27 research outputs found
The role of firms' collaborative agreements in the information technology industry transformation
While most articles on firm partnerships focus on the firm, the alliance or networks, we investigate the role of collaborative agreements during industrial transformation phases. Observation of a single industry, the Information Technology (IT) industry, shows that the growth of collaborative agreements formed by industry leaders in the early 1990s can be interpreted as an attempt to absorb a major industry shock characterized by vertical disintegration and the emergence of 'divided technical leadership'. Such firms have adopted collaborative agreements to maintain their leadership by controlling new entrants in the new industry segments that have resulted from the disintegration. Partnerships became a strategic component of the new 'divided technical leadership' market structure that emerged from the competitive crash of the early 1990s. © 2004 Taylor and Francis Ltd.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe
Etude des aspects stratégiques du processus de formation d'accords de collaboration chez les grands constructeurs informatiques
Cette recherche a eu pour but principal de montrer, à travers l’exemple de l’industrie informatique dans les années 90, que la stratégie de partenariat est aujourd’hui devenue un outil essentiel pour permettre aux entreprises à la tête d’une industrie à forte innovation technologique, confrontée à des changements structurels importants, et en particulier à la désintégration menant au leadership technologique partagé, de maintenir leur position dominante. Les quatre parties du travail constituent une suite logique d’étapes contribuant chacune à valider la thèse: la partie I porte sur la synthèse des principaux courants de la littérature scientifique sur les accords de collaboration et leur relation avec l’évolution des industries. Le but poursuivi dans la partie II est de décrire les changements intervenus dans l’industrie informatique au cours des années 90 et de formuler l’hypothèse d’une relation entre ces changements et la stratégie des firmes dans le domaine des accords de collaboration. Cette hypothèse est vérifiée empiriquement dans les parties III et IV à l’aide d’une banque de données sur les accords de collaboration. La partie III du travail présente les résultats descriptifs et la partie IV les résultats analytiques permettant de valider l’hypothèse.Doctorat en sciences de gestioninfo:eu-repo/semantics/nonPublishe
The Role of Firms Collaborative Agreements in the I.T. Industry Transformation
While most articles on firm partnerships focus on the firm, the alliance or networks, we investigate the role of collaborative agreements during industrial transformation phases. Observation of a single industry, the Information Technology (IT) industry, shows that the growth of collaborative agreements formed by industry leaders in the early 1990s can be interpreted as an attempt to absorb a major industry shock characterized by vertical disintegration and the emergence of 'divided technical leadership'. Such firms have adopted collaborative agreements to maintain their leadership by controlling new entrants in the new industry segments that have resulted from the disintegration. Partnerships became a strategic component of the new 'divided technical leadership' market structure that emerged from the competitive crash of the early 1990s.info:eu-repo/semantics/publishe
Smart City Block: WP11 :Sélection d’un site
Après deux années de recherche (2012-2013), essentiellement théorique, pour explorer les différentes disciplines mobilisées par le concept de « Smart City Block » (SCB), la suite du projet de recherche se veut résolument plus concrète à travers la « coélaboration » de solutions avec les habitants et autres acteurs de terrain.Compte tenu des enseignements tirés de l’étude d’appétence réalisée durant les deux premières années du projet SCB, la mise en pratique des concepts sera réalisée en deux phases :• La première (2014-2015) s’attache à explorer les possibilités de réalisation d’un projet SCB au sein d’îlots que l’on peut qualifier d’ « early adopters » où existe déjà une dynamique au sein des habitants et où des personnes relais peuvent être identifiées.C’est dans ce cadre que s’est situé initialement le work package 11 (WP11). Premier work package de cette phase de la recherche, il vise à identifier l’îlot qui fera l’objet de toute notre attention afin d’y proposer, avec tous les acteurs concernés, les solutions les plus adéquates parmi celles identifiées lors du WP4 (Offre de référence).