HAL Portal Cnam (French National Conservatory for Arts and Crafts)
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    Développement d'indices de multimorbidité basés sur des troubles de santé mentale

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    International audienceObjectives: Numerous multimorbidity indexes exist, focused primarily or solely on somatic conditions. We developed mental multimorbidity indexes as epidemiological tools.Methods: Participants in the French NutriNet-Santé cohort (73.5% women; mean age = 59.5 ± 13.7 years; index development N = 20,000; index comparison N = 7,259) completed self-report questionnaires (2020–2022) regarding depressive symptoms, anxiety, eating disorders, insomnia, alcohol use disorders, cognitive difficulties, and the WHO Disability Assessment Schedule 2.0 (WHODAS 2.0). Using established cutoffs, participants were split into 2 groups for each condition. Tweedie regression analyses were performed with the 6 mental health conditions as exposures and the WHODAS 2.0 score as the outcome. Performance (C-index) and calibration of the indexes were compared with a simple count.Results: A general and a sex-specific mental multimorbidity indexes were developed; both were significantly associated with the disability score. The new indexes had slightly better predictive performance than simple counts of mental disorders.Conclusion: We developed mental multimorbidity indexes as epidemiological research tools. Future prospective studies could investigate their predictive potential regarding outcomes such as medication use, healthcare utilization, and quality of life.Objectifs : Il existe de nombreux indices de multimorbidité, axés principalement ou uniquement sur les conditions physiques. L’objectif de cette étude était de développer des indices de multimorbidité mentale en tant qu'outils épidémiologiques.Méthodes : Les participants de la cohorte française NutriNet-Santé (73,5 % de femmes ; âge moyen = 59,5 ± 13,7 ans ; élaboration de l'indice N = 20 000 ; comparaison de l'indice N = 7 259) ont rempli des questionnaires d'auto-évaluation (2020-2022) concernant les symptômes dépressifs, l'anxiété, les troubles du comportement alimentaire, l'insomnie, les troubles liés à la consommation d'alcool, les difficultés cognitives et le Disability Assessment Schedule 2.0 de l’Organisation Mondiale de Santé (WHODAS 2.0). À l'aide de seuils établis, les participants ont été répartis en deux groupes pour chaque condition. Des analyses de régression de Tweedie ont été effectuées avec les 6 troubles de santé mentale comme exposition et le score WHODAS 2.0 comme critère de jugement. Les performances (C-index) et la calibration des indices ont été comparés à un simple comptage des troubles.Résultats : Un indice de multimorbidité mentale général et un indice de multimorbidité mentale spécifique au sexe ont été développés ; les deux étaient significativement associés au score de WHODAS 2.0 dans le groupe de comparaison. Les nouveaux indices avaient une performance prédictive légèrement supérieure à celle d'un simple comptage des troubles de santé mentale.Conclusion : Nous avons développé des indices de multimorbidité mentale en tant qu'outils de recherche épidémiologique. De futures études prospectives pourraient étudier leur potentiel prédictif concernant la consommation de médicaments, l'utilisation des soins de santé et la qualité de vie

    Invalidation judiciaire de la déchéance du terme : incidence sur l'effet interruptif de prescription du commandement de saisie-vente

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    Zonas cinzentas: um objeto espacial?

