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    La place du traitement peu ou non invasif dans la prise en charge de la grossesse extra-utérine à l’hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé: une analyse rétrospective sur cinq ans

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    La grossesse extra-utérine (GEU) est la plus fréquente des urgences chirurgicales gynécologiques. Bien que l’abstention thérapeutique, le traitement médical et la coelioscopie soient de plus en plus pratiqués dans notre pays, la prise en charge chirurgicale par laparotomie reste la modalité thérapeutique la plus fréquemment utilisée. L’objectif de notre travail était de déterminer la place des traitements peu ou non invasifs dans la prise en charge de la grossesse extra-utérine à l’Hôpital Gynéco- Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé. Il s’agissait d’une étude rétrospective descriptive ayant eu lieu au Service de Gynécologie & Obstétrique de l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé. Toutes les patientes ayant été reçues avec un diagnostic de GEU du 1er Janvier 2004 au 31 Décembre 2008 ont été incluses. Au total 281 dossiers respectaient nos critères d’inclusion et ont pu être analysés. 59 patientes (21,0% des cas) ont bénéficié avec succès d’un traitement peu ou non invasif. Parmi elles, 37 patientes (62,71% des cas) ont bénéficié avec succès du traitement médical. La coelioscopie a été la voie d’abord utilisée chez 19 patientes opérées (32,20% des cas). L’abstention thérapeutique avec contrôle clinique, échographique et biologique a été adoptée avec succès chez 3 patientes (5,09% des cas). Le traitement chirurgical par laparotomie a concerné la plupart des cas diagnostiqués (79,00% des cas, soit 222 patientes). Le traitement peu ou non invasif de la GEU est une réalité dans notre environnement. Le traitement médical est la modalité non invasive la plus utilisée, suivie de la coelioscopie et enfin de l’abstention thérapeutique.MOTS CLES: Grossesse extra-utérine – Traitement conservateur – Traitement médical – Abstention thérapeutique – Coelioscopie

    A survey of the knowledge, attitude and practice of the labour partogramme among health personnel in seven peripheral hospitals in Yaounde, Cameroon.

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    Late referrals of complicated labour cases and prolonged labour contribute a major part in maternal morbidity and mortality. The labour partogramme has been shown to be an effective instrument in the follow-up of labour cases. The referal maternities of Yaounde still receive delayed and poorly managed cases of labour from the peripheral hospitals. The rationale of this study was to assess the knowledge, attitude and practice of the labour partogramme among the health personnel in the main centers where referrals come from. We interviewed the personnel of those hospitals who accepted to enroll in the study. Students and those who were not willing to participate in the study were excluded, and the study lasted for 3 months from January to March 2006. Our results showed that the personnel had a good knowledge of the labour partogramme, especially (100%) amongst the doctors. They also had a positive attitude towards the labour partogramme. However, the partogramme was not routinely used, with only 50% of the respondents who accepted using it regularly. Most of them blamed the low rate of use to the unavailability of the partogramme. Despite the very good knowledge of the labour partogramme and the positive attitude towards its use, the rate of use still remains very low. We do recommend that the training of the personnel should be more practical and the labour partogramme made available to both private and public hospitals. An audit system should also be put in place to ensure the effective use of the partogramme.KEY WORDS: Partogramme – Labour – Knowledge – Attitude - Practice

    Grossesse extra-uterine a l’hopital regional de bafoussam: aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques.

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    La grossesse extra-utérine (GEU) constitue une pathologie grave en prémier trimestre de grossesse. Elle est la prémiere cause de la mortalite maternelle en prémier trimestre. Son diagnostic et la prise en charge précoce éviterait les complications. Notre objectif était d’évaluer les grossesses extra-utérines à l’Hôpital Régional de Bafoussam depuis dix ans. Nous avons mené une étude rétrospective de dix ans, du 30 Novembre 1998 au 30 Novembre 2008 au service de gynécologie-obstétrique. Les informations ont été recueillies à l’aide d’un questionnaire anonymée préétablie. Un total de 416 cas de GEU pour 17 918 accouchements ont été enregistrés, soit une fréquence globale de 2,3%. La prise en charge était essentiellement chirurgicale par laparotomie, radicale dans 63,86%. Le taux de survie était de 100%. La GEU reste une pathologie fréquente dans notre milieu, avec une fréquence hospitalière de 2,3% des naissances vivantes. La prise en charge est essentiellement chirurgicale par laparotomie. Aucun cas de deces n’a été retrouvé.MOTS CLES: Grossesse extra-utérine – Epidémiologie – Clinique - Thérapeutique
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