The Canadian Journal of Hospital Pharmacy (CJHP) / Le Journal canadien de la pharmacie hospitalière (JCPH)
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    Enteral Nimodipine in Aneurysmal Subarachnoid Hemorrhage: Real-World Application and Challenges

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    Background: Guidelines recommend nimodipine as the standard of care for patients with aneurysmal subarachnoid hemorrhage (aSAH). Compared with placebo, this agent has been shown to reduce death and dependency on others for activities of daily living. However, retrospective data suggest that patients may not receive full treatment with nimodipine. Objectives: The primary objective was to determine the proportion of patients with aSAH admitted to an intensive care unit (ICU) or high-acuity unit (HAU) at a tertiary referral hospital who received the guideline-recommended dose and duration of nimodipine. A secondary objective was to describe barriers to receiving full treatment. Methods: This retrospective chart review involved a convenience sample of 100 patients with aSAH who were admitted to the ICU or HAU of a tertiary referral hospital between January 1, 2012, and August 31, 2022. The analysis was based on descriptive statistics. Results: Of the 100 patients with aSAH admitted to the ICU or HAU, 1 (1%) received the guideline-recommended dose and duration of nimodipine. Ninety-five (95%) of the patients experienced a delay to initiation, mainly due to transfer from another hospital (n = 45, 47%) and/or lack of a safe enteral route (n = 62, 65%). Sixty-six (66%) of the patients received alternative dosing, most because their blood pressure was below target (n = 16, 24%) or because of vasospasm requiring a higher blood pressure target (n = 22, 33%). A total of 99 patients (99%) had early discontinuation and/or treatment interruption of nimodipine; reasons included vasospasm requiring a higher blood pressure target (n = 12, 12%) and nimodipine not being continued on transfer or discharge (n = 14, 14%). Conclusions: Most of the patients in this study did not receive the full course of nimodipine therapy due to multiple barriers. Pharmacists can play a role in optimizing treatment by educating staff at transferring sites about timely initiation of therapy, reconciling medications on transfer or discharge, and mitigating interactions with concomitant medications. Keywords: aneurysmal subarachnoid hemorrhage, cerebral vasospasm, nimodipine, calcium channel blocker RÉSUMÉ Contexte : Les lignes directrices recommandent la nimodipine comme la norme de soins pour les patients atteints d’une hémorragie sous-arachnoïdienne