70 research outputs found

    Borgeat, Louis, La sécurité d'emploi dans le secteur public, Essai

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    Influence des préoccupations de carrière sur la fluctuation des attitudes au travail

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    La présente étude examine les fluctuations observées au niveau des attitudes au travail selon les étapes de carrière telles que définies initialement par Super (1957), et reprises ultérieurement par plusieurs chercheurs. Comme les modèles basés sur l’âge et l’ancienneté sont hautement critiqués en raison de l’inconsistance des résultats qu’ils génèrent, ils ont été incorporés à la présente étude à des fins de comparaison. Lorsque les étapes de carrière sont établies en fonction des préoccupations de carrière actuelles des individus, les résultats démontrent que les répondants aux périodes d’exploration et de désengagement rapportent, de façon générale, des attitudes au travail plus négatives que ceux qui se situent aux périodes d’établissement et de maintien. Les modèles basés sur l’âge et l’ancienneté dans l’organisation rapportent quant à eux peu de variation dans les attitudes au travail, confirmant ainsi les limites de l’utilisation de ces indicateurs comme variable d’approximation de l’étape de carrière

    David Marsden, Marchés du travail: limites sociales des nouvelles théories

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    Les âges de la vie et les aspirations en matière de temps de travail

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    L’intensification d’un conflit entre responsabilités personnelles ou familiales et activités professionnelles a été mise en évidence dans un certain nombre de travaux mais certains articles ont aussi questionné ce manque de temps. Comment expliquer cette apparente contradiction ? Les auteurs analysent l’évolution du temps de travail et les aspirations des personnes en emploi, puis confrontent leur analyse aux données d’une grande enquête canadienne (Enquête sur les milieux de travail et les employés). Ils observent qu’entre 1999 et 2002, le degré de stabilité des heures de travail a augmenté. Par contre, en parallèle, il y a eu augmentation du pourcentage de travailleurs de 44 ans et moins travaillant sur des horaires rotatifs. L’amélioration de la stabilité est alors annulée. Sur l’incidence de la semaine réduite de travail, la comparaison 1999-2002 révèle qu’il y a eu diminution de cette pratique. Quant à la semaine comprimée de travail, son incidence augmente pour les moins de 25 ans et les plus de 55 ans, mais diminue pour les autres groupes, soit ceux qui sont le plus susceptibles d’avoir du mal à concilier travail et famille. Les données montrent aussi que plus de gens veulent augmenter leurs heures de travail que les réduire, et que ce phénomène s’est accentué en 2002. La minorité qui aimerait réduire ses heures souhaite surtout augmenter ses temps de loisirs, sauf les 35-44 ans, dont la majorité voudrait ainsi s’acquitter mieux de ses responsabilités familiales.While many studies have found increasing difficulties in achieving work-life balance, others have doubted there is any lack of time. How can we understand this seeming contradiction ? This article analyses changes in working time and hours of work, assessing them with the data from a large Canadian survey (Workplace and Employee Survey). It finds that between 1999 and 2002, working hours were increasingly stable but at the same time a greater percentage of workers under 45 worked shifts. The improvement in stability is thus cancelled out. From 1999 to 2002, fewer people worked a reduced workweek. The compressed workweek increased among those under 25 and over 55, but declined among the other age groups, those most likely to have difficulties balancing work and family. The data also show that more people want to increase their hours of work than reduce them, a pattern that is even stronger in 2002. The minority wanting to reduce their working time seek greater leisure, except for those aged 35-44 who want less hours because of family responsibilities

    Le télétravail: Une façon de concilier emploi et famille ?

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