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    International audienceLa zone grise, un objet spatial ?Cette contribution souhaite mettre en avant la dimension spatiale des zones grises du travail. Notion sociologique à part entière, la zone grise relève de l’instauration des conditions « du travailleur post-fordiste » pour reprendre la contribution de Donna Kesselman dans le dictionnaire sociologique consacré à l’étude des zones grises (Kesselman, 2019).Que signifie apporter une approche territoriale aux zones grises ? Chaque emploi revêt une dimension spatiale inhérent d’abord à sa localisation, parfois à sa vocation comme dans le cas de la livraison. La notion de zone grise, définie comme un espace de dérégulation sociale, questionne ainsi les nouveaux rapports entre travail et territoire. Pour reprendre le titre de cette contribution, la zone grise peut-elle être un objet spatial et apporter un éclairage supplémentaire à l’épistémologie de la zone grise ?Partant d’un niveau conceptuel de la zone grise, nous proposons d’analyser la territorialisation de la zone grise. En l’occurrence, le cas d’étude des Dark store est une bonne illustration de cette territorialisation de la zone grise. Si le Dark store n’existe plus aujourd’hui en France, l’analyse de cette expérimentation est riche d’enseignements. En effet, les Dark Store représente un objet de disruption qui ne peut pas être analysé de manière classique, précisément car son existence se plonge dans un écosystème de sa propre création. En proposant une lecture de l’écosystème des Dark store, nous souhaitons mettre en lumière les interactions entre un modèle de développement économiques issu des plateformes numériques avec l’espace public dans lequel s’insérait cette activité. En s’appuyant sur un « brouillage de frontières » sur la destination d’implantation d’une activité économique dans un pied d’immeuble, les Dark store ont été aussi une tentative de déroger au droit d’urbanisme. A travers l’étude des conflits et des contradictions qu’a généré cette implantation, c’est en quelque sorte une narration de la zone grise que nous proposons, un nouveau récit de tensions opérées par la matérialisation des zones grises sur la ville. Une approche conceptuelle des zones grises par la géographie La géographie en tant que discipline universitaire propose une lecture des réalités sociales en analysant les sociétés humaines d’un point de vue de leur spatialité. Autrement dit, la géographie étudie la matérialité des faits sociaux dans l’espace.Dans le cadre de l’objectivation des zones grises, nous questionnons les zones grises du travail dans leur rapport à l’espace social géographique dans laquelle elles agissent : les zones grises du travail ont-elles un impact sur les interactions entre des individus au sein d’un espace géographique ? Le propos est volontairement ciblé sur les répercussions des zones grises dans l’espace public ; les conséquences sur l’espace privé ne fait donc pas partie de notre analyse. Il est aisé de comprendre ce choix : l’exemple de la multitude de livreurs à vélo qui attendent sur le domaine public la livraison d’une commande, ou qui sont justement en train de la livrer, suggère que l’espace public est complétement intégré à la chaine de valeur de ce secteur économique. Le parallèle peut être fait avec le free floating : les trottinettes électriques, mises à disposition par des opérateurs privés, et envahissent l’espace public par la nécessité de parquer ces véhicules, relève de la même idée, même si une régulation publique a pu être mises en place afin d’encadrer le phénomène d’implantation. Ces aspects de « privatisation » de l’espace public par ces types d’emploi symbolisent les conséquences de « brouillage des frontières » des zones grises. Dans le contexte de désengagement des États, d’une défaillance du modèle fordiste et de nouvelles aspirations entrepreneuriales, un nouveau rapport social au travail s’organise. Comment les entreprises des plateformes numériques prennent part à ces nouveaux rapports de force ? S’il n’y a pas de réponse unique en la matière, il est aisé de comprendre que c’est un objet d’étude transdisciplinaire à analyser sous l’angle interdisciplinaire c’est-à-dire par l’approche juridique, économique, sociologique, politique et bien sûr géographique. C’est ici que la dimension territoriale prend toute son importance car la construction d’un territoire est le fait politique par excellence, c’est la matérialité du récit collectif et des choix idéologiques. Aussi, l’organisation des espaces, notamment celui des villes, se trouve directement impacté par ce nouveau récit opéré par les entreprises de l’économie numérique qui tentent dans la foulée de s’affranchir des règles antérieures.Les dark store, un cas d’école de la zone grise ?La filière économique des dark stores symbolise à la fois la dynamique de croissance rapide de l’économie des plateformes numériques mais illustre également une forme de matérialité de la zone grise dans sa propension à désorganiser les règles préexistantes.Reprenant des thèses de David Harvey sur les rapports sociaux dans l’espace et les questions urbaines qui en résultent, Nicolas Lebrun note une évolution de la centralité des espaces marchands ou s’exprime une optimisation des proximités géographiques : « On peut y voir une forme de libéralisation de l’urbanisme commercial, qui correspondrait spatialement au passage d’un régime d’accumulation standardisée à un régime d’accumulation flexible, qui a transformé la ville fordiste, pour reprendre une approche conceptuelle développée par D. Harvey (1987). Chez Harvey, l’impact de la flexibilité sur l’urbanisme se limite aux conséquences des évolutions structurelles du marché du travail. Mais, la flexibilité ne s’est en rien limitée, dans l’urbanisme commercial, aux seules évolutions des conditions d’emplois : les modalités de gestion du bâti commercial ont tout autant été marquées par une souplesse qui existait déjà depuis les années 1970 (…) » (Lebrun, 2023).Le recours à la notion de zone grise est utile pour mettre en évidence deux dynamiques. La première est d’ordre économique et concerne l’implantation d’une activité économique nouvelle dans la ville et ses impacts sur l’espace urbain.La seconde dynamique relève de la réponse politique et de l’action publique face à l’essor d’une activité non désirée, voire non souhaitable.C’est dans ce registre de réflexion que l’outil des zones grises met en exergue sa capacité à être tantôt utilisé dans une conception sociologique lorsque l’on évoque les figures émergentes et le lien de subordination numérique, tantôt dans une conception géographique lorsqu’il s’agit d’un brouillage d’usage de l’utilisation d’un pied d’immeuble passant d’une activité commerciale à celle d’entreposage. Cela contrevient à la fois au droit de l’urbanisme sur la destination des activités, mais provoque également un changement d’usage de l’espace public avec l’arrivée massive de livreurs à vélo qui « parquent » devant l’entrepôt en attendant leur paquet à livrer.« Les dark stores, par leur surface entièrement dédiée au stockage, sont assimilés à des entrepôts. Les Plans Locaux d’Urbanisme (PLU) définissent comme commerce, un local dont la surface de stockage n’excède pas 1/3 de sa surface. Dans le cas parisien, le PLU interdit les entrepôts dans les périmètres d’habitation. Le changement de destination d’un local, dans le cas présent, d’un commerce à un entrepôt, n’est possible qu'après déclaration préalable, suivant l’article R.421-17 du code de l’urbanisme. Or, les dark stores concentrent en moyenne un catalogue de 1 500 à 2 000 références de produits les plus courants, contre une offre de produits de 15 000 à 20 000 références, dans un drive piéton de type Carrefour. Cette activité, située au cœur des villes, n’accueille pas de clients et est exclusivement dédiée aux commandes en ligne via une application mobile. La fonction des dark stores en tant que commerce ou espace d'entrepôt fut le cœur d’une bataille juridique qui allait au-delà de la qualification d’une nature d’occupation du sol. » (Schirrer & al, 2024).Un autre élément peut être cité pour aller plus loin dans l’analyse : « La décomposition du temps de l‘activité des livreurs durant les quinze minutes exigées par le contrat de livraison, révèle paradoxalement que le temps de déplacement effectif ne représente que 50% du temps global de livraison[1]. Les livreurs passent donc la moitié du temps de la course à attendre sur l’espace public, d’abord concentrés autour des points de retrait, densifiant ensuite la circulation de deux-roues sur la voie publique, avant de générer de nombreux stationnements de courte durée au niveau des points de remise de livraison. » (Schirrer &al, 2024)Ainsi, le territoire est un élément central de l’analyse de l’uberisation en tant que support géographique de ces transformations. Les conséquences de ces nouvelles filières d’entreprises sur l’organisation des territoires sont nombreuses en créant de nouvelles formes de mobilité de biens et de personnes qui participent à un brouillage de frontières sur la vocation de l’espace public et privé. BibliographieKesselman D (2019), Travailleur post-fordiste, In Les zones grises et les relations de travail d’emploi : un dictionnaire sociologique, dirigé par Bureau MC, Corsani A, Giraud O et Rey F, édition Téséo, pp 589- 600Lebrun N., (2023), Appréhender la centralité marchande : les modes de centralité, Bulletin de la Société Géographique de Liège,2023,81(2-2023),pp. 57-74. hal-04402311Harvey, D. (1987). Flexible accumulation through urbanization. Antipode, 19(3), 260‑286.Schirrer M., Nahay E., Phan L., (2024) « La territorialisation du quick commerce à travers le cas des dark stores à Paris », Netcom [En ligne], 37-3/4 | 2023URL : http://journals.openedition.org/netcom/8888 ; DOI : https://doi.org/10.4000/y3i