anévrismale (HSA). Il a été démontré que ce médicament réduisait la mortalité et la dépendance à l’égard d’autrui pour les activités de la vie quotidienne, par rapport au placebo. Cependant, des données rétrospectives indiquent que les patients pourraient ne pas recevoir le traitement complet à base de nimodipine, tel que prescrit. Objectifs : L’objectif principal consistait à déterminer la part de patients atteints d’une HSA admis en unité de soins intensifs (USI) ou en unité de soins de haute acuité (USHA) dans un hôpital de référence tertiaire ayant reçu la dose de nimodipine recommandée par les lignes directrices pendant la durée du traitement également recommandée. L’objectif secondaire consistait quant à lui à décrire les obstacles empêchant le patient de recevoir le traitement complet, tel que prescrit. Méthodologie : Cette étude rétrospective des dossiers portait sur un échantillon de commodité de 100 patients atteints d’une HSA, admis en USI ou en USHA d’un hôpital de référence tertiaire entre le 1er janvier 2012 et le 31 août 2022. L’analyse se basait sur des statistiques descriptives. Résultats : Sur les 100 patients atteints d’une HSA admis en USI ou en USHA, un seul (1 %) a reçu la dose de nimodipine recommandée par les lignes directrices pendant la durée de traitement recommandée. L’initiation du traitement était retardée chez 95 patients (95 %), les raisons principales étant le transfert depuis un autre hôpital (n = 45, 47 %) et l’absence d’une voie entérale sécuritaire (n = 62, 65 %). Soixante-six patients (66 %) ont reçu un autre dosage, soit parce que la valeur de leur tension artérielle était inférieure à la cible (n = 16, 24 %), soit en raison d’un vasospasme nécessitant une valeur cible de tension artérielle plus élevée (n = 22, 33 %). Au total, 99 patients (99 %) ont vu l’arrêt précoce ou l’interruption de leur traitement par nimodipine; les raisons comprenaient un vasospasme nécessitant une valeur cible de tension plus élevée (n = 12, 12 %) et la non-continuité de la nimodipine lors du transfert ou du congé de l’hôpital (n = 14, 14 %). Conclusions : La plupart des patients de cette étude n’ont pas reçu le traitement complet à base de nimodipine en raison de multiples obstacles. Les pharmaciens peuvent jouer un rôle pour optimiser le traitement en sensibilisant le personnel des établissements de transfert à l’initiation rapide de la thérapie, en conciliant les médicaments lors du transfert ou du congé et en atténuant les interactions avec les médicaments concomitants. Mots-clés : hémorragie sous-arachnoïdienne anévrismale, vasospasme cérébral, nimodipine, bloqueur des canaux calcique

