20 research outputs found

    Co-simulation of vehicles and crowds for rescue trials

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    In this paper, the focus is put on the integration of XVR, SE-Star and SUMO simulators via the Driver+ test-bed, where XVR provides different learning environments for all levels of incident command, SE-Star handles crowd simulation and SUMO focuses on vehicular simulation and routing. With the test-bed and the provided services these simulation tools can synchronically exchange information with each other, creating a common simulation space that offers more possibilities for CM-training, trials and tests. A simulation scenario around the train station in Rotterdam, the Netherlands, is established for demonstration of the connected systems

    Les techniques de proxidétection : une alternative à la notation conventionnelle de la phénologie foliaire ? Application à la datation du débourrement en plantation comparative de provenances de chênes sessiles

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    Il n’existe pas de méthodes de phénotypage à haut débit de la phénologie adaptées à de nombreux arbres en plantation comparative, qui permettent d’étudier de manière fine la cinétique du développement foliaire. Actuellement, l’information est obtenue uniquement par observation visuelle directe et se résume le plus souvent à la détermination du rang phénologique (ex. gradient de précocité du débourrement) des populations comparées. Nous avons testé une technique automatique de suivi en continu de la phénologie foliaire fondée sur la mesure du rayonnement photosynthétiquement actif (PAR) intercepté par la partie aérienne des arbres. Un réseau ‘prototype’ de capteurs de PAR transmis, posés au sol sous les arbres, et de PAR incident, mesuré au-dessus des arbres, a été installé en mars 2009 sur une partie limitée d’un test de provenances de chêne sessile (Quercus petraea) implanté dans la forêt de Sillegny (Moselle). Il s’agit de six parcelles unitaires (PU) de six provenances représentatives de la gamme de variation de la date de débourrement sur l'ensemble du site. La configuration géométrique des capteurs a été adaptée de manière à cibler séparément chaque PU et à limiter le rayonnement mesuré à celui provenant de la voûte céleste. Les mesures sont recueillies toutes les minutes. En parallèle, la phénologie foliaire est estimée visuellement par observation hebdomadaire de chaque arbre selon le système BBCH. Le potentiel des variations saisonnières de la fraction de PAR intercepté ou FiPAR pour dater le débourrement et la sénescence est évalué durant un cycle végétatif annuel complet. Les premiers résultats acquis sur le début de la saison de végétation sont encourageants et valident le principe de la méthode. Le FiPAR suit clairement une courbe sigmoïde de large amplitude au cours du printemps. La date de la vitesse maximale de sa croissance concorde bien avec la date de la fin de la mise en place de l’appareil foliaire observée visuellement (stade 19 du code BBCH). Ainsi, la variabilité de la chronologie du débourrement entre provenances est bien retrouvée. Le suivi journalier du FiPAR semble plus riche que les observations BBCH ponctuelles. La réduction de la période de mesure au cours de la journée, donc de la quantité de données à enregistrer, n’entame pas significativement la précision des estimations. La mise en œuvre opérationnelle de cette technique est donc d’ores et déjà envisageable sur les espèces feuillues, non seulement sur de vastes dispositifs expérimentaux génétiques comme celui testé ici, mais aussi sur les réseaux d’observation phénologique à long terme déployés à large échelle. Mais cela nécessitera de disposer de systèmes d’acquisition peu coûteux et adaptés : précision d’horloge suffisante, autonomie de l’enregistrement, bonne capacité de stockage des données, etc

    Les techniques de proxidétection : une alternative à la notation conventionnelle de la phénologie foliaire ? Application à la datation du débourrement en plantation comparative de provenances de chênes sessiles

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    Il n’existe pas de méthodes de phénotypage à haut débit de la phénologie adaptées à de nombreux arbres en plantation comparative, qui permettent d’étudier de manière fine la cinétique du développement foliaire. Actuellement, l’information est obtenue uniquement par observation visuelle directe et se résume le plus souvent à la détermination du rang phénologique (ex. gradient de précocité du débourrement) des populations comparées. Nous avons testé une technique automatique de suivi en continu de la phénologie foliaire fondée sur la mesure du rayonnement photosynthétiquement actif (PAR) intercepté par la partie aérienne des arbres. Un réseau ‘prototype’ de capteurs de PAR transmis, posés au sol sous les arbres, et de PAR incident, mesuré au-dessus des arbres, a été installé en mars 2009 sur une partie limitée d’un test de provenances de chêne sessile (Quercus petraea) implanté dans la forêt de Sillegny (Moselle). Il s’agit de six parcelles unitaires (PU) de six provenances représentatives de la gamme de variation de la date de débourrement sur l'ensemble du site. La configuration géométrique des capteurs a été adaptée de manière à cibler séparément chaque PU et à limiter le rayonnement mesuré à celui provenant de la voûte céleste. Les mesures sont recueillies toutes les minutes. En parallèle, la phénologie foliaire est estimée visuellement par observation hebdomadaire de chaque arbre selon le système BBCH. Le potentiel des variations saisonnières de la fraction de PAR intercepté ou FiPAR pour dater le débourrement et la sénescence est évalué durant un cycle végétatif annuel complet. Les premiers résultats acquis sur le début de la saison de végétation sont encourageants et valident le principe de la méthode. Le FiPAR suit clairement une courbe sigmoïde de large amplitude au cours du printemps. La date de la vitesse maximale de sa croissance concorde bien avec la date de la fin de la mise en place de l’appareil foliaire observée visuellement (stade 19 du code BBCH). Ainsi, la variabilité de la chronologie du débourrement entre provenances est bien retrouvée. Le suivi journalier du FiPAR semble plus riche que les observations BBCH ponctuelles. La réduction de la période de mesure au cours de la journée, donc de la quantité de données à enregistrer, n’entame pas significativement la précision des estimations. La mise en œuvre opérationnelle de cette technique est donc d’ores et déjà envisageable sur les espèces feuillues, non seulement sur de vastes dispositifs expérimentaux génétiques comme celui testé ici, mais aussi sur les réseaux d’observation phénologique à long terme déployés à large échelle. Mais cela nécessitera de disposer de systèmes d’acquisition peu coûteux et adaptés : précision d’horloge suffisante, autonomie de l’enregistrement, bonne capacité de stockage des données, etc

