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    Pour une approche globale et solidaire en sécurité alimentaire

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    Les données disponibles sur l'insécurité alimentaire sont souvent réductrices ou inadéquates, donnant lieu à une certaine «invisibilisation» du problème. En France, la dernière enquête d'ampleur réalisée il y a dix ans par l'Agence nationale, alimentation, environnement, travail précisait que 12% des ménages étaient en insécurité alimentaire, surtout les petits salariés, les personnes seules, les familles et les personnes sans abri (ANSES 2007). Au Canada, en 2012, l'insécurité alimentaire touchait 11,4% de la population, dont 1,15 million d'enfants (Tarasuk et al. 2012). Les groupes les plus concernés sont les familles monoparentales, les femmes, les autochtones, les personnes à faible revenu (dont les personnes assistées sociales et les travailleurs pauvres), les personnes seules, les personnes vivant en colocation (souvent aux études) et les familles avec des enfants âgés de 5 à 12 ans (Régimbal, et al, 2016). En Italie, en 2014, 12,6% de la population était touchée par ce problème (contre 7,5% en 2008) (Eurostat 2015 ; Maino et al., 2016). Bien qu'il n'existe aucune donnée spécifique sur la situation de la pauvreté alimentaire en Espagne et en Catalogne, il est permis de croire que près d'un tiers de la population risque de se retrouver dans cette situation (Fargas et al., 2014; Pomar et Tendero, 2015)

    Les Problèmes : Pivots de l'apprentissage par problème (app)' et de la motivation?

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    Redo Pelvic Surgery and Combined Metastectomy for Locally Recurrent Rectal Cancer with Known Oligometastatic Disease: A Multicentre Review

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    Introduction: Historically, surgical resection for patients with locally recurrent rectal cancer (LRRC) had been reserved for those without metastatic disease. ‘Selective’ patients with limited oligometastatic disease (OMD) (involving the liver and/or lung) are now increasingly being considered for resection, with favourable five-year survival rates. Methods: A retrospective analysis of consecutive patients undergoing multi-visceral pelvic resection of LRRC with their oligometastatic disease between 1 January 2015 and 31 August 2021 across four centres worldwide was performed. The data collected included disease characteristics, neoadjuvant therapy details, perioperative and oncological outcomes. Results: Fourteen participants with a mean age of 59 years were included. There was a female preponderance (n = 9). Nine patients had liver metastases, four had lung metastases and one had both lung and liver disease. The mean number of metastatic tumours was 1.5 +/− 0.85. R0 margins were obtained in 71.4% (n = 10) and 100% (n = 14) of pelvic exenteration and oligometastatic disease surgeries, respectively. Mean lymph node yield was 11.6 +/− 6.9 nodes, with positive nodes being found in 28.6% (n = 4) of cases. A single major morbidity was reported, with no perioperative deaths. At follow-up, the median disease-free survival and overall survival were 12.3 months (IQR 4.5–17.5 months) and 25.9 months (IQR 6.2–39.7 months), respectively. Conclusions: Performing radical multi-visceral surgery for LRRC and distant oligometastatic disease appears to be feasible in appropriately selected patients that underwent good perioperative counselling
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