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    Élaboration et mise en place d'un programme de groupe d'éducation à la maladie chez des patients bipolaires

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    SUIVI A LONG TERME (1-8 ANS) D'UNE COHORTE DE PATIENTS TRAITES PAR CLOZAPINE (UNE ETUDE EN CONDITIONS NATURELLES)

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    Processus constitutifs de l'état de stress post-traumatique (implication des réponses psychologiques et biologiques précoces)

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    LES CONDUITES SUICIDAIRES (INTERET D'UNE APPROCHE DIMENSIONNELLE DES TROUBLES DE LA PERSONNALITE ; A PROPOS D'UNE ETUDE CLINIQUE)

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    Mise en oeuvre d'un protocole de mise en chambre d'isolement en milieu psychiatrique (l'exemple du CHU de Montpellier)

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    Détection des troubles dépressifs en médecine générale en France (état des lieux, facteurs d'influence de la détection)

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    General practitioners are bearing an increasing burden of the care of common mental disorders in France

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    International audienceIntroduction: In France, general practice is playing an increasing role in the management of common mental disorders. This is due to a variety of factors, among which the way general practice and specialised mental health services have evolved over time. Methods: A description of the status quo in France, with a comparison between France, the UK and the Netherlands. A review of reasons for the present position. Results: the general practitioner (GP) is often the only medical carer to be contated in cases of psychological distress and over 80% of psychotropic medications are prescribed in this setting. Although most common forms of mental disorder can be managed at the primary care level, GPs need to be able to refer patients rapidly to specialised mental health services. Yet there are delays for consultations with both private and public psychiatrists along with difficulties in finding beds for full-time hospitalisation. The situation is predicted to get worse with the reduction in the number of psychiatrists and GPs forecasted for the coming years. ‘Psychiatric sectorisation' has led to a substantial development of community mental health care services, yet this has not compensated fully for the reduction in full-time hospital beds. Furthermore, community mental health care services remain relatively isolated from other community health services with very limited exchanges with general practice. Conclusions: GPs report an urgent need for training in mental health. Along with improving their ability to accurately detect and treat mental disorders, it is crucial also to improve communication between GPs and psychiatrists and increase shared case-management. Structural changes are also necessary to ensure a quicker and easier access to specialised mental health care services

    Conscience des troubles et compétence au consentement chez les sujets souffrant de schizophrénie

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    L'élaboration du compromis (approche qualitative des relations entre l'interne de garde et les infirmièr(e)s de nuit à partir de l'étude du fonctionnement nocturne d'une unité fermée de psychiatrie)

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    Introduction : les relations médecin-infirmièr(e) constituent un sujet d'actualité en termes de collaboration entre les professionnels de santé. Principalement abordé du point de vue infirmier, ce sujet reflète l'évolution des deux corps de métier, au sei desquels l'interne, médecin en formation, et infirmièr(e) de nuit restent des figures méconnues. Méthodes: Cette étude a été conduite selon une méthodologie qualitativeinteractionniste. L'objectif était d'explorer les conditions de coopération entre l'interne de garde et les infirmièr(e)s de nuit dans l'unité intersectorielle fermée de psychiatrie du CHU de Montpellier. A partir de 12 nuits d'observations, 11 entretiens individuels ont été réalisés avec les acteurs des 6 situations d'interaction (5 internes de garde et 6 infirmier(e)s de nuit). Résultats :les caractéristiques des acteurs ont été associées aux spécificités de l'espace nocturne: vécu angoissant et isolement pour les internes ; autonomie d'action et identité de groupe pour les infirmièr(e)s. Au sein du fonctionnement codifié de l'unité, marqué par le rythme du post-urgence et l'impératif du sommeil pour les patients, un modèle de compromis s'est dégagé à partir des zones de tension (médicament "si besoin"). Capacité d'écoute de l'interne et nécessité de prise en compte de l'avis infinnier ont été mises en avant. Conclusion : dans une perspective interdisciplinaire, l'articulation des compétences ("responsabilité" médicale et "vivre avec" infirmier) observée au sein de cet environnement particulier plaide pour la reconnaissance du champ relationnel en médecine et souligne une modalité possible des coopérations soignantes quotidiennes à l'hôpitalMONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocSudocFranceF

    Insight et capacité à consentir au soin et à la recherche : étude exploratoire et points de vue éthiques

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    International audienceLa question de la capacité à consentir à un traitement ou à la recherche se pose pour tous les patients, mais peut-être de façon plus cruciale pour les patients souffrant de troubles mentaux. Afin de répondre à cette question, plusieurs auteurs se sont intéressés aux liens entre les symptômes cliniques de la schizophrénie et la capacité à consentir. Le but de notre étude est d’évaluer les liens entre la capacité à consentir et un symptôme d’un grand intérêt dans la schizophrénie, la conscience des troubles. Pour cela, nous avons inclus 60 patients souffrant de schizophrénie selon les critères du DSM-IV. La mesure de la capacité à consentir s’est faite grâce au MacArthur Competence Assessment tool for Treatment (MacCAT-T), et la mesure de l’insight grâce à la Scale to Assess Unawareness of Mental Disorder (SUMD). La symptomatologie a été évaluée par la Positive and Negative Syndrome Scale (PANSS). Nos résultats montrent que la dimension « compréhension » du MacCAT-T est négativement corrélée avec les scores de la dimension symptomatologie négative de la PANSS et avec le score total, mais avec aucune dimension de la SUMD. En revanche, les dimensions « appréciation » et « raisonnement » du MacCAT-T corrèlent de façon négative avec toutes les dimensions de la SUMD, et la dimension « exprimer un choix » avec les dimensions « conscience d’avoir un trouble mental » et « conscience des conséquences sociales du trouble » de la SUMD. Ces résultats confirment donc une idée « intuitive » qui est qu’il existe un fort lien entre capacité à consentir au traitement et conscience des troubles. Nous faisons l’hypothèse que ce lien pourrait se faire par le biais des troubles cognitifs
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