42 research outputs found

    Ingestion of Soil by Grazing Sport Horses

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    Data on soil ingestion in horses are lacking in contrast to other free-range animals. The importance of soil as a vector for environmental pollutants to food is less relevant in horses but several disorders secondary to soil ingestion, such as sand colic or enteritis have been reported. Therefore, soil ingestion has been studied on Irish sport horses grazing at three offered levels of daily herbage: 2, 3 and 4% of their body weight. Soil ingestion was estimated by the faecal recovery of a soil natural marker. Horses had 4.5, 4.1 and 3.7% of soil in their total intake respectively for the 2, 3 and 4% herbage offers. The 4% offer presented significantly less intake (543 g/d) compared to the more restricted offers (624 and 648 g respectively for 3 and 2%). The post-grazing sward height was significantly lower on the 2% offer (3.1 cm) compared to the higher offers (4.1 and 4.4 cm respectively for 3 and 4%). Thus, restricted herbage allowance made grazing closer to the ground and increased soil ingestion. The sward height appeared to be a reliable indicator to manage animal withdrawal from a pasture to limit soil ingestion and the risk of gastrointestinal pathologies caused by it

    Modulation de la qualité du lait par l'amidon de la ration

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    The effect of variations in the source and amount of starch provided by the diet on the milk production of cows was studied du ring 5 trials with different starch levels and sources. These variations were realized using wheat or potatoes in total mixed diets based on grass silage or maize silage. ln sacco kinetics confirm that wheat starch disappears more quickly than potato starch in the rumen (instantaneous solubility of 65% and 40% respectively). The daily starch intake with maize silage based diets is over 6 kg per cow. ln view of the rapid degradation of maize silage starch in the rumen (86% of instantaneous solubility), these diets can be characterized by a rapid (wheat - maize silage) or mixed speed of starch degradation (potatoes - maize silage). The milk and protein yields increase with the starch supply even if the protein and fat contents decrease for supplies over 6-7 kg per day. This threshold separates the diets based on grass silage or maize silage. The dry matter intake, milk and protein yields do not vary between the diets containing one of the starch concentrates. So, the main result of this work is the decreased milk fat (content and yield) with wheat in comparison to potatoes in maize silage based diets (respectively - 2,6 to -3,3 g fat/kg milk and -71 to -122 g fat/day) i.e. in diets with a starch supply of over 7kg per day. The milk fat composition shows significantly fewer short and medium chain fatty acids and more long chain fatty acids (+3,6%) with wheat diets compared to potato diets. No differences in ruminai fermentation were shown between the two starch concentrates in these rations. The postprandial pH drop is stronger with wheat diets but no differences were observed for VFA concentration or composition or blood metabolites. As the milk fat precursors did not vary between the two diets, the lower milk fat content with wheat could be due to an inhibition of the activity of essential enzymes for milk fat synthesis. lndeed the milk fat of cows eating the wheat diet is significantly richer in C 18:1 trans (4,4 versus 2,7%) especially for the [delta]10 isomer (+ 1 ,46%) - a fatty acid known as being an efficient inhibitor of key-enzymes of de nova synthesis and desaturation.Les effets de variations d'apports d'amidon dans la ration sur la qualité du lait de vaches ont été étudiés lors de 5 essais dont les apports d'amidon ont été modulés en utilisant du blé ou des pommes de terre incorporés dans des rations complètes à base d'ensilage d'herbe ou d'ensilage de maïs. Les cinétiques de disparition in sacco confirment que l'amidon de blé est dégradé dans le rumen plus vite que l'amidon de la pomme de terre (solubilité de 65% et 40% respectivement). Dans les rations à base d'ensilage de maïs l'apport d'amidon total dépasse 6 kg/jour. Compte tenu de la vitesse de dégradation de l'amidon de maïs ensilage (solubilité 86%) ces rations sont caractérisées par une dégradation de l'amidon soit rapide (ensilage de maïs - blé) soit mixte (ensilage de maïs - pommes de terre). La production de lait brut et de protéines augmente avec la quantité d'amidon apportée par la ration malgré une diminution des taux butyreux et protéique avec un effet seuil aux alentours de 6-7 kg/jour dissociant les rations à base d'ensilage de maïs de celles à base d'ensilage d'herbe. En absence d'une réponse de l'ingestion, de la production laitière ou des protéines du lait, le résultat majeur est une diminution de la matière grasse du lait (en teneur et en quantité) avec le blé comparativement aux pommes de terre dans des rations à base d'ensilage de maïs c'est-à-dire pour des ingestions supérieures à 7 kg d'amidon/jour (en moyenne -3 g de TB/kg et -100 g de matière grasse/jour). La composition de la matière grasse du lait montre pour le blé significativement moins d'acides gras courts et moyens et plus d'acides gras longs. La fermentation des rations à base d'ensilage de maïs est similaire pour les deux concentrés. La chute postprandiale du pH est plus prononcée avec le blé mais la concentration en AGV totaux et leur composition sont statistiquement identiques tout au long de la cinétique ce qui est confirmé par l'absence de réponse des métabolites sanguins. Les précurseurs de la matière grasse du lait ne sont donc pas affectés par la nature du concentré. La teneur plus faible en matière grasse avec le blé pourrait alors provenir d'une inhibition d'enzymes indispensables pour la synthèse. En effet, le profil de la matière grasse du lait montre pour le blé significativement plus de C18:1 trans (4,4% contre 2,7%), notamment pour l'isomère de position D10 (+1,46 %) particulièrement inhibiteur pour des enzymes de la synthèse de novo et des désaturases