    Comparison of Acetylsalicylic Acid with Rivaroxaban or Alternative Anticoagulants for Thromboprophylaxis in Elective Total Hip Arthroplasty: A Retrospective Cohort Study

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    Background: The role of acetylsalicylic acid (ASA) thromboprophylaxis following elective total hip arthroplasty (THA) remains unclear, given limited high-quality evidence and differing guideline recommendations. Objectives: To compare thromboprophylaxis prescribing patterns for ASA and alternative anticoagulants and to determine subsequent health care utilization for patients undergoing elective THA within one Canadian health region. Methods: This retrospective cohort study involved adult patients who underwent THA between January and June 2019, comparing those who received ASA with those who received an alternative anticoagulant. Data for drug- and patient-specific characteristics are reported as means and standard deviations for continuous variables and as percentages for categorical variables. Patient characteristics and treatments were compared using χ2 and t tests. Multivariable logistic regression was conducted to identify predictors of the choice of treatment (ASA vs rivaroxaban). Results: Of the 180 patients who underwent THA in the study period, thromboprophylaxis consisted of ASA for 153 (85.0%) and rivaroxaban for 27 (15.0%). The most common ASA regimen was 325 mg daily (152/153, 99.3%) for a mean of 43.0 (standard deviation 6.9) days. Significant patient differences between the ASA and rivaroxaban groups included history of malignancy (6.5% vs 51.9%, p < 0.001), previous venous thromboembolism (0% vs 11.1%, p = 0.001), thrombophilia (0% vs 3.7%, p = 0.018), and chemotherapy (0% vs 11.1%, p < 0.001). Patients with a history of malignancy were more likely to receive rivaroxaban than ASA (odds ratio 31.65, 95% confidence interval 18.22 to 2.4 × 104, p < 0.001). No differences were observed for health care utilization. Conclusions: ASA was used as thromboprophylaxis after THA for most patients within one Canadian health region. Significant differences in baseline characteristics were noted between patients who received ASA and those who received rivaroxaban. Keywords: thromboprophylaxis, acetylsalicylic acid, rivaroxaban, hip replacement RÉSUMÉ Contexte : Le rôle de l’acide acétylsalicylique (AAS) dans la prophylaxie de la thrombose à la suite d’une arthroplastie totale de la hanche (ATH) demeure flou, vu la quantité restreinte de données probantes de haute qualité et les recommandations divergentes des lignes directrices. Objectifs : Comparer les schémas de prescription de l’AAS et d’autres anticoagulants pour la prophylaxie de la thrombose; et déterminer l’utilisation subséquente des soins de santé pour les patients qui subissent une ATH au sein d’une région sanitaire canadienne. Méthodologie : Cette étude de cohorte rétrospective portait sur des patients adultes ayant subi une ATH entre janvier et juin 2019. Elle comparait ceux ayant reçu de l’AAS à ceux ayant reçu d’autres anticoagulants. Les données concernant les caractéristiques spécifiques aux patients et aux médicaments sont présentées sous forme de moyennes et d’écarts-types pour les variables continues, et sous forme de pourcentages pour les variables catégorielles. Les caractéristiques et les traitements des patients ont été comparés à l’aide du test du χ² et du test t. Une régression logistique multivariée a été effectuée afin de cerner les facteurs prédictifs du choix du traitement (AAS contre rivaroxaban). Résultats : Parmi les 180 patients ayant subi une ATH au cours de la période de l’étude, la thromboprophylaxie consistait en de l’AAS pour 153 patients (85,0 %) et en du rivaroxaban pour 27 d’entre eux (15,0 %). Le schéma posologique d’AAS le plus courant était de 325 mg par jour (152/153, 99,3 %) pendant une durée moyenne de 43,0 jours (écart-type : 6,9 jours). Des différences significatives entre les groupes AAS et rivaroxaban ont été observées concernant les antécédents de malignités (6,5 % contre 51,9 %, p < 0,001), les antécédents de thromboembolie veineuse (0 % contre 11,1 %, p = 0,001), la thrombophilie (0 % contre 3,7 %, p = 0,018) et la chimiothérapie (0 % contre 11,1 %, p < 0,001). Les patients ayant des antécédents de malignités étaient plus susceptibles de recevoir du rivaroxaban que de l’AAS (rapport de cotes : 31,65; intervalle de confiance à 95 % : 18,22 à 2,4 × 104; p < 0,001). Aucune différence n’a été observée en ce qui concerne le recours aux soins de santé. Conclusions : L’AAS a été utilisé comme thromboprophylaxie après une ATH chez la plupart des patients dans une région sanitaire canadienne. Des différences significatives dans les caractéristiques de base ont été observées entre les patients ayant reçu de l’AAS et ceux ayant reçu du rivaroxaban. Mots-clés : thromboprophylaxie, acide acétylsalicylique, rivaroxaban, arthroplastie de la hanch

