7 research outputs found

    Information And Communications Technology: A Comparative View Of Technological Determinism

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    Misinterpretations by techno-centric managers hold that advances in information and communications technologies (ICT) are the prime causal factors in future business growth and that technology is an independent variable from which operational performance can be predicted. Technology pundits and economic futurists are convinced that the ‘new economy’ has indeed become reality as competitive pressures dramatically rise as a result of the increasing interdependencies forming among competing nations and firms. This competition has been made possible, in part, by the commercially viable World Wide Web and its superstructure known as the Internet. This paper scrutinizes the invaluable role played by information and communications technologies and the technological determinism they propagate

    IT-enabled Process Innovation: A Literature Review

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    The importance of Information Technology (IT) is growing, and in a hypercompetitive market IT must be used as a strategic asset for companies to succeed. In order to gain strategic benefits from IT, companies need to be innovative when deploying IT. This can be achieved by reengineering business processes to take advantage of the possibilities IT provides. In 1993 Thomas H. Davenport presented a framework describing the role of IT in process innovation . Based on this framework, the purpose of this paper is to conduct a literature review to answer the following research question: What kind of opportunities does IT provide for process innovation? . Davenport\u27s framework is used as an analytical lens to review articles from the top 20 IS and management journals. The paper provides an overview and an in-depth analysis of the literature on IT-enabled process innovation and suggests avenues for future research as well as recommendations for practitioners. Our analyses reveal five distinct themes related to opportunities for IT-enabled process innovation, all of which offer guidance to practitioners and highlight gaps in our current knowledge about how to leverage IT for innovation purposes

    Information technology capability within small-medium enterprises

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    The study presented in this thesis investigates the influence of IT capability on the relationship between IT expenditures and long term business performance. To do so, the Resource Based View (RBV) has been used as the theoretical framework, and, within such a framework, the concept of sustainable competitive advantage has been used as a point of reference. IT capability, a term often mentioned in the scientific literature dealing with the applications of RBV in the IS field, has been the subject of this study. Within the IS discipline, IT capability is perceived to have considerable influence on the effect of IT expenditure on the long term results of an organization. However, few studies have identified the extent of this influence and indeed the very definition of IT capability has been so ambiguous that no measurement instrument has been developed and universally accepted. In this thesis we recognized this lack and carried out a multi-method study, to first identify a comprehensive definition of IT capability and then to develop and validate a measure of IT capability and evaluate its role on business performance. The empirical study was performed within the context of small-medium enterprises (SMEs),which implies a lower level of organizational complexity but in order to reflect the reality ofmodern business all such organisations were involved in inter-organisational networks within industrial aggregations in Italy. Eleven SMEs were involved in a multiple case study, and 77 SMEs (belonging to the textile and the mechanical industrial districts in Italy) were surveyed and these results analysed and aggregated to form some conclusions with respect to the meaning and influence of IT capability. The study was conducted over a number of stages to allow an initial definition of IT capability to be evaluated within a case study context and then expanded prior to the main survey. As such the literature review and analysis of previous studies was carried out in two different time periods as the scope of the study was refined

