214 research outputs found
Robust Unsupervised StyleGAN Image Restoration
GAN-based image restoration inverts the generative process to repair images
corrupted by known degradations. Existing unsupervised methods must be
carefully tuned for each task and degradation level. In this work, we make
StyleGAN image restoration robust: a single set of hyperparameters works across
a wide range of degradation levels. This makes it possible to handle
combinations of several degradations, without the need to retune. Our proposed
approach relies on a 3-phase progressive latent space extension and a
conservative optimizer, which avoids the need for any additional regularization
terms. Extensive experiments demonstrate robustness on inpainting, upsampling,
denoising, and deartifacting at varying degradations levels, outperforming
other StyleGAN-based inversion techniques. Our approach also favorably compares
to diffusion-based restoration by yielding much more realistic inversion
results. Code will be released upon publication.Comment: 8 pages, submitted at CVPR 202
Allégorie, détails et digression
Leiris est-il un allégoricien ?Leiris est-il un néoclassique malgré son usage de la digression ?Leiris écrit-il dans une langue morte ou dans une langue vivante ?Is Leiris an allegory maker?Is Leiris neoclassical despite his use of digression?Does Leiris write in a dead language or a living tongue?Schreibt Leiris Allegorien? Ist er ein Neoklassiker, selbst wenn er zur Digression greift? Ist Leiris Sprache eine tote Sprache oder eine lebendige
Allégorie, détails et digression
Leiris est-il un allégoricien ?Leiris est-il un néoclassique malgré son usage de la digression ?Leiris écrit-il dans une langue morte ou dans une langue vivante ?Is Leiris an allegory maker?Is Leiris neoclassical despite his use of digression?Does Leiris write in a dead language or a living tongue?Schreibt Leiris Allegorien? Ist er ein Neoklassiker, selbst wenn er zur Digression greift? Ist Leiris Sprache eine tote Sprache oder eine lebendige
La télévision chez la grand-mère
Ce texte fait partie d’un « BrĂ©viaire de la vie chez soi et non loin de chez soi » en cours de rĂ©daction. Les proses courtes qui le constiÂtuent tentent de retracer ce rĂ©seau d’attaches en quoi se rĂ©sume le « chez soi ». La notion de « chez soi » peut paraĂ®tre casanière, Ă©troite, mesquine, marquĂ©e au coin de l’égoĂŻsme bourgeois, on peut lui opÂposer l’attitude altière et intrĂ©pide du nomade, l’errance inventive de ceux qui sont privĂ©s de « chez soi ». Mais il y a une autre dimension, plus universelle, du chez soi qui recoupe l’histoire de nos origines et le rapport que nous instaurons avec le lieu. C’est cette configuration que ces textes explorent selon un mode assez libre. On suivra le fil de la mĂ©moire, celui des lectures, le fil qui nous guide, souvent sans que nous en ayons conscience, dans nos incursions rĂ©elles ou imaginaires au sein de cet espace intermĂ©diaire entre le chez soi et les destinaÂtions rĂŞvĂ©es, les fins ultimes. Ces fils tressĂ©s, notre main se serre sur eux quand nous rencontrons le danger dans l’espoir qu’ils nous aident Ă le franchir et nous raccompagnent en lieu sĂ»r
La télévision chez la grand-mère
Ce texte fait partie d’un « BrĂ©viaire de la vie chez soi et non loin de chez soi » en cours de rĂ©daction. Les proses courtes qui le constiÂtuent tentent de retracer ce rĂ©seau d’attaches en quoi se rĂ©sume le « chez soi ». La notion de « chez soi » peut paraĂ®tre casanière, Ă©troite, mesquine, marquĂ©e au coin de l’égoĂŻsme bourgeois, on peut lui opÂposer l’attitude altière et intrĂ©pide du nomade, l’errance inventive de ceux qui sont privĂ©s de « chez soi ». Mais il y a une autre dimension, plus universelle, du chez soi qui recoupe l’histoire de nos origines et le rapport que nous instaurons avec le lieu. C’est cette configuration que ces textes explorent selon un mode assez libre. On suivra le fil de la mĂ©moire, celui des lectures, le fil qui nous guide, souvent sans que nous en ayons conscience, dans nos incursions rĂ©elles ou imaginaires au sein de cet espace intermĂ©diaire entre le chez soi et les destinaÂtions rĂŞvĂ©es, les fins ultimes. Ces fils tressĂ©s, notre main se serre sur eux quand nous rencontrons le danger dans l’espoir qu’ils nous aident Ă le franchir et nous raccompagnent en lieu sĂ»r
Exode
Ce texte fait partie d’un « Bréviaire de la vie chez soi et non loin de chez soi » en cours de rédaction. Les proses courtes qui le constituent tentent de retracer ce réseau d’attaches en quoi se résume le « chez soi ». La notion de « chez soi » peut paraître casanière, étroite, mesquine, marquée au coin de l’égoïsme bourgeois, on peut lui opposer l’attitude altière et intrépide du nomade, l’errance inventive de ceux qui sont privés de « chez soi ». Mais il y a une autre dimension, plus universelle, du chez soi qui recoupe l’histoire de nos origines et le rapport que nous instaurons avec le lieu. C’est cette configuration que ces textes explorent selon un mode assez libre. On suivra le fil de la mémoire, celui des lectures, le fil qui nous guide, souvent sans que nous en ayons conscience, dans nos incursions réelles ou imaginaires au sein de cet espace intermédiaire entre le chez soi et les destinations rêvées, les fins ultimes. Ces fils tressés, notre main se serre sur eux quand nous rencontrons le danger dans l’espoir qu’ils nous aident à le franchir et nous raccompagnent en lieu sûr
Élucubrations. Une fantaisie nocturne
Ce texte est le finale du Bréviaire de la vie chez soi, et non loin de chez soi, qui paraîtra prochainement, inch’allah.This text is the finale of Bréviaire de la vie chez soi (Breviary of the life at home) and not far from home, a book to be published very soon, inch’allah
On ira tous au paradis ou La création continue
Une approche personnelle de la drogue et une lecture des textes de Benjamin sur la drogue.A personal approach of the problem of drug and an interpretation of the texts about drugs by Benjamin
Mes universités, c’était Paris IV et Jussieu
J’ai connu deux universités, l’une traditionnelle et l’autre moderne. La première que j’ai connue, c’était Paris IV, l’université réactionnaire, celle de Deloffre, célèbre pour avoir mordu le mollet d’une étudiante contestatrice. Je m’en suis détourné avec dégoût pour aller écouter le discours universitaire des maîtres qui avaient lu Sade, Lautréamont, Freud, Sacher-Masoch, Tony Duvert et Pierre Guyotat. Je croyais alors quitter un discours universitaire complètement obsolète pour accéder à u..
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