17 research outputs found

    Thibaut Boyer : Quelqu'uns

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    Evaluation de la prise en charge de la douleur après chirurgie ambulatoire en pédiatrie un an après mis en place de l'échelle PPMP

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    INTRODUCTION : En chirurgie ambulatoire pédiatrique, la prise en charge de la douleur au domicile est déléguée aux parents. Depuis 1 an, une échelle d'évaluation de la douleur pédiatrique en ambulatoire, l'échelle PPMP (Postoperative Pain Measure for Parents) est expliquée et remise lors de la consultation d'anesthésie au CHU de Bordeaux. Cette échelle évalue la prise en charge de la douleur après mise en place de cette échelle. MATERIELS ET METHODE : Il s'agit d'une étude observationnelle, prospective, descriptive. Ont été inclus des enfants entre 2 et 12 ans bénéficiant de chirurgies urologique, digestive, orthopédique ou cutanée. A j1 postopératoire, un entretien téléphonique était réalisé par un médecin pour évaluer la douleur postopératoire, et de troubles du comportement postopératoire. A J4 postopératoire, un questionnaire de 13 items évaluant l'utilisation de l'échelle et les antalgiques utilisés entre J2 et J4 était renvoyé par les parents (questionnaire remis à la sortie le jour de la chirurgie. RESULTATS : 94 enfants ont été inclus. Le taux de réponses téléphoniques est de 96 %, le taux de retour du questionnaire de 69 %. 80 % des patients sont des garçons. L'âge moyen est de 6 ans (+- 3 ans), 3 enfants initialement inclus sont restés hospitalisés pour rétention urinaire (après chirurgie urologique), un enfant est revenu à l'hôpital à J1 pour rétention d'urine (après cure de phimosis). A J1, 73 % des enfants ont eu au moins un épisode douloureux. Les moments les plus douloureux sont le premier soir (45 %) ainsi que le lendemain matin (35 %). 67 % des parents respectent les consignes d'administration données pour les antalgiques de palier I. Les antalgiques de secours sont administrés dans 34 % des cas à J1. L'utilisation de l'échelle PPMP est de 28 %. Cette échelle a été réexpliquée en postopératoire dans 74 % des cas. Des modifications comportementales sont notées dans 40 % des cas. DISCUSSION : La fréquence des douleurs et des troubles comportementaux est importante. Malgré les explications préopératoires relatives à la prise en charge de la douleur, les consignes données ne sont pas toujours respectées. L'échelle PPMP est très peu utilisée.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Anthropologie de la clavicule. VI. La clavicule des MĂ©lano-Africains

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    Olivier Georges, Chabeuf Maurice, Laluque Pierre. Anthropologie de la clavicule. VI. La clavicule des Mélano-Africains. In: Bulletins et Mémoires de la Société d'anthropologie de Paris, X° Série. Tome 5 fascicule 1-2, 1954. pp. 35-46

    Lésions d'usure et bruxismes chez l'adulte. 1ère partie

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    National audienc

    Lésions d'usure et bruxismes chez l'adulte. 1ère partie

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    National audienc

    Bruxisme et dysfonctionnements de l’appareil manducateur

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    Bruxism and Temporomandibular Disorders

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    Éléments de prise de décision thérapeutique, en cas d’asymétrie. 1

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    Un projet de correction d’une asymétrie doit-il être fondé seulement sur la référence à une normalité ? L’asymétrie faciale est globalement la règle, tant sur le plan anatomique que fonctionnel. Les caractéristiques des asymétries doivent être abordées et traitées avec discernement. Lorsqu’il s’agit de pratiquer des interventions esthétiques, il est nécessaire de bien appréhender les désirs et les besoins du patient. Sur le plan fonctionnel, le seuil de prise en charge dépend des capacités d’adaptation de l’appareil manducateur. Pour cela, l’orthodontiste doit prévoir dans son examen clinique une étape de dépistage des signes et symptômes des dysfonctionnements temporo-mandibulaires (DTM), pour apprécier les limites de ce potentiel d’adaptation neurophysiologique. Le praticien prendra soin d’associer le patient dans une « décision partagée », ce qui favorisera l’observance du patient durant le traitement, pour obtenir un bon niveau d’alliance thérapeutique, gage de satisfaction du résultat obtenu. La prise de décision thérapeutique se basera donc sur la demande du patient, l’évaluation diagnostique et l’estimation pronostique, et tiendra compte de la notion de médecine fondée sur les valeurs
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