    La contribution de l'usage des TI au triple bilan de l'organisation

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    Depuis plusieurs annĂ©es, le dĂ©veloppement durable et la responsabilitĂ© sociĂ©tale sont des sujets qui attirent beaucoup d'attention. MalgrĂ© l'intĂ©rĂȘt qu'ils suscitent, encore peu de recherches ont abordĂ© le rĂŽle que les technologies de l'information (TI) peuvent y jouer. Les Ă©tudes recensĂ©es abordent principalement les aspects nĂ©gatifs associĂ©s aux technologies (p. ex. la consommation Ă©nergĂ©tique, la pollution) au lieu de les considĂ©rer comme piste de solution aux enjeux associĂ©s Ă  la durabilitĂ©. De plus, ces travaux se limitent gĂ©nĂ©ralement aux aspects Ă©cologiques de la durabilitĂ© plutĂŽt que de la considĂ©rer dans son sens large. Face Ă  ces lacunes, cette recherche vise Ă  rĂ©pondre Ă  deux objectifs : (1) dĂ©couvrir les diffĂ©rentes maniĂšres dont l'usage des TI peut contribuer au triple bilan d'une organisation; et (2) identifier les principales conditions Ă  mĂȘme d'influencer cette contribution. Pour atteindre ces objectifs, ce mĂ©moire prĂ©sente les rĂ©sultats d'une Ă©tude exploratoire examinant huit solutions soutenues par les TI qui abordent des aspects associĂ©s Ă  la durabilitĂ©. Les concepts thĂ©oriques avancĂ©s sont le fruit d'une analyse inductive menĂ©e dans l'intention de dĂ©velopper la thĂ©orie Ă  partir des donnĂ©es sur un sujet d'actualitĂ©, pertinent et naissant. Suivant une approche qualitative reposant sur l'Ă©tude de cas et certaines procĂ©dures empruntĂ©es Ă  la thĂ©orisation ancrĂ©e, cette recherche vise Ă  contribuer au dĂ©veloppement thĂ©orique sur la valorisation des TI en Ă©laborant une sĂ©rie de propositions Ă  partir d'observations dĂ©gagĂ©es d'exemples concrets tirĂ©s de la pratique. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les rĂ©sultats de ce mĂ©moire indiquent que l'usage des TI peut avoir une contribution bĂ©nĂ©fique au triple bilan de l'organisation par l'entremise de ses effets sur les processus organisationnels. Les rĂ©sultats indiquent Ă©galement que les principales conditions ayant une influence sur cette contribution sont : (1) la poursuite d'objectifs durables dĂ©libĂ©rĂ©s et cohĂ©rents avec la stratĂ©gie d'affaires; (2) la prĂ©sence de ressources complĂ©mentaires; (3) l'accĂšs aux ressources d'un tiers; et (4) la prĂ©sence de mĂ©canismes pour encadrer l'utilisation de la solution. Nos rĂ©sultats dĂ©montrent que les TI peuvent effectivement reprĂ©senter une piste de solution pour les entreprises qui cherchent Ă  amĂ©liorer leur triple bilan et peuvent servir de point de dĂ©part pour guider la recherche future dans ce domaine.\ud ______________________________________________________________________________ \ud MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : durabilitĂ©, responsabilitĂ© sociĂ©tale des entreprises, valorisation des TI, triple bila

    IngĂ©nierie et Architecture d’Entreprise et des SystĂšmes d’Information - Concepts, Fondements et MĂ©thodes