    NEAR-SURFACE REMOTE SENSING OBSERVATIONS FOR MONITORING DECIDUOUS BROADLEAF FOREST SPECIES PHENOLOGY INRA

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    Since several years, more and more studies aim at developing phenology products from satellite time-series at high temporal frequency such as those provided by the VEGETATION or MODIS sensors. Reflectance times-series at high spatial resolution, such as those that will be obtained from SENTINEL2, will soon available to monitor the phenology response of forests under climate change at the level of the forest stand or the tree species. There is a great need for continuous in situ monitoring of phenology to calibrate and validate the current and future remotely-sensed phenology products. In this context, we proposed a method based on near surface remote sensing techniques to monitor the seasonal change in LAI (Leaf area Index) and date key stages of the leaf phenology. As it is important to use a network of sensors with autonomous recording systems at a minimal cost in order to maximize the spatial sampling, we selected a method based on the transmittance continuous measurement of photosynthetic active radiation (PAR). We evaluated and validated the method for a deciduous forest species (Quercus petraea) over two sites encompassing a large variation in the timing of spring leafing, where direct visual phenology observations were performed. A specific preprocessing and modeling of the measured temporal signal was developed. The performances for dating the leaf unfolding in spring are satisfying: the bias is lower than ~1 day and the RMSE is (generally) lower than ~ 4 days

    NEAR-SURFACE REMOTE SENSING OBSERVATIONS FOR MONITORING DECIDUOUS BROADLEAF FOREST SPECIES PHENOLOGY INRA

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    Since several years, more and more studies aim at developing phenology products from satellite time-series at high temporal frequency such as those provided by the VEGETATION or MODIS sensors. Reflectance times-series at high spatial resolution, such as those that will be obtained from SENTINEL2, will soon available to monitor the phenology response of forests under climate change at the level of the forest stand or the tree species. There is a great need for continuous in situ monitoring of phenology to calibrate and validate the current and future remotely-sensed phenology products. In this context, we proposed a method based on near surface remote sensing techniques to monitor the seasonal change in LAI (Leaf area Index) and date key stages of the leaf phenology. As it is important to use a network of sensors with autonomous recording systems at a minimal cost in order to maximize the spatial sampling, we selected a method based on the transmittance continuous measurement of photosynthetic active radiation (PAR). We evaluated and validated the method for a deciduous forest species (Quercus petraea) over two sites encompassing a large variation in the timing of spring leafing, where direct visual phenology observations were performed. A specific preprocessing and modeling of the measured temporal signal was developed. The performances for dating the leaf unfolding in spring are satisfying: the bias is lower than ~1 day and the RMSE is (generally) lower than ~ 4 days

    Near-surface remote sensing observations for monitoring deciduous broadleaf forest species phenology

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    Since several years, more and more studies aim at developing phenology products from satellite time-series at high temporal frequency such as those provided by the VEGETATION or MODIS sensors. Reflectance times-series at high spatial resolution, such as those that will be obtained from SENTINEL2, will soon available to monitor the phenology response of forests under climate change at the level of the forest stand or the tree species. There is a great need for continuous in situ monitoring of phenology to calibrate and validate the current and future remotely-sensed phenology products. In this context, we proposed a method based on near surface remote sensing techniques to monitor the seasonal change in LAI (Leaf area Index) and date key stages of the leaf phenology. As it is important to use a network of sensors with autonomous recording systems at a minimal cost in order to maximize the spatial sampling, we selected a method based on the transmittance continuous measurement of photosynthetic active radiation (PAR). We evaluated and validated the method for a deciduous forest species (Quercus petraea) over two sites encompassing a large variation in the timing of spring leafing, where direct visual phenology observations were performed. A specific preprocessing and modeling of the measured temporal signal was developed. The performances for dating the leaf unfolding in spring are satisfying: the bias is lower than ∼1 day and the RMSE is (generally) lower than ∼ 4 days
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