    Valorisation de l’herbe par des truies plein-air

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    Les truies gestantes élevées en AB sont majoritairement logées en plein-air. Ainsi, l’herbe semée sur les parcours est une ressource fourragère disponible de manière importante dans les élevages porcins biologiques. Avec les chargements actuellement permis par la règlementation, la capacité de pâture des truies est très inférieure à la pousse de l’herbe et il est difficile de valoriser totalement l’herbe des parcours via le pâturage (bien que le comportement de pâture des truies soit non négligeable (Guilloux et al, 1998)). Afin de mieux valoriser ce fourrage, deux essais ont été conduits à la ferme expérimentale des Trinottières dans le cadre du Programme européen ICOPP afin d’apporter des elements de réponses à deux questions : Quelle elle est la capacité d’ingestion d’herbe par des truies en lactation (article 1) ? Quelle est la valorisation de l’enrubannage d’herbe par des truies en gestation : impacts zootechniques, sur le comportement et le coût alimentaire (article 2)

    Modulation de la qualité du lait par l'amidon de la ration

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    Les effets de variations d'apports d'amidon dans la ration sur la qualité du lait de vaches ont été étudiés lors de 5 essais dont les apports d'amidon ont été modulés en utilisant du blé ou des pommes de terre incorporés dans des rations complètes à base d'ensilage d'herbe ou d'ensilage de maïs. Les cinétiques de disparition in sacco confirment que l'amidon de blé est dégradé dans le rumen plus vite que l'amidon de la pomme de terre (solubilité de 65% et 40% respectivement). Dans les rations à base d'ensilage de maïs l'apport d'amidon total dépasse 6 kg/jour. Compte tenu de la vitesse de dégradation de l'amidon de maïs ensilage (solubilité 86%) ces rations sont caractérisées par une dégradation de l'amidon soit rapide (ensilage de maïs - blé) soit mixte (ensilage de maïs - pommes de terre). La production de lait brut et de protéines augmente avec la quantité d'amidon apportée par la ration malgré une diminution des taux butyreux et protéique avec un effet seuil aux alentours de 6-7 kg/jour dissociant les rations à base d'ensilage de maïs de celles à base d'ensilage d'herbe. En absence d'une réponse de l'ingestion, de la production laitière ou des protéines du lait, le résultat majeur est une diminution de la matière grasse du lait (en teneur et en quantité) avec le blé comparativement aux pommes de terre dans des rations à base d'ensilage de maïs c'est-à-dire pour des ingestions supérieures à 7 kg d'amidon/jour (en moyenne -3 g de TB/kg et -100 g de matière grasse/jour). La composition de la matière grasse du lait montre pour le blé significativement moins d'acides gras courts et moyens et plus d'acides gras longs. La fermentation des rations à base d'ensilage de maïs est similaire pour les deux concentrés. La chute postprandiale du pH est plus prononcée avec le blé mais la concentration en AGV totaux et leur composition sont statistiquement identiques tout au long de la cinétique ce qui est confirmé par l'absence de réponse des métabolites sanguins. Les précurseurs de la matière grasse du lait ne sont donc pas affectés par la nature du concentré. La teneur plus faible en matière grasse avec le blé pourrait alors provenir d'une inhibition d'enzymes indispensables pour la synthèse. En effet, le profil de la matière grasse du lait montre pour le blé significativement plus de C18:1 trans (4,4% contre 2,7%), notamment pour l'isomère de position D10 (+1,46 %) particulièrement inhibiteur pour des enzymes de la synthèse de novo et des désaturases.NANCY-INPL-Bib. électronique (545479901) / SudocSudocFranceF
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