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    L'ingĂ©nierie des systĂšmes d'information s'est longtemps cantonnĂ©e Ă  la modĂ©lisation du produit (objet) qu'est le systĂšme d’information sans se prĂ©occuper des processus d'usage de ce systĂšme. Dans un environnement de plus en plus Ă©volutif, la modĂ©lisation du fonctionnement du systĂšme d’information au sein de l'entreprise me semble primordiale. Pendant les deux derniĂšres dĂ©cennies, les pratiques de management, d’ingĂ©nierie et d’opĂ©ration ont subi des mutations profondes et multiformes. Nous devons tenir compte de ces mutations dans les recherches en ingĂ©nierie des systĂšmes d’information afin de produire des formalismes et des dĂ©marches mĂ©thodologiques qui sauront anticiper et satisfaire les nouveaux besoins, regroupĂ©s dans ce document sous quatre thĂšmes:1) Le systĂšme d’information est le lieu mĂȘme oĂč s’élabore la coordination des actes et des informations sans laquelle une entreprise (et toute organisation), dans la diversitĂ© des mĂ©tiers et des compĂ©tences qu’elle met en Ɠuvre, ne peut exister que dans la mĂ©diocritĂ©. La comprĂ©hension des exigences de coopĂ©ration dans toutes ses dimensions (communication, coordination, collaboration) et le support que l’informatique peut et doit y apporter deviennent donc un sujet digne d’intĂ©rĂȘt pour les recherches en systĂšme d’information.2) Le paradigme de management des processus d’entreprise (BPM) est en forte opposition avec le dĂ©veloppement traditionnel des systĂšmes d’information qui, pendant plusieurs dĂ©cennies, a cristallisĂ© la division verticale des activitĂ©s des organisations et favorisĂ© ainsi la construction d’ülots d’information et d’applications. Cependant, les approches traditionnelles de modĂ©lisation de processus ne sont pas Ă  la hauteur des besoins d’ingĂ©nierie des processus dans ce contexte en constant changement, que ce dernier soit de nature contextuelle ou permanente. Nous avons donc besoin de formalismes (i) qui permettent non seulement de reprĂ©senter les processus d’entreprise et leurs liens avec les composants logiciels du systĂšme existant ou Ă  venir mais (ii) qui ont aussi l’aptitude Ă  reprĂ©senter la nature variable et/ou Ă©volutive (donc parfois Ă©minemment dĂ©cisionnelle) de ces processus.3) Les systĂšmes d’information continuent aujourd’hui de supporter les besoins classiques tels que l’automatisation et la coordination de la chaĂźne de production, l’amĂ©lioration de la qualitĂ© des produits et/ou services offerts. Cependant un nouveau rĂŽle leur est attribuĂ©. Il s’agit du potentiel offert par les systĂšmes d’information pour adopter un rĂŽle de support au service de la stratĂ©gie de l’entreprise. Les technologies de l’information, de la communication et de la connaissance se sont ainsi positionnĂ©es comme une ressource stratĂ©gique, support de la transformation organisationnelle voire comme levier du changement. Les modĂšles d’entreprise peuvent reprĂ©senter l’état actuel de l’organisation afin de comprendre, de disposer d’une reprĂ©sentation partagĂ©e, de mesurer les performances, et Ă©ventuellement d’identifier les dysfonctionnements. Ils permettent aussi de reprĂ©senter un Ă©tat futur souhaitĂ© afin de dĂ©finir une cible vers laquelle avancer par la mise en Ɠuvre des projets. L’entreprise Ă©tant en mouvement perpĂ©tuel, son Ă©volution fait partie de ses multiples dimensions. Nous avons donc besoin de reprĂ©senter, a minima, un Ă©tat futur et le chemin de transformation Ă  construire pour avancer vers cette cible. Cependant planifier/imaginer/se projeter vers une cible unique et, en supposant que l’on y arrive, croire qu’il puisse exister un seul chemin pour l’atteindre semble irrĂ©aliste. Nous devons donc proposer des formalismes qui permettront de spĂ©cifier des scenarii Ă  la fois pour des cibles Ă  atteindre et pour des chemins Ă  parcourir. Nous devons aussi dĂ©velopper des dĂ©marches mĂ©thodologiques pour guider de maniĂšre systĂ©matique la construction de ces modĂšles d’entreprise et la rationalitĂ© sous-jacente.4) En moins de cinquante ans, le propos du systĂšme d’information a Ă©voluĂ© et s’est complexifiĂ©. Aujourd’hui, le systĂšme d’information doit supporter non seulement les fonctions de support de maniĂšre isolĂ©e et en silos (1970-1990), et les activitĂ©s appartenant Ă  la chaĂźne de valeur [Porter, 1985] de l’entreprise (1980-2000) mais aussi les activitĂ©s de contrĂŽle, de pilotage, de planification stratĂ©gique ainsi que la cohĂ©rence et l’harmonie de l’ensemble des processus liĂ©s aux activitĂ©s mĂ©tier (2000-201x), en un mot les activitĂ©s de management stratĂ©gique et de gouvernance d’entreprise. La gouvernance d'entreprise est l'ensemble des processus, rĂ©glementations, lois et institutions influant la maniĂšre dont l'entreprise est dirigĂ©e, administrĂ©e et contrĂŽlĂ©e. Ces processus qui produisent des ‘dĂ©cisions’ en guise de ‘produit’ ont autant besoin d’ĂȘtre instrumentalisĂ©s par les systĂšmes d’information que les processus de nature plus opĂ©rationnels de l’entreprise. De mĂȘme, ces processus stratĂ©giques (dits aussi ‘de dĂ©veloppement’) nĂ©cessitent d’avoir recours Ă  des formalismes de reprĂ©sentation qui sont trĂšs loin, en pouvoir d’expression, des notations largement adoptĂ©es ces derniĂšres annĂ©es pour la reprĂ©sentation des processus d’entreprise.Ainsi, il semble peu judicieux de vouloir (ou penser pouvoir) isoler, pendant sa construction, l’objet “systĂšme d’information” de son environnement d’exĂ©cution. Si le sens donnĂ© Ă  l’information dĂ©pend de la personne qui la reçoit, ce sens ne peut ĂȘtre entiĂšrement capturĂ© dans le systĂšme technique. Il sera plutĂŽt apprĂ©hendĂ© comme une composante essentielle d’un systĂšme socio-technique incluant les usagers du systĂšme d’information technologisĂ©, autrement dit, les acteurs agissant de l’entreprise. De mon point de vue, ce systĂšme socio-technique qui mĂ©rite l’intĂ©rĂȘt scientifique de notre discipline est l’entreprise. Les recherches que j’ai rĂ©alisĂ©es, animĂ©es ou supervisĂ©es , et qui sont structurĂ©es en quatre thĂšmes dans ce document, visent Ă  rĂ©soudre les problĂšmes liĂ©s aux contextes de l'usage (l'entreprise et son environnement) des systĂšmes d’information. Le point discriminant de ma recherche est l'intĂ©rĂȘt que je porte Ă  la capacitĂ© de reprĂ©sentation :(i) de l'Ă©volutivitĂ© et de la flexibilitĂ© des processus d'entreprise en particulier de ceux supportĂ©s par un systĂšme logiciel, d’un point de vue microscopique (modĂšle d’un processus) et macroscopique (reprĂ©sentation et configuration d’un rĂ©seau de processus) : thĂšme 2(ii) du systĂšme d’entreprise dans toutes ses dimensions (stratĂ©gie, organisation des processus, systĂšme d’information et changement) : thĂšme 3Pour composer avec ces motivations, il fallait :(iii) s’intĂ©resser Ă  la nature mĂȘme du travail coopĂ©ratif et Ă  l’intentionnalitĂ© des acteurs agissant afin d’identifier et/ou proposer des formalismes appropriĂ©s pour les dĂ©crire et les comprendre : thĂšme 1(iv) se questionner aussi sur les processus de management dont le rĂŽle est de surveiller, mesurer, piloter l’entreprise afin de leur apporter le soutien qu’ils mĂ©ritent du systĂšme d’information : thĂšme

