20,864 research outputs found

    Aging and Health: An Examination of Differences between Older Aboriginal and non-Aboriginal People

    Get PDF
    The Aboriginal population in Canada, much younger than the general population, has experienced a trend towards aging over the past decade. Using data from the 2001 Aboriginal Peoples Survey (APS) and the 2000/2001 Canadian Community Health Survey (CCHS), this article examines differences in health status and the determinants of health and health care use between the 55-and-older Aboriginal population and non-Aboriginal population. The results show that the older Aboriginal population is unhealthier than the non-Aboriginal population across all age groups; differences in health status, however, appear to converge as age increases. Among those aged 55 to 64, 7 per cent of the Aboriginal population report three or more chronic conditions compared with 2 per cent of the non-Aboriginal population. Yet, among those aged 75 and older, 51 per cent of the Aboriginal population report three or more chronic conditions in comparison with 23 per cent of the non-Aboriginal population.Aboriginal people, health status, health care use

    Nieuw rechts en de verzorgingsstaat

    Get PDF
    Volgens veel wetenschappers onderscheiden nieuw-rechtse populistische partijen zich van andere partijen door hun nadruk op een autoritaire culturele agenda. Als zelfverklaarde verdedigers van de belangen van de autochtone ‘gewone man’ nemen nieuw-rechtse partijen echter ook stelling in kwesties rond de verzorgingsstaat. In dit artikel onderzoeken we of de opvattingen over de verzorgingsstaat die door nieuw-rechtse partijen worden geuit ook kenmerkend zijn voor de autochtone aan‐ hangers van deze partijen

    Exploring Instructional Strategies in an Indigenous Education Course in Initial Teacher Education

    Get PDF
    This paper explores the different approaches and instructional strategies of five instructors who have taught a mandatory Aboriginal Education course in a Canadian teacher education program. The findings are drawn from a broader study that examined the impact of self-reflective practices in Indigenous Education. Through semi-structured interviews, five course instructors shared what they believed to be meaningful instructional strategies in the course. Although each instructor shared their personal approach to the course, the four broad themes of story, land, art, and reflection emerged from their examples. These are discussed in relation to what is reported in the literature about the approaches and instructional strategies of Indigenous Education course instructors (Aveling, 2006; Dion, 2007; McInnes, 2017); this expands the conversation on meaningful pedagogies for Indigenous Education courses in initial teacher education. Keywords: Indigenous Education; teacher education; instructional strategies; pedagogical practices. Cet article explore les diffĂ©rentes approches et stratĂ©gies pĂ©dagogiques de cinq instructeurs qui ont enseignĂ© un cours obligatoire d’éducation autochtone dans le cadre d’un programme de formation des enseignants au Canada. Les rĂ©sultats sont tirĂ©s d’une Ă©tude plus vaste ayant portĂ© sur l’impact des pratiques de rĂ©flexion personnelle en Ă©ducation autochtone. Cinq instructeurs ont partagĂ©, par des entrevues semi-structurĂ©es, ce qu’ils croyaient ĂȘtre des stratĂ©gies pĂ©dagogiques significatives pour le cours. MĂȘme si chaque instructeur a partagĂ© son approche personnelle au cours, quatre grands thĂšmes, soit le rĂ©cit, le territoire, l’art et la rĂ©flexion, sont tout de mĂȘme ressortis de leurs exemples. Ces thĂšmes font l’objet d’une discussion portant sur les approches et les stratĂ©gies pĂ©dagogiques des instructeurs d’éducation autochtone qui sont dĂ©crites dans la littĂ©rature (Aveling, 2006; Dion, 2007; McInnes, 2017). Cette discussion vient donc Ă©largir la conversation sur les pĂ©dagogies significatives pour les cours d’éducation autochtone offerts dans le cadre de la formation des enseignants. Mots clĂ©s : Ă©ducation autochtone; formation des enseignants; stratĂ©gies pĂ©dagogiques; pratiques pĂ©dagogique

