734 research outputs found

    Phéochromocytome de l'organe de Zuckerland

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    ST ETIENNE-BU MĂ©decine (422182102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Hypohyperparathyroidisme (pseudo-hypohyperthyroidisme type I de Frame)

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    ST ETIENNE-BU MĂ©decine (422182102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Facteurs de récidive des méningiomes intracrâniens après exérèse complète (étude à partir d'une série de 161 patients)

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    Objectifs : Analyse des caractéristiques générales, morphologiques ; iconographiques et anatomopathologiques courantes des méningiomes intracrâniens en exérèse complète afin d'en isoler les éléments prédictifs de récidive. Matériel et méthodes : Etude descriptive rétrospective d'une population de 161 patients ayant subi une exérèse complète (grade 1 et 2 de la classification de Simpson) d'un méningiome intracrânien entre le 01/01/88 et le 01/01/98. Le suivi moyen de ces patients est de 109 mois. Résultats : Les patients étaient âgés de 23 à 86 ans (âge moyen : 58.5 ans) et de sexe majoritairement féminin (sexe ratio : 2:3). 18 récidives (11.1%) ont été recensées. Si l'âge et le sexe n'étaient pas des facteurs influençant la récidive, les taux de récurrence étaient majorés chez les méningiomes de la région para sagittale de façon significative. Sur des données histologiques, 42,9% des méningiomes atypiques ont récidivé (p<0.01). La présence de facteurs histologiques d'agressivité (hyperdensité cellulaire, mitose, atypies cytonucléaires, nécrose) et d'infiltration tumoral (envahissement osseux, cérébral et dural) était respectivement notable dans 35.7% (p=0.6) et 50% (p=0.004) des méningiomes bénins ayant récidivé. Discussion : La qualité d'exérèse est le premier facteur influençant la récidive des méningiomes. Si l'imagerie nous donne des renseignements anatomiques essentiels à la réalisation d'une chirurgie efficace, l'histologie peut nous fournir des données précises sur l'agressivité intrinsèque de la tumeur. Dans ce domaine, la classification de l'OMS semble sous estimer la présence de ces facteurs d'agressivité dans les tumeurs décrites comme bénigne. Conclusions : l'aggravation histologique des récidives habituellement observées nous demande la plus grande attention dans la surveillance des méningiomes bénins présentant ces critères histologiques péjoratifs.ST ETIENNE-BU Médecine (422182102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Détection moléculaire des cellules d'adénocarcinome rénal (concepts, techniques et applications cliniques)

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    Le but de cette recherche était de détecter les cellules cancéreuses rénales par méthodes moléculaires. Nous avons d'abord étudié les marqueurs moléculaires utilisables pour l'adénocarcinome rénal. MN/CA9 et cadhérine-6 sont particulièrement utiles pour l'adénocarcinome rénal conventionnel. Nous avons ensuite développé une technique de RT-PCR classique ainsi qu'une technique modifiée. La technique modifiée, plus rapide et moins lourde, combine une extraction d'ARN sur colonne et une RT-PCR en une étape. Nous avons appliqué ces techniques sur des échantillons cliniques. En utilisant MN/CA9 comme marqueur tumoral dans les échantillons d'aspiration à l'aiguille fine, Nous avons démontré que la technique pouvait détecter des cellules cancéreuses qui n'avaient pas été mises en évidence au cours de l'examen cytologique. Pour les échantillons sanguins, nos résultats suggèrent que la cadhérine-6 pouvait être un marqueur utilisable pour la détection de cellules cancéreuses en provenance d'un adénocarcinome rénal conventionnel. La biologie moléculaire apparaît comme un auxiliaire puissant pour assister l'imagerie moderne dans le diagnostic préopératoire d'adénocarcinome rénal et pour améliorer le suivi des patients après traitement chirurgical.ST ETIENNE-BU Médecine (422182102) / SudocPARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Resection de jonction pyelo-urétérale par laparoscopie (étude rétrospective de 48 cas consécutifs chez l'adulte)

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    But : Evaluation des résultats de la résection de la jonction pyélo-urétérale (JPU) de l'adulte par laparoscopie. Matériel et Méthodes : Etude rétrospective de 48 pyéloplasties consécutives par laparoscopie, sur une durée de 4 ans (décembre 1998 à décembre 2002), chez des adultes (27 femmes, 21 hommes) de 43.9 ans (16-83 ans) d'âge moyen. Résultats : Toutes les réparations ont été réalisées selon la technique de Küss-Anderson-Hynes, avec 42 procédures par voie rétro-péritonéale, 3 par voie intra-péritonéale et 3 conversions. Les 3 voies intra-péritonéales ont été entreprises pour des cas particuliers ; un cas de JPU sur rein pelvien droit, un cas de JPU sur rein en fer à cheval, et un cas sur duplication incomplète de la voie excrétrice. La durée moyenne d'intervention a été de 139 minutes (75-250 minutes ; médiane à 130 minutes). La conversion a été nécessaire dans 3 cas de dissection difficile, dont 2 en tout début d'expérience. La durée moyenne d'hospitalisation a été de 6.3 jours (2-18 jours, médiane : 4.5 jours). Avec un recul moyen de 19 mois (3-58 mois), le taux de succès clinique est de 97.8% et le taux de succès para-clinique (urographie intra veineuse ou scintigraphie) de 87.8%. Conclusion : La technique de pyéloplastie par laparoscopie constitue une approche mini-invasive dont les résultats sont équivalents à la voie ouverte (avec une morbidité moindre et une durée d'hospitalisation plus courte), et supérieurs aux différentes techniques d'endopyélotomie. Nous confirmons par cette série, où la majorité des patients a bénéficié d'une évaluation par scintigraphie au Mag3, la valeur de la résection de jonction pyélo-urétérale laparoscopique qui s'impose comme intervention de référence aux dépens de la voir chirurgicale classique qui ne devrait plus trouver son indication que dans les rares impossibilités techniques ou échecs.ST ETIENNE-BU Médecine (422182102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Lagestion des risques en neurochirurgie

