30 research outputs found

    Tumeurs neuro-endocrines du pancréas (étude de 33 cas et revue de la littérature)

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    LIMOGES-BU MĂ©decine pharmacie (870852108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Cytoponction thyroïdienne echoguidée (résultats et analyse à propos de 1237 nodules)

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    Objectif : Réaliser une étude rétrospective concernant les patients ayant bénéficié d une cytoponction thyroïdienne échoguidée durant les années 2005 et 2006 à Limoges afin de réaliser une confrontation des données cyto-histologiques, et une comparaison avec les données de la littérature. Patients et méthode : L étude a porté sur 1092 patients, soit 1237 nodules, à partir des données contenues dans leur dossier médical. Les variables étudiées étaient les suivantes : les résultats des cytoponctions, les caractéristiques des nodules ponctionnés (taille, contours, vascularisation, échostructure), les résultats des 2 médecins ponctionneurs, les résultats des nodules opérés (résultats des cytoponctions, caractéristiques de ces nodules : taille, contour, vascularisation, échostructure), la confrontation cyto-histologique (sensibilité, spécificité, faux positifs et négatifs, valeurs prédictives positive et négative), et enfin la répartition selon l histologie des nodules opérés selon l âge, le sexe, et les caractéristiques échographiques des nodules. Résultats : La pratique de la cytoponction est de plus en plus importante dans notre département. Les pourcentages de cytologies bénignes, non-significatives, suspectes, et malignes sont respectivement de 70,3%, 25,9%, 3,3%, et 0,5%. On ne retrouve pas de différence significative entre les résultats des médecins ponctionneurs. Le caractère kystique ou mixte des nodules est la principale cause des cytologies non-contributives. Parmi les nodules opérés, la tranche d âge des 51-60 ans est la plus représentée, avec un sex-ratio H/F de 1/2,05. La sensibilité et la spécificité de notre étude sont respectivement de 100% et 80%. Les faux positifs sont de 9,7%, en rapport avec les limites habituelles de la cytologie, à savoir la prise en charge des tumeurs folliculaires et oncocytaires. Il n existe pas de faux négatifs. La prévalence des microcancers dans notre étude est de 3,2%. 10 cancers ont été retrouvés, soit un pourcentage de 0,81% parmi l ensemble des nodules, et de 16,1% parmi les nodules opérés. La répartition histologique est de 70% pour les formes papillaires, 10% pour les formes folliculaires, et 20% pour les microcancers. Parmi les nodules malins, l échostructure solide hypoéchogène et l irrégularité des contours nodulaires sont les critères de malignité les plus fréquemment retrouvés (respectivement dans 70% et 80% des cas). Parmi les nodules bénins, l échostructure solide hyperéchogène (30,8%) et la régularité des contours nodulaires (92,3%) sont les critères de bénignité les plus fréquemment retrouvés. Conclusion : Nos résultats sont comparables à ceux de la littérature. En association aux données cliniques, hormonales, et radiologiques, la cytoponction à l aiguille fine échoguidée est un examen essentiel dans la prise en charge diagnostique du nodule thyroïdien.LIMOGES-BU Médecine pharmacie (870852108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Corticosurrenalome malin (analyse d'un cas suivi pendant douze ans)

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    LIMOGES-BU MĂ©decine pharmacie (870852108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Incidentalomes surrénaliens (analyse de 51 observations et revue de la littérature)

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    LIMOGES-BU MĂ©decine pharmacie (870852108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Syndrome de Carney (étude de quatre cas familiaux et revue de la littérature)

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    LIMOGES-BU MĂ©decine pharmacie (870852108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Diabète et cancer du pancréas (étude rétrospective sur 10 ans)

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    Les tumeurs du pancréas ont une faible incidence de 4 à 7 cas pour 100 000 habitants par an mais une forte mortalité avec un taux de survie à 5 ans inférieur à 5%. Le diabète a une prévalence de 4% dans la population générale. Les différentes études de la littérature montrent une relation entre le diabète et le cancer du pancréas. Dans notre étude, la prévalence de diabète chez les patients atteints d'une tumeur du pancréas est de 38,8% confirmant la relation de ces deux pathologies. A partir de cette étude et notamment la présentation des 5 cas cliniques, on a pu isoler les caractéristiques du diabète pour un dépistage plus précoce des tumeurs du pancréas et permettre ainsi une meilleure prise en charge pour une amélioration du taux de survie à long terme.LIMOGES-BU Médecine pharmacie (870852108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    DIABETE ET ACROMEGALIE (ANALYSE DE 11 OBSERVATIONS ; REVUE DE LA LITTERATURE)

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    LIMOGES-BU MĂ©decine pharmacie (870852108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Avis d’experts sur les complications metaboliques des nouvelles therapies anti-cancereuses: inhibiteurs tyrosine kinase

