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    the interaction between shocks and institutions solve the OECD shocks and institutions solve the OECD Unemployment Puzzle ? A Theoritical and Empirical Appraisal.

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    This paper provides a theoretical and empirical appraisal of the shocks-institutions controversy as an explanation of unemployment heterogeneity in OECD countries. Since the influential work of Blanchard and Wolfers (2000), many studies have tried to explain the differences in the OECD unemployment rate as the result of interaction between shocks and labour market institutions. Modelling this interaction is viewed as a promising way for understanding the puzzle of unemployment disparities which can be explained by none of the two kinds of variables individually. Indeed, on the one hand, OECD countries have been affected by symmetric shocks and have nevertheless experienced different unemployment dynamics. On the other hand, before the 1970s, all these countries had low unemployment rates in spite of quite different labour market institutions. Using cross section data, these studies test a direct relationship between the unemployment rate, shocks and institutions and thus have the advantage of readily allowing for international comparisons. However, testing a reduced equation of the unemployment rate constitutes also their main drawback as they do not analyze formally the link between the unemployment rate and the wage determination process. As a consequence, empirical results are quite divergent among studies since they often lay on ad hoc specifications that may have little theoretical foundations.Equilibrium unemployment;Structural model;shock;labour market institutions;OECD;cross-section estimation;

    Les étudiants étrangers en France

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    En 2002-2003, 221 600 étudiants étrangers poursuivent des études dans l’enseignement supérieur français, ce qui représente un étudiant sur dix. Alors que le nombre d’étudiants étrangers avait diminué entre 1990 et 1998, il progresse depuis à un rythme annuel supérieur à 12%. Sur les 72 000 étudiants étrangers supplémentaires accueillis en France entre 1998 et 2002, 58 000 l’ont été à l’université. Mais l’augmentation s’est produite dans presque toutes les filières du supérieur et a été partout plus rapide que celle des étudiants de nationalité française

    Les étudiants étrangers en France

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    En 2003-2004, environ 11 % des inscrits dans l'enseignement supérieur français sont de nationalité étrangère. Ce nombre avait diminué entre 1990 et 1998 et a progressé de nouveau depuis 1998 à un rythme annuel supérieur à 12 %. Le tableau 1 montre l'évolution, entre 1990-91 et 1998-99, puis de 1999-2000 à 2003-2004, des étudiants étrangers dans l'ensemble du supérieur, par type d'établissement ; le tableau 2 donne une évolution de 1998 à 2003 pour les étrangers à l'université, par cycle, et montre, en points, la contribution des non-bacheliers à cette évolution ; le tableau 3 donne cette évolution par nationalité, pour la France entière. Le tableau 4 répartit l'ensemble des étrangers par académies de France métropolitaine, des DOM et des TOM, dans les universités, en 2003-2004. Trois graphiques indiquent l'orientation des étudiants à l'entrée à l'université en 2003-2004, par groupe disciplinaire, par cycle, et selon qu'ils sont Français ou étrangers bacheliers ou non bacheliers. Deux cartes illustrent la proportion d'étudiants étrangers dans chaque académie, et des non-bacheliers en évolution de 1998 à 2003
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