17 research outputs found

    Rescue and rehabilitation of living organisms in oil spills

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    Close to 40 years after the first large transborder oil slick, controversies remain on the actual impact of oil spills on living organisms, the means to rescue a maximum of individuals, and the rehabilitation prospects for the affected environment. Objective facts are not so easy to identify,and in the present communication we define what is known and explain why there are still numerous unknown parameters. We review the nature of the impacts, the demands from the public, politicians and the industry, the requirements of the scientific community and civil society, and the prospect for changes over the next few years. We show that avifauna and sea mammal rescue, as well as the rehabilitation of certain populations (terrestrial vegetation, mangroves, coral reefs, etc.) are relatively well known topics. But we also show that most response plans still end once the pollution has been cleaned up, without consideration of the objective evaluation of the impact and implementation of appropriate rehabilitation operations.Près de 40 ans après la première grande marée noire transfrontalière, l'impact réel d'une marée noire sur le vivant, les moyens de sauvetage d'un maximum d'individus et les possibilités de restauration de ce qui a été affecté, restent l'objet de controverses au milieu desquelles il semble bien difficile de distinguer la réalité des fait. Dans ce contexte, cette communication s'attache à établir ce qui est connu et à montrer pourquoi de nombreuses inconnues subsistent, à travers une revue de la nature des impacts, de la demande du public, des politiques et des professionnels, des besoins du monde scientifique et de la société civile, des perspectives d'évolution de ces éléments à terme. Elle met en évidence que l'enveloppe du connu est assez claire pour le sauvetage de l'avifaune et des mammifères marins et pour la restauration de quelques peuplements particuliers (végétaux terrestres, mangroves, récifs coralliens, etc.). Elle montre aussi que les plans de lutte s'arrêtent encore souvent à l'issue des opérations de nettoyage de la pollution, sans prévoir ni l'évaluation objective de l'impact, ni la mise en place d'opérations de restauration des peuplements affectés

    PONTE, INCUBATIONET DÉVELOPPEMENT LARVAIREDU ROUGET DE ROCHE (MULLUS SURMULETUS)EN LABORATOIRE

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    PONTE, INCUBATIONET DÉVELOPPEMENT LARVAIREDU ROUGET DE ROCHE (MULLUS SURMULETUS)EN LABORATOIRE

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    Effect of different food levels on the growth and survival of laboratory-reared sea-bass larvae (Dicentrarchus labrax (L.))

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    Four batches of 7 500 larvae were reared during a period of one month in 150 l tanks at 18° C. The first one was fed on the basis of estimates of the required daily amount of organisms that were made by one of the authors ; the second batch was fed on the average , of the estimates made by both authors ; the third and the fourth batches were fed, respecti­vely, with,20 % above and 20 % below this average. The densities of food in the tanks varied from 0 to 16 organisms /ml before the daily meal and from 1 to 25 organisms/ml after it. There was no significant difference in the final weight or length of the larvae, although the larvae receiving. the highest food level showed a significantly better growth at the age of 15 days. Survival seemed to be better at lower feeding levels. The food conversion rates varied from 34.1 to 15.3 (wet weight) and from 18.7 to 8.4 (dry weight). The best rates were obtained at the lowest feeding level.Quatre lots de 7 500 larves de bar sont élevés pendant. un mois dans des bacs de 150 l, à 18° C. Ces larves reçoivent quotidiennement des quantités différentes de proies vivantes. Le premier lot est nourri sur la base d’une estimation de la quantité de nourriture â donner faite par une seule personne, le second sur la base de la moyenne des estimations faites par deux personnes, le troisième et le quatrième respectivement 20 % au-dessus et au-dessous de cette moyenne. La concentration des proies dans les bacs varie de 0 à 16 proies /ml avant la distribution des repas et de 1 à 25 proies/ml après. Malgré une croissance plus rapide des larves suralimentées, pendant les deux premières semaines, aucune différence significative ne subsiste en fin d'expérience. La survie finale semble meilleure dans les lots recevant moins de nourriture. Les taux de conversion de la nourriture varient de 34,1 â 15,5 en poids humide et de 18,7 â 8,4 en poids sec. Le meilleur résultat est obtenu pour le lot le moins alimenté

    Accoutumance de jeunes soles (Solea solea) à différents aliments inertes après achèvement de la métamorphose

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    A comparative test of various inert diets was performed on 9 batches of 150 one month old soles, wheighing an average 42 mg, and feeding on live brine shrimps. It lasted for 2 months, in 60 l square tanks, with sand bottoms. . A succession of frozen natural feed, ending with the Bivalve Laevioardium arassum, was compared to 2 different artificial diets, offered as dry pellets. The inurement to the pellets was facilitated by an incorporation of various meals, used as flavourings, during a 6 weeks transitory period. - At the end of the experiment, the best result, 98 % survival, average weight . 1.10 g, was obtained with the natural feed. The best flavourings for dry pellets were Laevi- cardium arassum and the Polyahaete Nephthus hombergii, with 70 % survival and 0.99 g for the first one, 52 % survival and 1.10 g for the second one. The possible reproduction of these results on a large scale is not yet demonstratedUne expérience d'accoutumance à divers aliments inertes est effectuée sur une _ série de 9 lots de 150 soles âgées de 1 mois, pesant en moyenne 42 mg, habituées à se nourrir d'Artemia salirîa vivantes. Réalisée dans des bacs carrés de 60 l, à fond de sable percolé, elle dure 2 mois. Une succession d'aliments naturels congelés, qui s'achève par de la chair du mollus que bivalve Laevicardium arassum, est comparée à deux formules d'aliments composés, présentés sous forme de granulés secs. L'accoutumance à ces granulée est facilitée par l'incorporation de diverses farines naturelles- faisant fonction d'attractant, pendant une période transitoire de 6 semaines. Au terme de l'expérience, le meilleur résultat, 98 % de survie et 1,10 g de poids moyen, est fourni par les aliments naturels. Les farines de Laevicardium crassum et de l'Annélide Polyahète Nephthus hombergii se montrent les meilleurs attraatants, avec 70 % de survie et 0,99 g en moyenne pour la première, 52 % de survie et 1,10 g en moyenne pour la seconde. La possibilité d'une application de ces résultats à grande échelle n'est pas démontrée

    Les poissons

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