    Faire avancer les soins climatiques dans les soins de santé : feu vert au secteur de la pharmacie

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    Impact of Short-Acting Spinal Anesthetic on Discharge from Postanesthetic Care Unit: A Retrospective Analysis

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    Background: Chloroprocaine has recently regained accessibility as a short-acting local anesthetic in Canada. It offers an alternative to bupivacaine, the predominant spinal anesthetic used at Vancouver Coastal Health sites in Vancouver, British Columbia. Objective: To compare the recovery profile of surgical patients who received either chloroprocaine or bupivacaine for spinal anesthesia. Methods: This multicentre retrospective cohort study involved adult patients who received chloroprocaine or bupivacaine as spinal anesthetic for short-duration surgery. The primary outcome was the time from admission to the postanesthesia care unit (PACU) to discharge from the PACU. Time from PACU admission to discharge readiness was also assessed, along with the perioperative variables of type of operation performed, duration of surgery, dose of anesthetic, dose of intraoperative analgesic, and number of days from operation to hospital discharge. Results: The study involved 145 patients aged 30 to 94 years: 72 who received chloroprocaine and 73 who received bupivacaine. For the primary outcome, there was a nonsignificant shorter time from PACU admission to discharge for the chloroprocaine cohort (mean difference 36 minutes, p = 0.07). There was a significant difference favouring chloroprocaine over bupivacaine in the time from PACU admission to meeting PACU discharge criteria (mean difference 48 minutes, p < 0.001). Chloroprocaine was associated with significantly shorter surgery duration (mean difference 5 minutes, p = 0.026). Regression analysis showed a significant correlation between the anesthetic given and the time to meeting PACU discharge eligibility (p < 0.001). Conclusion: Use of chloroprocaine was associated with earlier time to patients meeting PACU discharge criteria. These findings support the potential benefit of chloroprocaine over bupivacaine in terms of achieving earlier PACU discharge readiness, although this difference did not consistently translate into earlier actual PACU discharge. Keywords: chloroprocaine, bupivacaine, spinal anesthesia, postanesthetic recovery RÉSUMÉ Contexte : La chloroprocaïne est récemment redevenue disponible en tant qu’anesthésique local à action courte au Canada. Elle peut être utilisée à la place de la bupivacaïne, l’anesthésique spinal prédominant utilisé aux sites de Vancouver Coastal Health, à Vancouver (Colombie-Britannique). Objectif : Comparer le profil de rétablissement des patients chirurgicaux ayant reçu de la chloroprocaïne ou de la bupivacaïne pour une anesthésie spinale. Méthodologie : Cet examen rétrospectif multicentrique des dossiers impliquait des patients adultes ayant reçu de la chloroprocaïne ou de la bupivacaïne comme anesthésique spinal pour une chirurgie de courte durée. Le principal critère de l’évaluation était le temps écoulé entre l’admission à l’unité de soins post-anesthésie (USPA) et le congé de l’USPA. Le temps écoulé entre l’admission à l’USPA et la préparation au congé a également été évalué, ainsi que des variables périopératives, soit, le type d’opération réalisée, la durée de la chirurgie, la dose d’anesthésique, la dose d’analgésique peropératoire et le nombre de jours entre l’opération et le congé de l’hôpital. Résultats : Cet examen portait sur 145 patients âgés de 30 à 94 ans : 72 ayant reçu de la chloroprocaïne et 73, de la bupivacaïne. Concernant le principal critère de l’évaluation, un temps plus court mais non statistiquement significatif entre l’admission à l’USPA et le congé pour la cohorte de patients ayant reçu de la chloroprocaïne (différence moyenne de 36 minutes, p = 0,07) a été constaté. On a par contre constaté une différence significative en faveur de la chloroprocaïne par rapport à la bupivacaïne quant au temps entre l’admission à l’USPA et le moment où les critères de congé de l’USPA étaient remplis (différence moyenne de 48 minutes, p < 0,001). La chloroprocaïne a été associée à une durée de chirurgie plus courte statistiquement significative (différence moyenne 5 minutes, p = 0,026). L’analyse de régression a montré une corrélation significative entre l’anesthésique administré et le temps nécessaire pour répondre aux critères d’admissibilité au congé de l’USPA (p < 0.001). Conclusion : L’utilisation de la chloroprocaïne a été associée à un délai plus court avant que les patients répondent aux critères de congé de l’USPA. Ces résultats appuient l’avantage potentiel de la chloroprocaïne par rapport à la bupivacaïne sur le plan de la préparation plus précoce au congé de l’USPA, bien que cette différence ne se traduise pas systématiquement en un congé réel plus rapide de l’USPA. Mots-clés : chloroprocaïne, bupivacaïne, anesthésie spinale, rétablissement post-anesthésiqu

    La pharmacie : une communauté qui dépasse les frontières

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    Impact of Clinical Pharmacists on Interdisciplinary Mental Health Teams in a Community Setting: A Retrospective Chart Review