    La mobilité ethnique intergénérationnelle des enfants de moins de cinq ans chez les populations autochtones, Canada, 1996 et 2001

    Get PDF
    GrĂące aux donnĂ©es provenant des recensements canadiens de 1996 et 2001, nous avons Ă©tudiĂ© la mobilitĂ© ethnique intergĂ©nĂ©rationnelle (la transmission ou non de l’identitĂ© ethnique d’un parent Ă  son enfant) chez les populations autochtones. Dans l’ensemble, les populations autochtones tirent profit de la mobilitĂ© ethnique intergĂ©nĂ©rationnelle au dĂ©triment de la population non autochtone. Un facteur dĂ©terminant de ce phĂ©nomĂšne est le type d’union au sein duquel vit l’enfant : union endogame ou exogame. Alors que la mobilitĂ© ethnique intergĂ©nĂ©rationnelle est presque inexistante au sein des unions endogames, il en est tout autrement lorsqu’il est question d’unions exogames. Pour le cas particulier de l’exogamie autochtone — non autochtone, l’identitĂ© ethnique d’un enfant est, le plus souvent, une identitĂ© autochtone. Ainsi, l’exogamie entre Autochtones et non-Autochtones profite beaucoup plus aux effectifs des populations autochtones qu’à ceux de la population non autochtone.Using Canadian census data from 1996 and 2001, this paper studies intergenerational ethnic mobility (transmission or non-transmission of ethnic identity from parent to child) among Aboriginal populations. Overall, intergenerational ethnic mobility benefits Aboriginal over non-Aboriginal populations. A determining factor for this phenomenon is the type of union within which a child lives, whether this is endogamous or exogamous. Intergenerational ethnic mobility is almost non-existent in endogamous unions, quite the opposite of exogamous unions. In the particular case of Aboriginal — Non-Aboriginal exogamy, the ethnic identity of the child is usually Aboriginal. As such, Aboriginal — Non-Aboriginal exogamy contributes positively to the population size of Aboriginal populations than on those of non-Aboriginal populations

    L’accroissement dĂ©mographique des groupes autochtones du Canada au XXe siĂšcle

    Get PDF
    AprĂšs avoir prĂ©sentĂ© les diffĂ©rents concepts qui dĂ©finissent les autochtones (Indien inscrit, Indien non inscrit, MĂ©tis et Inuit), les auteurs examinent la distribution gĂ©ographique des populations autochtones en 1981, et leur accroissement depuis 1901. L’évolution de la structure par Ăąge de certains groupes autochtones est ensuite prĂ©sentĂ©e et comparĂ©e Ă  celle de la population canadienne. Sont Ă©galement analysĂ©es les composantes de dĂ©volution des groupes autochtones, soit la fĂ©conditĂ©, la mortalitĂ©, la migration et la mobilitĂ© ethnique et linguistique. On remarque Ă  partir des rĂ©sultats obtenus que les populations autochtones ont une croissance bien supĂ©rieure Ă  celle qui est observĂ©e pour l’ensemble de la population canadienne. Cette situation s’explique principalement par une surfĂ©conditĂ© dont l’importance tend cependant Ă  dĂ©croĂźtre.After presenting the various concepts defining the native peoples (registered and non registered Indians, Metis, Inuit), the authors examine the geographical distribution of the native populations in 1981, and their growth since 1901. The evolution of the age structure is also considered, and compared to the one observed for the Canadian population as a whole. Finally, the components of demographic growth (fertility, mortality, migration, ethnic and linguistic mobility) are analysed. Results show that the growth rate of the native populations is much higher than the rate of the total Canadian population. This is mainly due to higher, but rapidly declining, fertility rates.DespuĂ©s de haber presentado los diferentes conceptos que definen los autĂłctonos (indĂ­gena inscripto, indĂ­gena non inscripto, mestizo y inuit) los autores examinan la distribuciĂłn geogrĂĄfica de las poblaciones autĂłctonas en 1981 y su crecimiento desde 1901. La evoluciĂłn de la estructura, por edad, de ciertos grupos autĂłctonos es luego presentada y comparada con lĂĄ de la poblaciĂłn canadiense. Tambien se analizan los componentes de la evoluciĂłn de los grupos autĂłctonos, sea la fecundidad, la mortalidad, la migraciĂłn y la movilidad Ă©tnica y linguĂ­stica. Se observa, a partir de resultados obtenidos que las poblaciones autĂłctonas tienen un crecimiento superior a aquel que es observado por el conjunto de la poblaciĂłn total canadiense. Esta situaciĂłn se explica por una gran fecundidad cuya importancia tiende sin embargo a descrecer