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    La gestion des risques en neurochirurgie est une préoccupation d actualité. Son approche soulève trois problèmes importants. D une part, les données de la littérature sont pauvres ; les risques et la morbi-mortalité (complications générales liées à la chirurgie et complications spécifiques à la neurochirurgie) restent très largement méconnus et probablement sous-estimes par la communauté neurochirurgicale. D autre part, il convient de considérer le cadre dans lequel s inscrivent ces risques. L identification des co-facteurs (organisationnels, circonstanciels, et individuels) et l analyse de leurs interactions, très difficile à entreprendre, laissent apparaître de nombreuses incompatibilités et contradictions. Quoi qu il en soit, le facteur humain doit être remis au centre de cette considération. Enfin, à l heure actuelle, le développement d une gestion efficace des risques reste fragile. La complexité et l instabilité de son organisation administrative, le manque de moyens pour sa mise en œuvre, l absence de données robustes objectivant son efficacité sont autant d obstacles à surmonter. La mise en place d une veille nationale de la morbi-mortalité neurochirurgicale pourrait permettre de répondre au besoin impérieux d améliorer notre connaissance et notre gestion des risques, dans une démarche collective, globale et intégrative.ST ETIENNE-BU Médecine (422182102) / SudocSudocFranceF

    Qualité de vie subjective en prison (pré-étude sur un échantillon de 117 détenus à la Maison d'arrêt de La Talaudière)

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    Cette pré-étude sur trois mois a évalué la qualité de vie subjective (QVS) d'une population de 117 détenus, un mois après leur entrée à la Maison d'arrêt de La Talaudière. Nous avons collecté des données sociodémographiques et portant sur la situation pénale, les antécédents psychiatriques, les éléments de vie carcérale, et les troubles psychiatriques actuellement présents. La QVS a été évaluée à l'aide de l'échelle de Baker et Intagliata, dont quatre items ont été adaptés au milieu carcéral et dont la passation s'est révélée aisée. Les résultats ont été traités à l'aide de tests non paramétriques et par régression logistique binaire. La population se composait essentiellement d'hommes (n= 114), célibataires (n= 56)), sans enfants (n= 65), sans emploi (n= 63), ayant un logement (n= 110) avant l'incarcération. 41 sujets avaient des antécédents psychiatriques et 71 une pathologie psychiatrique présente lors de l'évaluation. 87 personnes étaient condamnées. La QVS des sujets de notre échantillon est faible, et inférieure à celle d'une population de patients psychotiques résidant en foyer de vie dans 11 domaines significatifs sur 20. La QVS est corrélée négativement à l'âge dans 5 domaines. Les prévenus ont une QVS inférieure à celle des condamnés dans 3 domaines. Les sujets présentant un trouble psychiatrique actuel ont aussi une QVS inférieure à celle des sujets non psychiatriques dans 8 domaines y compris la QVS globale. Les différents modèles de régression logistique ne permettent pas d'expliquer plus de 11% de la variance. Ces résultats ne permettent pas d'évaluer les poids respectifs de l'état psychique actuel et de l'incarcération sur la QVS. D'autres variables comme l'affirmation de soi et le lieu de contrôle pourraient être intéressantes. Néanmoins, ce travail préliminaire destiné à devenir multicentrique permet d'appréhender l'intérêt d'une évaluation de la QVS de détenus et souligne également l'importance des structures de soins en milieu carcéral dans la prise en charge des populations vulnérables entre autre sur le plan psychiatrique.ST ETIENNE-BU Médecine (422182102) / SudocSudocFranceF

    Ethique et informatique (la protection des données issues du dossier médical informatisé de médecine générale, utilisées en épidémiologie)

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    Avec le développement du dossier médical informatisé, notamment en médecine générale, et l'évolution récente des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC), les données médicales deviennent exportables et peuvent quitter le cadre protégé du cabinet médical. Parallèlement, la France manque de données de morbidité, principalement en médecine de ville, ce qui freine le développement de la surveillance sanitaire. Une des solutions serait donc de faire du recueil automatisé directement à partir du dossier médical de médecine générale, grâce à un système d'information adapté, s'appuyant sur la technologie informatique. Après avoir fait un rappel sur l'épidémiologie telle qu'elle est pratiquée actuellement en France : méthodes, organismes de référence, bases éthiques, nous avons analysé quelques exemples de bases de données informatisées qui ont vu le jour en France et en Europe, sous prétexte de recherche épidémiologiques, mais hélas parfois à des fins détournées et mis en évidence les principes éthiques bafoués. Enfin, nous avons répertorié les textes et organismes pouvant servir de référence pour définir de nouvelles règles éthiques. Au terme de cette étude, nous pouvons conclure que la position raisonnable se situe entre le refus de toute forme de progrès par peur de l'inconnu et les dérives au mépris de toutes les règles éthiques. Une réflexion doit donc être menée à bien. L'éthique ne doit pas rester figée et être adaptée à toute nouvelle situation. Ceci implique une évolution des mentalités des professionnels de santé. Il serait, par exemple, souhaitable que l'éthique et l'informatique, avec les possibilités qu'elle offre mais aussi les risques, fassent partie intégrante de la formation médicale initiale et continue.ST ETIENNE-BU Médecine (422182102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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