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    Background: Clinical pharmacists play a pivotal role within collaborative care environments, with well-documented contributions on multidisciplinary teams in these settings. Their specific impacts on community mental health and substance use (MHSU) teams remains to be characterized in a publicly funded regional program within Fraser Health. Objectives: To describe the impact of medication reviews performed by clinical pharmacists and the uptake by prescribers of pharmaceutical interventions recommended by the clinical pharmacists in an ambulatory MHSU setting. Methods: This study involved a retrospective chart review of 100 patients referred to Fraser Health Community MHSU Pharmacy Services across 20 communities within the Fraser Health Authority in British Columbia. Results: Clinical pharmacists identified a total of 310 drug therapy problems (DTPs) among the 100 patients. The most common DTPs identified were adverse drug reactions (n = 97, 31%), ineffective drug therapy (n = 68, 22%), unnecessary medications (n = 46, 15%), and the need for additional drug therapy (n = 35, 11%). Prescribers accepted 1 or more of the recommendations made by the clinical pharmacist in 88% (81/92) of the cases with follow-up. More than half (55%, 171/310) of the identified DTPs were resolved within 6 months of the initial pharmacist assessment. Conclusions: In this study, embedding clinical pharmacists within community MHSU care teams enhanced medication safety and therapeutic optimization, while reducing polypharmacy. Future investigation into the benefits for long-term clinical outcomes is warranted. Keywords: mental health, clinical pharmacist, retrospective chart review, multidisciplinary RÉSUMÉ Contexte : Les pharmaciens cliniciens jouent un rôle essentiel dans les environnements de soins collaboratifs, où leurs contributions au sein des équipes multidisciplinaires sont bien documentées. Leur impact précis sur les équipes en santé mentale communautaire et en toxicomanie (SMCT) doit encore être précisé dans un programme régional financé par des fonds publics au sein de l’Autorité sanitaire Fraser. Objectifs : Décrire les conséquences des examens des médicaments menés par les pharmaciens cliniciens et l’adoption par les prescripteurs des interventions pharmaceutiques recommandées par les pharmaciens cliniciens dans un environnement ambulatoire en SMCT. Méthodologie : Cette étude impliquait un examen rétrospectif des dossiers de 100 patients orientés vers les services pharmaceutiques en SMCT dans 20 communautés au sein de l’Autorité sanitaire Fraser, en Colombie-Britannique. Résultats : Parmi les 100 patients, les pharmaciens cliniciens ont recensé 310 problèmes de traitement médicamenteux au total. Les plus courants étaient les réactions indésirables aux médicaments (n = 97, 31 %), l’inefficacité de la thérapie médicamenteuse (n = 68, 22 %), les médicaments inutiles (n = 46, 15 %) et le besoin d’une thérapie médicamenteuse supplémentaire (n = 35, 11 %). Les prescripteurs ont accepté une ou plusieurs des recommandations formulées par le pharmacien clinicien dans 88 % (81/92) des cas faisant l’objet d’un suivi. Plus de la moitié des problèmes de traitement médicamenteux recensés (55 %, 171/310) ont été résolus dans les 6 mois suivant l’évaluation initiale par le pharmacien. Conclusions : Les résultats de cette étude ont montré que l’intégration des pharmaciens cliniciens au sein des équipes de soins en SMCT renforce la sécurité des médicaments et l’optimisation thérapeutique, tout en réduisant la polypharmacie. Des recherches futures sur les bénéfices pour les résultats cliniques à long terme sont nécessaires. Mots-clés : santé mentale, pharmacien clinicien, revue rétrospective des dossiers, multidisciplinair

    Canadian Hospital Pharmacy Residency Graduates / Diplômés de Programmes Canadiens de Résidence en Pharmacie Hôpitalière

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    Adverse Drug Reactions in Pregnant People with Hypertension and/or Diabetes: Temporal Profile and Associated Factors