• Dans une seconde phase (2015-2016), la recherche s’attachera à étudier les solutions spécifiques à mettre en place dans les îlots frappés par la « précarité énergétique ». Dans la mesure du possible, cet aspect particulier de la problématique SCB pourra être intégré dans la phase précédente étant donné que de nombreux îlots bruxellois sont susceptibles de l’illustrer. C’est dans cette optique qu’il a été décidé d’étendre le WP11 à la recherche d’îlots propices à l’étude de la précarité énergétique. L’objectif du WP11 est donc de sélectionner un ou plusieurs sites réels dans l’une des 19 communes bruxelloises afin de réaliser une étude de faisabilité complète.D’emblée, il a été décidé que l’identification des îlots sur lesquels allaient porter nos futurs travaux de « coélaboration » de solutions devrait se faire idéalement sur la base d’une approche « bottom-up » cherchant à susciter des initiatives de la part des habitants des îlots concernés, qu’elles soient individuelles ou collectives, par exemple à partir de comités de quartiers, groupes d’habitants informels, ou s’insérant dans des structures déjà établies (Espace de Développement Renforcé du Logement et de la Rénovation (EDRLR), Contrats de Quartier Durable (CQD) ou Quartiers Durables (QD)).Compte tenu de ce désir de faire émerger toutes les marques d’intérêt de la part des habitants en faveur de SCB, il est rapidement apparu qu’un « appel à candidatures » devait être lancé tous azimuts et qu’il s’imposait d’avoir recours à tous les moyens de communication modernes afin d’optimiser sa diffusion au sein de la population bruxelloise.Un grand soin a été mis tant pour la préparation de l’appel à candidatures que pour le choix des moyens de communication utilisés pour sa diffusion (Site internet www.smartcityblock.be ,activation des réseaux de contacts des membres de l’équipe SCB afin de relayer l’appel).Sur le conseil de la Fondation Roi Baudouin, laquelle dispose d’une large expérience en matière d’appels à projets, l’équipe SCB s’est attachée à mettre en place un processus de sélection d’îlots parmi les candidatures déposées le plus rigoureux possible :seules les candidatures déposées au plus tard le 31/12/2014 en remplissant un bref questionnaire disponible sur le site www.smartcityblock.be ont été prises en compte et le processus de sélection s’est ensuite opéré en deux phases successives, la première aboutissant à la présélection d’un nombre restreint d’îlots (de 3 à 5) sur base d’une approche quantitative (pondération de critères choisis à partir des données en notre possession (réponses au questionnaire de l’appel à projet et données recueillies lors du WP3 -Critères de Segmentation du Marché), et la seconde visant à opérer le choix final de l’îlot pour chacune des deux catégories (« early adopters » et « précarité énergétique ») au travers d’une enquête de terrain approfondie dans les îlots présélectionnés.Afin de maximiser nos chances d’obtenir un nombre suffisant de candidatures valables, il a également été décidé d’emblée de ne pas restreindre l’appel à projet aux initiatives « bottom-up » émanant des habitants mais d’en permettre l’accès à tout qui souhaitait rentrer une candidature.Cet élargissement de l’appel a abouti à ce qu’une proportion significative des candidatures déposées émane in fine des autorités communales compétentes pour l’îlot proposé (Auderghem, Molenbeek Saint Jean, Schaerbeek, Saint-Josse-ten-Noode, et Etterbeek quoique pour cette dernière il s’est agi d’une initiative mixte émanant en réalité des habitants mais encadrée par les autorités communales). Ces candidatures « top-down » ont souvent été appuyées par une décision de l’autorité communale prise en Collège officialisant le soutien au projet SCB et ouvrant la porte à un soutien tant financier qu’en termes de ressources humaines.Request to access the full reports should be addressed to [email protected]:eu-repo/semantics/publishe
Smart City Block: WP12 :Processus de coélaboration
Le processus de sélection de l’îlot de type « early adopters » où nous allions ensuite poursuivre nos travaux ayant abouti à désigner l’îlot d’Uccle début mai 2015 (WP11), l’équipe « Smart City Block » (SCB) y a immédiatement démarré le processus de coélaboration de solutions SCB avec l’ensemble des personnes concernées (« acteurs » ou « stakeholders ») :habitants de l’îlot, entreprises, école, église et paroisse, pouvoirs communaux etc.Notre approche méthodologique s’est orientée vers une démarche « bottom-up », c’est-à -dire une approche ascendante partant des besoins identifiés sur le terrain. Chaque îlot est singulier et de ce fait ses habitants aussi. Les demandes et envies des habitants sont ainsi propres à leur îlot, à ses caractéristiques technique, géographique tout comme à sa dynamique. Le catalogue Smart City Block doit donc être appréhendé comme un catalogue des possibles dans lequel des micro-projets pourront être associé afin de concevoir une solution globale Smart City Block. Le recours à un processus participatif nous apparaît de ce fait indispensable. L’objectif de cette étape déterminante du projet SCB était de faire émerger les besoins et souhaits des différents acteurs (stakeholders) de l’îlot afin d’ensuite pouvoir les traduire lors de l’étape de « modélisation » dans des solutions SCB répondant aux besoins exprimés (WP14). In fine, il nous faut identifier une proposition globale Smart City Block, constituée de micro-projets, qui pourraient être implémentée dans l’îlot, dans sa faisabilité technique, économique et sociale.Compte tenu de ces quatre grands principes, l’approche retenue pour le dialogue avec les habitants et autres acteurs de l’îlot a consisté en trois grandes étapes :• Diagnostic approfondi de l’îlot sélectionné. Le diagnostic approfondi de l’îlot a été constitué sur base d’une enquête de terrain auprès des habitants de l’îlot, via des entretiens qualitatifs, combinée à des données statistiques propres à l’îlot.