    Analyse de l’activité des formateurs caisson: une approche ergotoxicologique pour caractériser les risques chimiques

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    International audienceThe instructors of Compartment Fire Behavior Training (CFBT), both professional and volunteer firefighters, are repeatedly exposed to chemical and thermal risks during simulation-based training sessions. This original exploratory research, rooted in an ergotoxicological approach, analyzes their actual work activity to better understand exposure situations, individual and collective preservation strategies, as well as the constraints and limitations of personal protective equipment (PPE). The findings highlight the complexity of multiple exposures and their health impacts on instructors. By emphasizing the importance of considering real work activities in the development of prevention measures, this study contributes to enhancing prevention and protection strategies aimed at improving safety for CFBT instructors.Les formateurs caisson, sapeurs-pompiers professionnels et volontaires, sont soumis à des expositions répétées aux risques chimiques et thermiques lors de formations par simulation. Cette recherche exploratoire originale, inscrite dans une démarche d’ergotoxicologie, analyse leur activité réelle pour mieux comprendre les situations d’expositions, les stratégies individuelles et collectives de préservation, ainsi que les contraintes et les limites des Equipement de Protection Individuelle (EPI). Les résultats révèlent la complexité des polyexpositions et les impacts sur la santé des formateurs. En mettant en avant la nécessité de considérer l’activité de travail réel dans l’élaboration des dispositifs de prévention, cette étude contribue à enrichir les perspectives de prévention et de protection pour développer la sécurité chez les formateurs caisson

    A machine learning approach reveals key determinants of the porcine fecal metabolome in the context of Salmonella colonization and/or deoxynivalenol intoxication