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    Background: Pregnant people, especially those with diabetes mellitus or hypertension, are particularly vulnerable to adverse drug reactions (ADRs). Objective: To determine the incidence of and factors associated with ADRs in hospitalized pregnant people with diabetes and/or hypertension. Methods: This prospective cohort study involved pregnant people with diabetes and/or hypertension admitted to a maternity hospital in Natal, Brazil, between August 2019 and July 2022. Data for various patient characteristics and the occurrence of ADRs were collected by means of interviewing patients and searching their medical charts. Multivariate logistic regression was used to identify and analyze the association of ADRs with various patient characteristics and other factors. Results: A total of 571 pregnant people met the inclusion criteria. Over the study period, the incidence rate of ADRs was 634.4 (95% confidence interval [CI] 522.7–787.1) per 1000 patient-days, with 123 (21.5%) of the patients experiencing at least 1 incident. ADRs occurred predominately in the first 24 hours, with a marked decrease in frequency to the seventh day of admission. Methyldopa was identified as the cause in 42.1% (8/19) of cases of headache and 39.5% (17/43) of cases of sedation. Systemic corticosteroids were responsible for almost all cases of hyperglycemia (97.0% [32/33]). Blurred vision (82.4% [14/17]) and sedation (14.0% [6/43]) were related to the administration of antiemetics and antinauseants, especially scopolamine. Longer hospitalization time (OR 1.052, 95% CI 1.010–1.097, p = 0.016) and greater number of prescribed medications (OR 1.200, 95% CI 1.099–1.310, p < 0.001) were related to the occurrence of ADRs. Conclusions: In this study, 1 of every 5 hospitalized pregnant people had at least 1 ADR, most often in the first 24 hours, with a decrease in incidence in the following days. Pregnant people with longer hospital stays and a greater number of medications had a higher risk of ADRs. Keywords: adverse drug reaction, high-risk pregnancy, clinical pharmacy service, patient safety RÉSUMÉ Contexte : Les personnes enceintes, en particulier celles qui souffrent de diabète sucré ou d’hypertension, sont particulièrement vulnérables aux effets indésirables des médicaments. Objectif : Déterminer l’incidence des effets indésirables et les facteurs qui y sont associés chez les personnes enceintes hospitalisées et souffrant de diabète et d’hypertension. Méthodologie : Cette étude de cohorte prospective portait sur des personnes enceintes atteintes de diabète ou d’hypertension admises dans une maternité de Natal, au Brésil, entre août 2019 et juillet 2022. Les données relatives à diverses caractéristiques de la patientèle et à la survenue d’effets indésirables ont été recueillies au moyen d’entretiens et de recherches dans les dossiers médicaux de celle-ci. Une régression logistique multivariée a été utilisée pour recenser et analyser l’association des effets indésirables avec diverses caractéristiques de la patientèle et d’autres facteurs. Résultats : Au total, 571 personnes enceintes répondaient aux critères d’inclusion. Au cours de la période d’étude, le taux d’incidence des effets indésirables se chiffrait à 634,4 pour 1000 jours-patients (intervalle de confiance [IC] à 95 % 522,7-787,1), 123 (21,5 %) de la patientèle ayant eu au moins un incident. Les effets indésirables prédominaient dans les 24 premières heures, avec une diminution marquée de la fréquence jusqu’au septième jour d’admission. La méthyldopa a été identifiée comme cause dans 42,1 % (8/19) des cas de céphalées et 39,5 % (17/43) des cas de sédation. Les corticostéroïdes systémiques étaient responsables de presque tous les cas d’hyperglycémie (97,0 % [32/33]). La vision floue (82,4 % [14/17]) et la sédation (14,0 % [6/43]) étaient liées à l’administration d’antiémétiques et d’antinauséeux, en particulier de scopolamine. Une durée d’hospitalisation prolongée (rapport de cotes [RC] 1,052, IC à 95 % 1,010-1,097, p = 0,016) et un plus grand nombre de médicaments prescrits (RC 1,200, IC à 95 % 1,099-1,310, p < 0,001) étaient liés à la survenue d’effets indésirables. Conclusions : Dans cette étude, 1 personne enceinte hospitalisée sur 5 présentait au moins un effet indésirable, le plus souvent dans les 24 premières heures, avec une diminution de l’incidence dans les jours suivants. Les personnes enceintes ayant séjourné plus longtemps à l’hôpital et ayant pris un plus grand nombre de médicaments présentaient un risque plus élevé d’effets indésirables. Mots-clés : réaction indésirable aux médicaments, grossesse à haut risque, service de pharmacie clinique, sécurité des patient

    Expanding Opioid Stewardship: Collaboration between Hospital and Primary Care Pharmacists

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