Pneumocystis jirovecii pneumonia in non-HIV patients: need for a more extended prophylaxis

BackgroundPneumocystis jirovecii pneumonia (PCP) has a significant mortality rate for non-HIV immunocompromised patients. Prevention is primarily based on combined trimethoprim and sulfamethoxazole (TMP-SMX) but guidelines on pneumocystosis prophylaxis are scattered and not consensual.ObjectivesThis study aims to describe PCP in non-HIV patients and to review case by case the prior indication of prophylaxis according to specific guidelines.We included patients with confirmed diagnosis of PCP admitted to one university hospital from 2007 to 2020. Prior indication for pneumocystis prophylaxis was assessed according to the specific guidelines for the underlying pathology or treatment.ResultsOf 150 patients with a medical diagnosis of PCP, 78 were included. Four groups of underlying pathologies were identified: hematological pathologies (42%), autoimmune diseases (27%), organ transplantation (17%), and other pathologies at risk of PCP (14%). A small subgroup of 14 patients (18%) had received a prior prescription of pneumocystis prophylaxis but none at the time of the episode. Transfer to intensive care was necessary for 33 (42%) patients, and the mortality rate at 3 months was 20%. According to international disease society guidelines, 52 patients (59%) should have been on prophylaxis at the time of the pneumocystis episode. Lowest compliance with guidelines was observed in the hematological disease group for 24 patients (72%) without prescription of indicated prophylaxis.ConclusionInfectious disease specialists should draw up specific prophylactic guidelines against pneumocystis to promote a better prevention of the disease and include additional criteria in their recommendations according to individual characteristics to prevent fatal cases

Refeeding syndrome influences outcome of anorexia nervosa patients in intensive care unit: an observational study

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EVALUATION DES INDICATIONS ET DE LA DUREE DU TRAITEMENT ANTIVITAMINE K DANS UNE POPULATION D'ASSURES AGRICOLES

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Etude sur les récidives de maladie thromboembolique veineuse après un premier épisode survenu sous contraception oestroprogestative

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LUPUS ET GROSSESSE (ETUDE RETROSPECTIVE DE 14 CAS)

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PLACE DES ECHANGES PLASMATIQUES DANS LES ANEMIES HEMOLYTIQUES AUTO-IMMUNES SEVERES DE L'ADULTE

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Impact nutritionnel sur les carences en fer des femmes non ménopausées en médecine générale

La carence martiale est la plus fréquente cause d'anémie chez les femmes en âge de procréer. Sa prévalence est de 22% et 4% des femmes présente une anémie. Les menstruations en sont la principale étiologie. Par le mécanisme d'absorption du fer, les habitudes alimentaires pourraient jouer un rôle dans l'apparition de cette carence. Mais les études sont contradictoires. L'objectif est d'analyser les habitudes alimentaires des femmes carencées par rapport à une population témoin en milieu rural. Sur une période de 3 mois, 214 questionnaires ont été envoyés par le laboratoire d'analyse de Saint-Flour à des femmes âgées de 18 à 50 ans. Deux groupes ont été définis par rapport au taux de ferritine : celles ayant une ferritine inférieure à 20 g/dl et un groupe témoin défini par une ferritine supérieure à 50 g/dl. Le don du sang (p=0,05) et la grossesse (p=0,02) apparaissent comme un facteur de risque de carence martiale. L'étude des habitudes alimentaires n'a pas montré de différence significative entre les 2 groupes. Dans un pays industrialisé, en milieu rural, le régime alimentaire ne semble pas être à l'origine de l'apparition d'une carence martiale chez les femmes en âge de procréer.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

THROMBOSES ARTERIELLES ET VEINEUSES DANS LA MUCOVISCIDOSE (ROLE DES ANTICORPS ANTI-PHOSPHOLIPIDES ? ETUDE RETROSPECTIVE ET REVUE DE LA LITTERATURE)

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Le Syndrome des antiphospholipides (étude rétrospective de 59 cas)

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