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    International audienceIn Europe, pork remains a constant concern, both for human health due to Salmonella circulation in production and for animal health due to the recurrent presence of mycotoxins such as deoxynivalenol in cereal-based diets. These foodborne hazards, often studied separately despite their frequent co-occurence in pigs, affect the host’s immune system and seric metabolome in distinct ways. Salmonella intestinal colonization has been shown to induce metabolic shifts in pig serum, while deoxynivalenol alters biochemical pathways in piglet serum. To complete serum metabolome aspects, we investigated the individual and combined impacts of these exogenous inputs on the fecal metabolome. Four exposure groups (10 pigs each) were set up: Sal-DON-, Sal-DON+, Sal+DON-, and Sal+DON+. From 6 weeks of age, DON+ pigs were fed daily with DON-contaminated feed (3 mg/kg of food, D-7). At 7 weeks of age, Sal+ pigs were orally inoculated one time with the monophasic variant of Salmonella Typhimurium (10^9 CFU/pig, D0). Pigs’ feces were sampled at D15. Non-targeted metabolomic profiling using liquid chromatography-tandem mass spectrometry revealed significant changes in negatively charged signals in response to these hazards, either separately or together. In a context of Salmonella colonization, the presence of DON didn’t bring visible effects on the metabolomic composition. In the context of DON exposure, Salmonella exerted an additional effect on metabolome. Metabolites characterizing each exposure specifically were extracted using a machine-learning approach based on sPLS-DA. Two metabolites associated with Sal-DON- and Sal-DON+ were retained with 35 and 8 hits assigned to them in MS, respectively. MS2 procedures enabled the identification of one of these two metabolites, a candidate biomarker, 3-ethynyl-1H-indole, specifically distinguishing Sal-DON- from the other groups. This study highlights the potential of fecal metabolome biomarkers for detecting Salmonella colonization and mycotoxin exposure in pigs, leading to innovative diagnostic strategies and better understanding of interactions in the gut

    Young Professionals Events at the 2024 European Microwave Week [Young Professionals]

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    International audienceProvides society information that may include news, reviews or technical notes that should be of interest to practitioners and researchers

    Consentir à ses conditions de travail ? Relire Burawoy au prisme des enjeux de santé

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    L'activité comme procès de travail et rapports entre sujets-en-activité

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    Innovation pédagogiqueAs part of a problematic that links the construction of activities and the construction of subjects-in-activity, this paper hypothesises that activity always takes place within the framework of social relationships that can be analysed using the logic of a work process. These relationships can only be understood and describedcan only be understood and described in the context of a subject-activity relationship. They are an internal construction of the activity. When these relationships are not conscious for the subjects concerned, which is often the case, we can speak of relationships-in-act. Relationships-in-act are relationships established de facto between subjects and the components of their physical and social environment.components of their physical and social environment in the course of their activity. They can be inferred from observation and analysis of ‘what subjects do with them’. They are the subject of social appreciations and discourses by subjects in terms of power relationships.S’inscrivant dans le cadre d’une problématique croisant construction des activités et construction des sujets-en-activité, le présent texte fait l’hypothèse que l’activité s’effectue toujours dans le cadre de rapports sociaux dont l’analyse peut se faire à partir de la logique d’un procès de travail. Ces rapports ne peuvent être appréhendés etdécrits que dans le cadre d’une relation d’implication sujets-activités. Ils sont une construction interne à l’activité. Quand ces rapports ne sont pas conscients pour les sujets concernés, ce qui est souvent le cas, on peut parler de rapports-en-acte. Les rapports-en-acte sont des rapports établis de fait entre les sujets et lescomposantes de leur environnement physique et social à l’occasion de leur activité. Ils sont inférables à partir de l’observation et de l’analyse de « ce que les sujets en font ». Ils font l’objet d’appréciations sociales et de discours des sujets en termes de rapports de force

    ROR : Research Organization Registry

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    The ROR (Research Organization Registry) is a permanent identifier created to identify research structures worldwide. It lists almost 100,000 structures, including 3,500 in France, and has recently extended its scope to include research units, facilitating the identification of affiliations in publications and interoperability between different systems. The ROR is integrated into various French tools and repositories, such as AuréHAL, IdRef and ScanR, and is used by databases such as OpenAlex and Zenodo. Its adoption aims to simplify the identification of structures, improve the quality of research affiliations, and enhance interoperability between information systems, thus contributing to a broader approach to open science.Le ROR (Research Organization Registry) est un identifiant pérenne créé pour identifier les structures de recherche dans le monde. Il recense près de 100 000 structures, dont 3 500 en France, et a récemment étendu son champ d'application aux unités de recherche, facilitant ainsi l'identification des affiliations dans les publications et l'interopérabilité entre différents systèmes. Le ROR est intégré dans différents outils et référentiels français, tels que AuréHAL, IdRef et ScanR, et est utilisé par des bases de données telles que OpenAlex et Zenodo. Son adoption vise à simplifier l'identification des structures, améliorer la qualité des affiliations de recherche, et à renforcer l'interopérabilité entre les systèmes d'information, contribuant ainsi à une approche plus large de la science ouverte

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