    Les sources des droits ancestraux des peuples autochtones

    Get PDF
    Dans la prĂ©sente Ă©tude, l'auteur se penche sur diffĂ©rentes questions relatives aux sources des droits ancestraux des peuples autochtones. Il relĂšve d'abord l'incertitude persistante quant Ă  la source de ces droits au QuĂ©bec. Il Ă©tudie ensuite la jurisprudence de la Cour suprĂȘme du Canada dans le but de circonscrire le rĂŽle jouĂ© par les rĂ©gimes juridiques autochtones d'origine prĂ©coloniale dans la dĂ©finition des droits ancestraux reconnus par la common law et l'article 35 (1) de la Loi constitutionnelle de 1982. Il ressort de son analyse que, mĂȘme si la plus haute juridiction canadienne affirme que les droits ancestraux tirent leur origine en partie des rĂ©gimes autochtones prĂ©existants, elle n'applique pas le principe de continuitĂ© selon lequel le droit Ă©tatique ne ferait que maintenir en vigueur le droit autochtone prĂ©colonial. Ainsi, lorsqu'elle dĂ©finit le contenu des droits ancestraux et leurs conditions d'existence, la Cour suprĂȘme ne donne pas simplement effet aux prescriptions du droit coutumier autochtone, mais elle Ă©labore plutĂŽt un ensemble de rĂšgles qu'elle prĂ©sente comme le produit d'un mĂ©tissage des cultures juridiques occidentale et autochtone. En revanche, le groupe autochtone Ă©tant titulaire lui-mĂȘme d'un droit ancestral, il lui revient d'en Ă©tablir les conditions et modalitĂ©s d'exercice. Le droit autochtone issu de cette autonomie normative constitue la source exclusive des droits individuels des membres de la communautĂ©. Si le groupe exerce ainsi un pouvoir considĂ©rable sur l'individu, il ne peut aller Ă  l'encontre des droits fondamentaux de la personne qui sont une dimension essentielle de l'organisation juridique Ă©tatique.The author examines various issues pertaining to the sources of aboriginal rights in Canada. Professor Otis first underlines the persistent uncertainty regarding the source of these rights in Quebec. He then reviews Supreme Court case law in order to ascertain the role played by preexisting aboriginal legal systems for defining the nature and content of a boriginal righ ts recognized a t common la w and under section 35(1) of the Constitution Act, 1982. Based on this analysis, the author takes the view that the Court does not apply the doctrine of continuity by which the state's legal system would serve only to incorporate aboriginal laws derived from pre-colonial aboriginal legal systems. Instead of defining aboriginal rights in terms of aboriginal customs and laws, the Court purports to develop a body of "intersocietal" law depicted as a crossbreeding of western and aboriginal legal cultures. On the other hand, because aboriginal rights are held communally, individual interests regarding access to and exercise of such rights within the community will be derived solely from aboriginal laws. The author argues, however, that the group's normative autonomy is not unlimited since it cannot be used in a way that would infringe upon an aboriginal person's basic rights or freedoms
    • 

    corecore