• Organisation des séances de co-construction de la solution. Les séances de coélaboration sont un outil permettant de faire émerger des idées nouvelles provenant des habitants et de leurs vécus. Cette méthodologie créative place les habitants au cœur du dispositif créatif. L’usager est alors porté au rang d’expert de son expérience.• Sélection des micro-projets constitutifs de la solution globale SCB. Enfin, la définition de la proposition globale est la dernière étape du processus de coélaboration. Il s’agit de valider avec les habitants les micro-projets qui constitueront la solution globale SCB sur laquelle seront réalisées l’étude de faisabilité et une modélisation en profondeur durant l’année 2016 (WP14).Request to access the full reports should be addressed to [email protected]:eu-repo/semantics/publishe
The impact of collaborative agreements on firms' performances: the case of the IT industry in the 90s
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Smart City Block: WP13 :Précarité énergétique
Ce document s’inscrit dans la complémentarité du projet par rapport aux WP11 et WP12. Le WP11 portait sur le processus de sélection de site et a abouti à la sélection d’un îlot d’ "early adopters", tandis que le WP12 se focalise sur la mise en pratique des concepts étudiés dans les WP précédents. Par "early adopters" nous entendons des habitants déjà engagés dans une dynamique de quartier (via un comité de quartier, une initiative de quartier durable, une asbl, …). En effet, nous faisons l’hypothèse que des habitants déjà mobilisés dans leur quartier auront une propension plus grande à mettre en œuvre un projet Smart City Block au sein de leur îlot.Notre approche méthodologique s’est orientée vers une démarche "bottom-up", c’est-à -dire une approche ascendante partant des besoins identifiés sur le terrain. Chaque îlot est singulier et de ce fait ses habitants aussi. Les demandes et envies des habitants sont ainsi propres à leur îlot, à ses caractéristiques technique, géographique tout comme à sa dynamique. Le catalogue Smart City Block doit donc être appréhendé comme un catalogue des possibles dans lequel des micro-projets pourront être associés afin de concevoir une solution globale Smart City Block. Le recours à un processus participatif nous apparaît de ce fait indispensable.Il est certain que le type d’îlot qualifié de "early adopters" n’est représentatif que d’une partie des îlots bruxellois identifiés et caractérisés aux cours des WP précédents. Pour obtenir une vision plus contrastée des possibles, il a également été décidé de sélectionner et étudier un îlot diamétralement opposé sur les plans socio-économique et environnemental, plus en lien avec la problématique de la précarité énergétique.L’étude et l’analyse des solutions potentielles SCB et leurs caractéristiques dans un tel type d’îlot fait l’objet de ce WP, dont les trois principaux objectifs sont :1- analyser plus en profondeur l’îlot sélectionné pour mieux en cerner les spécificités et complexités et identifier des solutions SCB potentielles ;2- réaliser une enquête de terrain pour faire connaissance avec les principaux intéressés (habitants, travailleurs, propriétaires), identifier leurs attentes et envies par rapport au quartier et à l’îlot en particulier ;3- sur base des deux premiers objectifs, proposer éventuellement une ou plusieurs tables-rondes thématiques, avec les citoyens, pour identifier les micro-projets potentiels à développer.Request to access the full reports should be addressed to [email protected]:eu-repo/semantics/publishe
The impact of collaborative agreement on firms' performances: The case of the IT industry in the 1990s
In the information technology (IT) industry, which confronted a major transition phase during the 1990s, partnerships became a strategic component of the new 'divided technical leadership' that emerged from the industry's vertical disintegration. This paper attempts to evaluate the impact of 1676 partnerships on the financial performance (revenue and profit) of 14 large firms and 725 of their partners. On average, there is a positive impact of collaborative agreements on large incumbents and their partners' financial performance. These results vary according to the type, form and content of the agreement and according to the partner's field of activity. Incumbents get the most benefit from broad informal alliances while smaller and more hierarchical forms of partnerships (consortia, joint-ventures) do profit to their partners. For large incumbents, partnerships are more effective with partners from the services industry than with partners from the IT industry.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe
The impact of collaborative agreements on firms' performances: the case of the IT industry in the 90s
info:eu-repo/semantics/publishe