17 research outputs found
Voices From the Congo Basin: Incorporating the Perspectives of Local Stakeholders for Improved REDD Design
Presents the concerns of the Congo Basin's local and indigenous communities, community NGOs, and parliament members over the design and implementation of Reduced Emissions from Deforestation and Forest Degradation such as inequitable revenue distribution
La terre des communautés 'autochtones' et 'vulnérables' du Cameroun : Une analyse socio-anthropologique et juridique à partir du cas des Baka, Bagyeli et Mbororo, en vue d'une recherche d'approches de gestion inclusive du foncier
La gestion inclusive des forêts d'Afrique centrale. Passer de la participation au partage des pouvoirs
Ce chapitre rend compte, à partir d'une étude de cas, d'un aspect de la gestion participative des forêts communautaires dans ce qu'elle permet ou non d'améliorer les rapports sociaux et les conditions de vie des populations. On constate que cette gestion relève de procédures et de mises en oeuvre complexes et inadaptées aux modes d'action – habitus et traditions – des populations. L'article s'appuie à la fois sur une revue critique de la littérature sur les forêts communautaires en Afrique centrale, et au Cameroun en particulier, ainsi que sur des données empiriques recueillies par observations et entretiens réalisés sur le site de Mindourou auprès des représentants des communautés villageoises, des campements baka, des comités riverains, des comités paysans-forêts, des autorités locales, des membres du conseil municipal et auprès des représentants de l'entreprise forestière, sur les thèmes de l'appropriation privative des terres agricoles, du partage du territoire, de la gestion et de la surveillance des forêts6. À travers sa revue de littérature, ce chapitre re-convoque un texte de Karl Marx sur la critique de la loi sur le vol des bois de 1842, qui, au-delà des travaux sur les commons de Elinor Ostrom qui ont permis d'envisager des alternatives entre la gestion étatique et la loi du marché en faveur des sociétés civiles dans la gestion des ressources naturelles, interroge d'une autre façon la notion de partage et de biens communs, tout en invitant les États à réinvestir leur statut souverain. Entre l'enclosure que représente la concession forestière, le droit des villageois et celui désormais spécifique des peuples autochtones, ce chapitre interroge la nécessité de repenser, entre connaissance sociologique des pratiques au quotidien et réflexion sur la portée d'un droit utile, un espace de développement commun. (Résumé d'auteur
Does REDD+ policy process advance free prior and informed consent's agenda in the Congo Basin countries?
Les communs en milieu forestier : un processus en cours en Afrique Centrale ?
Il s'agit d'une ébauche de réflexion sur un processus en cours en Afrique centrale sur l'émergence des communs. Pourquoi l'analyse juridique ou les précédentes analyses ne perçoivent pas cette 'réalité émergente' ? Comment cette approche procède pour renouveler l'analyse du régime des droits forestiers (foncier, foresterie communautaire, exploitation, usage, etc.) Trois sujets ou terrains pour illustrer les intuitions et hypothèses – L'institutionnalisation de la cartographie participative – Les espaces socialement fonctionnels à Mindourou à l'est du Cameroun – Les forêts communautaires en RD
Réformer, écrire ou croire? La foi dans le droit foncier. Livre 1er : "La Genèse", Chapitre 1er , 1 er Verset: "Au commencement…"……mais qu'y a-t-il ou que doit-il y avoir vraiment?
Le partenariat dans le recherche au service de la construction d'une nouvelle et réelle communauté de vie avec les peuples autochtones
Globalement : comment travailler sur la question autochtone ? Le contexte a changé : reconnaissance des droits y compris CLIP et autodétermination, compétence autochtone acquise, maîtrisée et indigénisée. Comment travailler dans ce contexte ? comment renouveler son métier dans ce contexte ? quelle doit être la forme idoine de notre métier dans ce nouveau contexte ? hypothèse : notre métier ne peut plus être le même dans ce contexte. Il s'agit ici de discuter du travail des non-autochtones. La même question devrait aussi être posée pour les autochtones. Comment devons-nous travailler entre nous non-autochtones sur la question autochtone ? Comment devons-nous travailler nous non-autochtones avec les autochtones sur la question autochtone ? On devrait considérer que nous non-autochtones devrions être a minima décolonisés. Il y a dans les deux cas une exigence de " partenariat ". mais que ceci signifie-t-il ? on peut se rapprocher des déclarations des autochtones pour le savoir. Pourquoi ce rapprochement est-il nécessaire ? est-il indiscutable
La terre des communautés ‘autochtones’ et ‘vulnérables’ du Cameroun: Une analyse socio-anthropologique et juridique à partir du cas des Baka, Bagyeli et Mbororo, en vue d’une recherche d’approches de gestion inclusive du foncier
La forêt comme commun en Afrique Centrale: une lutte de subsistance dans la globalisation
REDD + as a tool to strengthen the state and foster human development. An abridged version of the stipulations of the REDD + law
REDD+ is currently perceived by local people (indigenous, rural and especially those who live in the forest) as a new threat to their own rights (such as "carbon cowboys" ). This leads them to definitively refuse REDD +, at least for as long as their specific rights are not suitably recognised in this new policy. REDD + is an even greater threat to local rights. By its very nature, it can basically complete the destruction of the state by permanently deleting the law, its relevance, function, character and spirit.Local people and States which are totally interconnected could exploit this new policy to better establish their rights. Under what conditions can they do this? Their determination is real and it is of great urgency. REDD + is applied primarily in tropical forests, habitat of vulnerable local populations, and nationals of countries or regions that are themselves fragile.At first glance, REDD + protects states and their people. Indeed, it includes the recognition of the rights of local people: the right to exploit forest resources, the right to secure their land, the right to equal access to the benefits of forest use by third parties, right to participate in decisions affecting forests that act as shelter, etc. It also imposes the improvement of these rights to ensure their existence and their effective and efficient implication. Finally, in the same vein, and as reflected in the Readiness Preparation Proposals (R- PPs), REDD + is a tool for synthesis, coordination, and consequently purification and restoration of the legitimacy of the law.However, by simply observing these conditions, REDD + will not sufficiently and satisfactorily protect states and local people. First of all, the laws are often poorly thought out and the articles are not properly framed and are therefore not really useful. The land tenure law in Cameroon is a good example. Secondly, these reforms are unfounded and therefore poorly constructed. They should rather be founded on redefined concepts like the consideration of NGOs as legislation and the use of contracts in the legal process. All these comments and suggestions would be meaningless if, ultimately, the very purpose of REDD + policy is not clearly defined. The main objective of REDD + is socio-political and not financial benefit nor environmental protection. Indeed, this objective is directed towards the strengthening of the rule of law and social justice. Cameroon is one of the countries that have decided to adopt this objective. Honestly, it is absolutely difficult for lawyers to institute the REDD + policy based on the above recommendations. However, doing this is not just a duty but a responsibility. The lawyer should not just be limited to existing theories of law but should go beyond that by creating a new general theory of law that is adaptable and useful to vulnerable forest people and counties
