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    Enquête de pratique sur les examens complémentaires neurologiques en néonatologie de niveau III en France en 2009

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    Cette étude a pour but de décrire l utilisation des examens complémentaires d évaluation neurologique en réanimation néonatale.Méthodes : Il s agissait d une étude effectuée par l intermédiaire d un questionnaire envoyé à tous les services de néonatalogie de niveau III en France métropolitaine et DOM-TOM soit 70 centres. Celui-ci portait sur la pratique des examens complémentaires (EEG conventionnel et simplifié, ETF, TDM et IRM).Résultats : Nous avons obtenu une réponse de 26 centres dont la moitié de CHU. L ETF reste l examen le plus utilisé et le plus accessible. Il était utilisé systématiquement dans la surveillance des prématurés et très fréquemment pour les enfants à terme (84,6%). Pour les deux populations, il permettait une évaluation précoce. Cependant, il existait une grande diversité en termes de fréquence. L IRM était présent dans 88,5% pour les prématurés et 80,8% pour les enfants à terme. Le moment de sa réalisation était extrêmement variable. L EEG n était effectué que dans 25% des centres, en période de garde, pour surveillance d un nouveau-né en souffrance neurologique. On le retrouvait dans 73,1% des centres, pour la surveillance systématique des prématurés. Les techniques simplifiées d EEG n ont pas encore investis les services de néonatologie (42,3%).Conclusion : Il existait une grande variabilité en termes de fréquence d utilisation de chaque examen. L ETF reste l examen privilégié notamment pour l évaluation neurologique précoce. L IRM pose encore des problèmes d accessibilité et surtout du moment de réalisation pour obtenir le maximum d informations. L aEEG n a pas résolu le problème d accessibilité de l EEG.ANGERS-BU Médecine-Pharmacie (490072105) / SudocSudocFranceF

    Lésions intracrâniennes après un traumatisme crânien accidentel chez l'enfant de moins de trois ans

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    Objectif : Etude descriptive clinique et radiologique des traumatismes crâniens graves de l enfant de moins de trois ans afin de déterminer s il existe des concordances entre les circonstances de survenue, les signes cliniques et les signes tomodensitométriques. Méthodologie : Etude rétrospective portant sur les données cliniques, cutanées, et radiologiques des enfants de moins de trois ans, hospitalisés pour un traumatisme crânien accidentel et ayant bénéficié d un TDM cérébral entre janvier 2002 à février 2010. Les conditions de survenue ont été classées en fonction du mécanisme (haute ou basse énergie). Les signes d alerte et les signes de gravité ainsi que les signes cutanés ont été recherchés. Les scanners cérébraux ont été revus. Les atteintes des parties molles, des structures osseuses et cérébrales ont été notées. La lésion cérébrale la plus sévère a été retenue. Conclusion : Il existe un lien fort entre mécanisme du traumatisme, lésions osseuses et lésions intracrâniennes. Les hématomes sous-duraux surviennent lors d accident à haute énergie . Les hématomes extraduraux sont possibles pour des chutes de petite hauteur. La recherche d un maximum de témoignages fiables de l accident ainsi que de lésions cutanées associées est nécessaire. En cas de doute sur la concordance des lésions intracrâniennes et du mécanisme de l accident, une équipe pluridisciplinaire doit être systématiquement réunie afin de statuer sur le cas présenté.ANGERS-BU Médecine-Pharmacie (490072105) / SudocSudocFranceF

    Le syndrome de Guillain Barré chez l'enfant (revue de la littérature à propos de cinq observations)

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    Le syndrome de Guillain Barré est une polyradiculonévrite aiguë de pathogénie auto-immune complexe, atteignant la myéline et/ou l'axone, défini par une triade clinico-biologique (paralysie ascendante, aréflexie et dissociation albuminocytologique dans le liquide céphalo-rachidien), d'évolution triphasique plutôt favorable chez l'enfant. Les formes cliniques sont nombreuses, plus ou moins évocatrices mais doivent toujours faire réaliser un électromyogramme en cas de doute car les complications neurovégétatives sont imprévisibles et potentiellement fatales. Elles doivent être attentivement recherchées imposant toujours une hospitalisation en réanimation ou a proximité immédiate. Des traitement spécifiques incomplètement évalués chez l'enfant sont utilisables en cas de perte de la marche ou de défaillance respiratoire.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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