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    International audienceTyrosine kinase inhibitors (TKI) interfere with glucose metabolism. Contrasting effects have been reported, even for a given molecule. Hyperglycemia rates range between 15 and 40%; nilotinib seems to be the molecule most liable to induce diabetes. Metabolic effects range from metabolic syndrome to onset of diabetes, requiring treatment based on insulin resistance, although pathophysiology is unclear. It is noteworthy that fulminant diabetes has never been reported under TKIs. TKIs may lead to hypoglycemia in type 1 or 2 diabetes. Several cases have been reported of improvement in glycemia and in HbA1c, with reduction or even termination of insulin therapy, mainly under imatinib and sunitinib. Fasting glucose levels should be checked before, during and after treatment, plus HbA1C in diabetic patients, with reinforced self-monitoring. These side-effects are transient and never contraindicate continuation of TKIs. Dyslipidemia under TKI has been reported, concerning both LDL-cholesterol and triglycerides. Although variations seem to be slight, lipid assessment is recommended before, during and after treatment.Les inhibiteurs des tyrosines kinases (ITK) interfèrent avec le métabolisme glucidique., Des effets opposés ont été décrits avec ces thérapies, parfois avec une même molécule. La fréquence des hyperglycémies varient de 15 à 40%, le nilotinib apparait être la molécule la plus diabétogène. Ces modifications métaboliques vont du syndrome métabolique à l’apparition d’un diabète, pouvant justifier la mise en place de traitement jouant sur l’insulino-résistance, bien que les explications physiopathologiques restent peu claires. A noter qu’aucun diabète fulminant n’a été décrit sous ITK. Les ITK peuvent exercer un effet hypoglycémiant chez des patients diabétiques de type 1 et 2. Plusieurs cas ont été rapportés avec amélioration des glycémies et de l’HbA1c, réduction voire arrêt de l’insulinothérapie, essentiellement avec l’imatinib et le sunitinib. La glycémie à jeun devra être contrôlée avant, pendant le traitement et après son arrêt, ainsi que l’HbA1C chez les patients diabétiques, avec une auto-surveillance glycémique renforcée. Ces effets secondaires sont transitoires et ne contre-indiquent, en aucun cas, la poursuite de l’ITK.>Des dyslipidémies ont été décrites sous ITK, portant à la fois sur le LDL-cholestérol et les triglycérides. Bien que ces variations semblent minimes, il est recommandé de contrôler un bilan lipidique avant, pendant le traitement et après son arrêt

    Expert opinion on immunotherapy induced diabetes

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    IF 1.444 (2017)International audienceImmunotherapy often incurs side-effects, mainly involving the skin, digestive tract and endocrine system. The most frequent endocrine side-effects involve the pituitary and thyroid glands. Cases of insulin-dependent diabetes, whether autoimmune or not (type 1 or 1B) have been reported with PD-1/PD-L1 inhibitors, alone or in association with anti-CTLA-4 antibodies, and were systematically associated with sudden-onset insulinopenia, frequently leading to ketoacidosis or fulminant diabetes, requiring first-line insulin therapy. This adverse effect has not so far been reported with anti-CTLA-4 monotherapy

    Expert opinion on the metabolic complications of mTOR inhibitors

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    IF 1.444 (2017)International audienceUsing mTOR inhibitors (mTORi) as anticancer drugs led to hyperglycemia (12-50%) and hyperlipidemia (7-73%) in phase-III trials. These high rates require adapted treatment in cancer patients. Before initiating mTORi treatment, lipid profile screening should be systematic, with fasting glucose assay in non-diabetic patients and HbA1C in diabetic patients. After initiation, lipid profile monitoring should be systematic, with fasting glucose assay in non-diabetic patients, every 2 weeks for the first month and then monthly. The HbA1C target is≤8%, before and after treatment initiation in known diabetic patients and in case of onset of diabetes under mTORi. LDL-cholesterol targets should be adapted to general health status and cardiovascular and oncologic prognosis. If treatment is indicated, pravastatin should be prescribed in first line; atorvastatin and simvastatin are contraindicated. Fenofibrate should be prescribed for hypertriglyceridemia>5g/l resisting dietary measures adapted to oncologic status. In non-controllable hypertriglyceridemia exceeding 10g/l, mTORi treatment should be interrupted and specialist opinion should be sought.L’utilisation des inhibiteurs mTOR (mTORi) comme anticancéreux est responsable d’hyperglycémies (12–50 %) et d’hyperlipidémies (7–73 %) dans les études de phase III. Ces chiffres élevés justifient une prise en charge adaptée à la population oncologique. Avant l’instauration d’un traitement par mTORi, nous recommandons la réalisation d’une exploration d’une anomalie lipidique (EAL) chez tous les patients, d’une glycémie à jeun chez les patients non diabétiques et d’une HbA1C chez les patients diabétiques. Après instauration du traitement, une surveillance de l’EAL (tous patients) et de la glycémie à jeun (patients non diabétique) est recommandée tous les 15 jours le premier mois puis mensuellement. Nous recommandons un objectif d’HbA1C inférieur ou égal à 8 %, avant et après l’instauration du traitement chez les patients diabétiques connus et en cas d’apparition d’un diabète sous mTORi. Les objectifs de LDL-cholestérol devront être adaptés à l’état général et aux pronostics cardiovasculaire et oncologique du patient. En cas d’introduction d’un traitement, la pravastatine sera prescrite en première intention ; l’atorvastatine et la simvastatine sont contre-indiquées. Nous recommandons l’instauration de fénofibrate en cas d’hypertriglycéridémie > 5 g/L résistante aux mesures diététiques adaptées à l’état oncologique du patient. En cas d’hypertriglycéridémie non contrôlable > 10 g/L, nous suggérons la suspension temporaire de mTORi et la prise d’un avis spécialisé
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