    Modelling the assimilation and value of sensor information systems in data centres

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    Sensor Information Systems (SIS) refer to any IS that utilises sensor(s) that are directly or indirectly connected to other sensors or sensor networks in order to automate, inform and/or transform a given task or process or appliance. SIS are promoted as one of the best practices to overcome critical data centres issues such as inefficiency of Information Technology (IT) infrastructure usage, rising cost of operations, and the consumption and efficiency of energy. A review of the sensor, IS, and data centre literature shows that there is a dearth of theory driven empirical research on the utilisation of SIS in data centres, the factors that explain variations in applying SIS in data centres and the value of SIS use to data centres. The aim of this study is therefore to address the gap in the current literature and answer research questions. The research was conducted through a mixed method approach consisting of a literature review, exploratory case studies (pilot study) and large scale survey. Drawing from several theories of innovation adoption and value, and the five exploratory case studies, an integrative theoretical framework, which we call as TOIN (Technology, Organisation, Institutional and Natural Environment), was proposed to investigate the factors that explain the variation in the assimilation of SIS and the impact of SIS use on data centre’s operational and environmental performance. A series of hypotheses are developed by linking the TOIN factors to SIS assimilation and value in a two order-based model. The TOIN framework is tested using Partial Least Squares (PLS) path modelling and data collected from a global survey of 205 data centres. The findings indicate that SIS compatibility, perceived SIS risk, green IT orientation, and normative pressure directly influence the level of SIS usage among data centres. In addition, normative pressure, energy pressure, and natural environmental pressure indirectly affect the assimilation of SIS through influencing the organizational conditions for SIS use. These results are mostly sensitive to differences in data centre characteristics including age and type of data centre. Further, the test of the second order model show that the level of actual usage as well as the level of SIS mangers’ knowledge affect the operational and environmental performance of data centre operations including the facility, cooling and power, and computing platforms. The research represents one of the first studies on the use and value of SIS in general and in the context of data centre environment in particular. It makes an original contribution by proposing and validating the TOIN framework which can be used as a theoretical foundation for future and related studies. It also contributes original knowledge regarding how data centres are using SIS to tackle some of the operational, economic and environmental challenges. Thus, the research adds to the body of knowledge on intelligent systems, infrastructure management, green IS and energy informatics. Furthermore, the research extends the current innovation theories by incorporating the natural environment to study the technology use and value and shows the significance of natural environment considerations on organizations’ activities
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