosas décadas, debido a que las herramientas informáticas disponibles hasta hace muy poco no cumplían con las expectativas de los bibliotecarios. Este contexto se encuentra actualmente en un proceso de cambio. Sin embargo, la catalogación de las series cartográficas no se lleva a cabo de manera lógica, en la medida en que la descripción de todas las hojas de una misma serie no alcanza para describir la serie completa. Sin pretensiones de exhaustividad, este artículo propone algunos elementos que permiten su definición.Alors qu'elles constituent la plus grande part de la production cartographique depuis le milieu du XIX e siècle, les séries de cartes ont été fortement délaissées par la bibliothéconomie pendant plusieurs décennies, car les outils informatiques disponibles jusqu'à une période récente ne correspondaient pas aux attentes des cartothécaires. Ce contexte est en train de changer. Le catalogage des séries cartographiques ne va cependant pas de soi dans la mesure où la description de la totalité des feuilles d'une série n'est pas suffisante pour décrire la série elle-même. Sans prétendre épuiser le sujet, cet article propose quelques éléments de définition. Abstract Even though they constitute the largest proportion of map production since the mid-19th century, map series have been seriously neglected by libraries for several decades. In recent years, technological progress has allowed us to develop data bases that can satisfactorily handle these documents. However, cataloging is not an easy task in that a description of all sheets in a series does not suffice for describing the series itself. Without attempting to exhaust this topic, the article offers some indications to help with defining map series. Resumen A pesar de que las series cartográficas constituyen la mayor parte de la producción cartográfica desde mediados del siglo XIX, la biblioteconomía dejó de utilizarlas durante numerosas décadas, debido a que las herramientas informáticas disponibles hasta hace muy poco no cumplían con las expectativas de los bibliotecarios. Este contexto se encuentra actualmente en un proceso de cambio. Sin embargo, la catalogación de las series cartográficas no se lleva a cabo de manera lógica, en la medida en que la descripción d

    Open data et crowdsourcing : Quelle place pour le géomaticien ?

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    International audienc

    De la toponymie traditionnelle à une choronymie totale

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    Eve africaine ? De l'origine des races aux racismes de l'origine.

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    Depuis une dizaine d'années, plusieurs théories sur les origines de l'homme moderne se sont fait jour. La version la plus répandue est celle de l'origine africaine, dite " Out of Africa " ou théorie de " l'Eve africaine ". Certes, il n'est pas nouveau qu'Adam et Eve, mais aussi Cham et Noé, prêtent leur figure à des théories sur le peuplement de l'Afrique ; ces mythes ont été très présents dans l'historiographie portant sur ce continent. Or, ils ont récemment connu des changements de signification qu'il n'est pas sans intérêt d'observer. Scientifique et idéologique, récurrent dans la vision afrocentriste de l'histoire, le thème de l'origine africaine est également exploité par le racisme anti-noir, notamment celui de l'extrême-droite en Europe et aux Etats-Unis. Eve a deux visages  mais c'est précisément le propre des mythes d'autoriser des sens multiples, quelquefois opposés. Ces deux conceptions se réfèrent aux mêmes travaux, ceux des anthropologues, des paléontologues et des généticiens qui, depuis des décennies, ont mis au jour et analysé les traces de notre préhistoire lointaine. Comment de telles divergences d'interprétation ont-elles été possibles ? Ces contradictions ne sont pas nouvelles. L'histoire des sciences illustre le fait que les idées sur les origines de l'homme, en plus d'être éminemment passionnelles parce que d'ordre ontologique, sont étroitement liées aux fabrications idéologiques. Dans un siècle voué aux affrontements des grands ensembles mondiaux, ces idées ont été politiques parce que ces affrontements se sont superposés à une conception raciale des rapports de domination
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